Etaient présents :
Pour la direction : Fabrice Goll (directeur régional), Samuel Bignon (DRH), Franck Weil (chef de centre), Florian Ringuedé (rédacteur en chef), Jérôme Bourdy (responsable IMG), Jean-François Karpinski (délégué antennes et contenus), Nathalie Dubois (IRH).
Pour les RP : Sabrina Corrieri (CGT), Boris Chague (CGT), Nicolas Guérin (CGT), Karim Jbali (SNJ). Excusé : Hervé Morin (FO).
Point 1 : Santé
1 / Suivi du plan d’action suite à l’AT grave d’un salarié à Dax.
Invité, Emeric Ferchaud, inspecteur du travail de Dax (en visio).
La direction a présenté aux élus un plan d’action modifié par rapport au précédent (qui datait d’avril 2024). Les élus s’en étonnent, plusieurs mesures du plan d’action ont disparu comme par exemple la publication d’une note avec des consignes claires pour le travail en hauteur, une sensibilisation en visio des salariés de terrain avec les consignes de sécurité à respecter sur le terrain et l’achat de perches pour les UTS afin de réaliser des images en hauteur. La direction estime qu’il n’y a pas lieu de publier de note dans la mesure où il suffit de s’en tenir à la réglementation, sauf que celle-ci a déjà été rappelée aux salariés par mail et cela a suscité inquiétude et incompréhension car la réglementation n’est pas très claire. Les élus rappellent que toute consigne doit être accompagnée afin de s’assurer qu’elle est bien comprise par les salariés et qu’il n’y aura pas de confusion possible.
La sensibilisation en visio avait été proposée pour parer au plus pressé car la formation aux risques pour les JRI et rédacteurs prévue par le plan d’action ne sera pas mise en œuvre avant plusieurs semaines. Là encore les élus CGT rappellent que l’accident a eu lieu il y a un an et que depuis, aucune sensibilisation ni formation n’a été dispensée aux salariés pour prévenir ce type de risque. En réalité, depuis un an sur le terrain, rien n’a changé.
Enfin la direction explique que les perches pour UTS n’ont pas rencontré l’enthousiasme des salariés lorsque cela a été évoqué avec certains d’entre eux et qu’elle préfère ne pas les déployer. Les élus s’étonnent car précédemment lorsque d’autres outils ou logiciels ont été déployés et que cela a suscité l’opposition des salariés, cela n’a pas ému la direction ni empêché leur déploiement. Par ailleurs, cette mesure figure au PAPRIPACT 2025, la direction s’est donc engagée à la mettre en œuvre.
Enfin concernant la mise en œuvre de moyens garantissant la sécurité des salariés, l’inspecteur du travail a rappelé que ce n’est pas à eux d’en décider mais que cela relève de la seule responsabilité de l’employeur. En effet, au cours des échanges, la direction a expliqué que c’était aux salariés d’évaluer les risques lorsqu’ils arrivent sur les lieux d’un reportage et de décider ce qu’il était prudent de faire ou non. L’inspecteur du travail a rappelé que le fait de laisser décider le salarié équivaut à un transfert de responsabilité et ce n’est pas ce qui est prévu par le code du travail. C’est à l’employeur d’évaluer l’ensemble des risques auquel il expose ses salariés.
L’inspecteur du travail a préconisé également que la direction établisse des consignes claires et les diffuse aux salariés pour leur donner la marche à suivre dans la plupart des cas de figure rencontrés dans les reportages pour éviter l’improvisation qui peut être source de risque. Aussi, concernant le travail en hauteur, l’inspecteur du travail estime que s’il y a une crainte sur la conformité des équipements de travail de type échelle, mieux vaut les éviter.
La direction revient donc sur les mesures du plan d’action qu’elle avait supprimées et s’engage à publier rapidement une note permettant aux salariés de savoir ce qu’ils ont droit de faire ou non sur le terrain.
Enfin, afin de former les salariés à l’ensemble des risques rencontrés sur le terrain, la direction de France 3 Aquitaine a sollicité l’UFTV pour mettre en place une formation d’une journée à destination de l’ensemble des salariés de terrain et managers. Un représentant des élus a été invité à participer à l’élaboration de cette formation ainsi qu’un salarié expert. Les élus CGT s’en félicitent, il s’agit pour eux d’une mesure phare qui pourra faire date dans la prévention des risques dans nos métiers.
2 / Désignation d’un référent handicap RP d’Aquitaine auprès du CSE.
Suite aux propositions de la commission diversité et handicap du 4 juillet 2024 qui demande d’une part de présenter un bilan handicap sur le périmètre de chaque instance de proximité et d’autre part de mettre en place un référent handicap choisi parmi les RP de chaque antenne qui viendra en complément du binôme “égalité des chances” constitué des IRH et RRH locales, les représentants de proximité aquitains ont élu à l’unanimité des voix Hervé Morin comme référent handicap pour l’Aquitaine.
Point 2 : Situation de l’entreprise et de la Nouvelle Aquitaine
3 / Information sur le projet de holding FTV et de fusion France 3 / France Bleu après le maintien de la Ministre de la Culture à son poste
Après avoir indiqué que cette question lui était posée dans chaque antenne de Nouvelle-Aquitaine, le directeur régional dit qu’il n’a eu aucune information et qu’il ne peut donc pas en donner. Avec la mise en place du nouveau gouvernement le projet de holding est en “stand by”. Quant au rapprochement France 3 / France Bleu, la fusion des directions locales n’est plus d’actualité. Seule la mise en place du label de la proximité – ICI – est toujours programmée à partir du 4 novembre. Cette marque Ici, déjà présente sur nos éditions du JT, sera apposée sur tous nos contenus des matinées jusqu’à 14h15 ainsi que pour le décrochage info le soir.
4 / Organisation d’un séminaire de la direction de Nouvelle-Aquitaine à Biarritz : pourquoi ce lieu et quel coût en période de plan de retour à l’équilibre budgétaire ?
Fabrice Goll précise d’emblée que le plan de retour à l’équilibre budgétaire concerne les ETP (équivalents temps plein, soit les effectifs) et pas le budget de fonctionnement de la région. Il ajoute que le coût de ce séminaire réunissant tous les rédacteurs en chef adjoints d’Aquitaine a été pris en charge par le budget de la direction.
Il se félicite de ce séminaire car c’est la première fois qu’un événement du genre réunissant tous les rédacteurs en chefs adjoints d’Aquitaine (BRI, locales, Mag du rugby) est organisé alors que les RCA sont en 1ère ligne tous les jours et ne sont pas suffisamment associés à la stratégie de l’entreprise.
Florian Ringuedé ajoute que cela a permis aussi de rompre l’isolement parfois ressenti par les RCA en locales.
Le directeur régional n’exclut pas d’ailleurs d’organiser à nouveau ce type de séminaire une fois par an.
5 / Bilan des négociations du nouveau COM : budget, plan de charge, salariés aquitains contributeurs…
Le Directeur régional est revenu sur l’audition au Conseil régional à laquelle il s’est présenté avec Jean-François Karpinski (DAC) et François Massaloux (Finances) et qui selon lui s’est bien passée. La réponse sur la mise en place d’un nouveau COM (contrat d’objectifs et de moyens) de 3 ans est attendue en fin d’année. Pour rappel, le COM précédent représentait 1,2 M € / an donné par la région. Fabrice Goll espère obtenir autant, si c’est un peu moins cela ne changera pas grand-chose à l’activité de NoA mais si c’est beaucoup moins il faudra voir et s’adapter…
Les élus rappellent qu’ils souhaitent depuis des mois une instance de proximité extraordinaire sur NoA. Le DR dit qu’elle aura lieu dès que le COM sera connu. Les RP CGT veulent faire un bilan et envisager les perspectives, en particulier concernant les contributeurs d’Aquitaine, seule région parmi les trois concernées qui n’a pas de salarié à plein temps sur cette chaîne.
Point 3 : immobilier et moyen généraux
6 / Déménagement du site de Bordeaux suite à la présentation en CSE du schéma directeur immobilier de l’entreprise
La direction n’a aucune information à donner car depuis le retrait de l’appel d’offre du vendeur en juin dernier, rien d’autre ne s’est passé. Les RP CGT aquitains, en lisant le compte rendu de leurs élus CSE qui mentionne la somme de près de 40 M€ (contre 35 M€ de l’appel d’offre initial), voulaient savoir si la direction des moyens généraux avait mis plus d’argent sur la table pour tenter d’acquérir les locaux de la rue Ferrère. La direction aquitaine n’en sait rien. Les élus rééditent la proposition d’une réhabilitation des locaux existants, par phases pouvant s’étaler jusqu’à l’horizon 2040, comme le souhaite l’immense majorité des salariés bordelais.
7 / L’accès au second portail de sortie de la station de Bordeaux, côté parking, n’est pas autorisé le week-end pour les équipes de reportage. Pourquoi cette interdiction puisque le portail est automatisé ?
Jérôme Bourdy explique que ce portail n’est pas utilisé le week end car cela est inutile puisque le week end et durant les vacances, la circulation rue Ernest Renan est fluide. La fermeture de ce portail pendant ces périodes-là permet également selon lui de limiter le risque d’intrusion sur le site.
Point 4 : organisation et conditions de travail
8 / Premier bilan sur l’implantation et la fréquentation des nouveaux espaces hub-info et cyber technique au BRI
Florian Ringuedé tire un bilan très positif de la mise en place de ce lieu de travail commun à l’équipe chargée du JT. La proximité des différents acteurs du JT est très pratique. Pour lui la présence de chacun dans ce hub “n’est pas optionnelle”, tout le monde finit par y venir. C’est une nouvelle méthode de travail en Aquitaine mais qui existe depuis longtemps dans les autres régions et qui a prouvé selon lui son efficacité. La direction indique d’ailleurs qu’un 5ème poste de travail a été ajouté pour le présentateur de la page “Le choix d’Ici”, dans cet espace de 12 m². Les élus s’inquiètent de la promiscuité après cette modification de l’espace. La direction estime que c’est adapté dans la mesure où la table haute qui a été rajoutée n’est qu’un “poste de passage”.
Interrogée sur les besoins d’isolement pour la concentration, de confidentialité et les problèmes de nuisances sonores que peuvent subir les salariés qui y travaillent, la direction répond que c’est une question de savoir-être et de respect entre collègues…
Quant au nouvel espace cyber technique installé dans le hall d’entrée, dédié aux techniciens, la direction tient à préciser que les postes sont mis à disposition pour consulter les boîtes mails professionnelles, déposer les congés dans Monkiosque ou imprimer des documents. Exit la convivialité, encore moins la confidentialité, font remarquer les élus. Ainsi, cet espace est déserté, inutilisé, voire inutile !
9 / Premiers retours après un mois du lancement des éditions Ici 12/13 et Ici 19/20
Le rédacteur en chef est très content des éditions diffusées depuis la rentrée. Pour lui la situation est bien différente de celle d’il y a un an, très difficile pour l’éditorial et la technique. Il se félicite de la formule mise en œuvre depuis janvier avec la rubrique “Le choix d’Ici” qui vient dynamiser le milieu du JT Soir. Il pointe aussi les bonnes audiences enregistrées depuis les JO et encore maintenant. Seuls bémols, dit-il, certains sujets du national qui arrivent parfois très tard et les dossiers nationaux qui peuvent contraindre le JT alors que nous n’en avons pas vraiment besoin car de nombreux sujets aquitains attendent d’être diffusés (cf point 12 ci-dessous).
Les RP s’inquiètent encore une fois de la planification des scriptes dont les amplitudes horaires sont si larges sur le JT qu’elles pourraient aisément faire 35 ou 37 h en 4 jours. Visiblement, au regard de leurs plannings de septembre, elles choisissent de couper la semaine en posant des jours, en particulier des récups. Le chef de centre l’admet, tout en soulignant que ce sont les scriptes qui “font” leur planning bien en avance, en accord avec l’organisation d’activité. Ce rythme sera-t-il tenable, s’interrogent les élus ? Franck Weil a prévu une réunion de service fin octobre pour faire le point.
10 / Quelle durée des éditions locales et quelle organisation des équipes sont prévues pendant la période de Noël ?
Le directeur régional explique que pendant les vacances de Noël les locales seront de la même durée et selon la même organisation de travail que cet été pendant les JO, à savoir des journaux de 5 minutes avec 2 équipes de reportage, 1 monteur, 1 rédacteur en chef adjoint et 1 assistante. La direction estime que le retour d’expérience de cet été est bon et qu’hormis une ou deux fois où cela a pu être compliqué pour le montage dans certains sites, cela s’est bien passé dans l’ensemble. Franck Weil précise qu’à Noël en cas de difficulté il pourra être mis en place du renfort de montage à Bordeaux pour les locales.
Les élus rappellent que cet été la problématique des JO avait été mise en avant pour expliquer la réduction des moyens en locale et demandent quelle raison motive la direction cette fois ? Fabrice Goll explique que c’est en raison de la pose des congés des salariés et des contraintes budgétaires et il ajoute que ce problème se posera chaque année.
Les élus CGT insistent sur le fait que c’est en effet chaque fois les locales qui jouent le rôle de variable d’ajustement. Le directeur régional estime que l’on devrait au contraire se réjouir du maintien des éditions locales puisque l’Aquitaine est la seule région du réseau qui maintient les locales pendant les vacances de Noël. Selon lui, passer les éditions à 5 minutes permet de les maintenir tout en allégeant la voilure en termes de moyens et de permettre aux salariés de prendre leurs congés.
Les élus rappellent que pour s’en sortir cet été avec un seul monteur pour 5 minutes, certaines locales ont dû prévoir au moins 1 marbre par jour, d’autres n’y sont pas parvenues. Les élus demandent donc si du renfort sera prévu en amont des vacances de Noël afin de permettre aux locales de constituer le stock nécessaire pour tenir les 8 éditions des vacances. Le directeur dit que ce n’est pas prévu, il faudra faire à moyens constant. Les élus CGT dénoncent cette surcharge de travail qui pourrait pourtant être anticipée et donc évitée.
11 / Quels moyens techniques et humains sur la fabrication de l’émission Enquête de Région ?
Jean-François Karpinski détaille le dispositif et énumère les salariés contributeurs.
Ainsi, l’émission est composée de 3 sujets de 13’ plus 1 module archives de 4’, et rythmée par des plateaux extérieurs avec invité(s). Elle est encadrée par un coordinateur éditorial épaulé par les 3 rédacteurs en chef de Nouvelle-Aquitaine. Mais il n’y a plus ni chargé de production, ni réalisateur, ni scripte en plateau. Ce que dénoncent les RP CGT. Il y a aussi un OPV en moins, remplacé par un droniste prestataire.
Le directeur régional affirme que le choix a été fait de donner plus de place aux reportages (qui passent de 10’ à 13’) et moins de temps de plateau et d’invités. Et le délégué antennes et contenus ajoute qu’il y aura des “plateaux simplifiés” à savoir des plateaux extérieurs qui se font à présent sur le même lieu, ce qui permet selon la direction de se passer de réalisateur et aussi d’un jour de tournage supplémentaire. De plus, un réalisateur aurait travaillé sur le 1er numéro afin d’établir une charte pour le reste de la saison. Les RP CGT demandent si la direction a bien pris la mesure de ces changements organisationnels et anticipé notamment la surcharge de travail qui peut en découler, notamment sur l’assistante et le présentateur. Par exemple, qui pour faire les repérages, qui n’existent plus, ou demander les autorisations de tournage ? Cela ne semble pas inquiéter la direction pour qui l’unité de lieu simplifie tout ! Les RP CGT dénoncent ce mode dégradé de fabrication d’une émission qui se fera sans les métiers afférents. Les élus CGT seront vigilants à l’organisation et à la surcharge de travail induite dorénavant pour les salariés qui risquent de pâtir de cette façon de faire des économies. D’ailleurs, la direction ne cache pas cette volonté quand elle dit que pour elle l’important est “le ratio moyens / audiences”, la diffusion de l’émission E2R étant reléguée à une heure très tardive avec une audience d’environ 3 points seulement. Le DR ajoute que l’émission sera rediffusée une fois par mois le samedi midi dans la case laissée par l’émission Sports d’Ici.
D’autre part les élus CGT ont appris le lendemain de l’IP que les tournages ne se feraient plus qu’à 1h30 maximum de la station et sur un seul jour sans aucune possibilité de rajouter
une demie journée comme cela a été le cas sur le premier tournage de la saison.
Cette limitation géographique restreint le choix des thématiques et exclut la couverture d’une grande partie de la Nouvelle-Aquitaine, ce qui est dommageable pour une émission “grande région”, estiment les élus.
12 / Un certain nombre de tournages de sujets d’actualité de la rédaction à Bordeaux ne sont montés que difficilement faute de possibilité. On en a compté entre 20 et 30 en ce début d’année au marbre. Les moyens de montage et la durée du JT ne permettent de les écouler qu’au goutte à goutte dans les éditions du jour. Quelle solution est envisagée pour réduire ce trop plein ?
Florian Ringuedé reconnaît qu’il y a trop de marbres en attente de diffusion. Cela s’explique par les nombreux tournages faits au retour de vacances des équipes de la rédaction dès le mois d’août et l’obligation de passer les dossiers du national alors que la durée des JT n’était encore que de 15’. Il a été demandé aux adjoints d’écouler ces sujets “froids”.
Il ajoute que durant une semaine,en octobre, il n’y aura pas de série car des arrêts maladie n’ont pas permis de les tourner et réduit le plan de fabrication. du coup la rédaction en profitera pour diffuser une partie de ces marbres cette semaine-là à la place des séries.
13 / De plus en plus de propositions de tournage concernent des colloques, réunions de commissions ou autres réunions publiques et qui donnent des sujets dont la mise en image reste forcément assez limitée. Si l’enjeu de cette actualité est important peut-on bénéficier alors d’un peu d’anticipation au calage pour mieux en rendre compte par un meilleur sujet images ?
Le rédacteur en chef estime qu’il y a peu de sujets du genre au BRI mais sera attentif à ce qu’il y ait davantage d’anticipation sur ce type de sujets quitte à illustrer ce type d’événements d’une autre manière avec un invité ou une palette par exemple.
14 / Nouvelle fonctionnalité Inter-PAM d’Open Media
La direction a souhaité ajouter ce point à l’ordre du jour mais a envoyé aux élus les documents relatifs à ce nouvel outil trop peu de temps avant l’instance. Cela n’a pas laissé le temps aux élus d’étudier ce document complexe et d’évaluer tout ce qui en découle concernant l’organisation et la charge de travail. Les élus ont demandé le report de ce point à l’IP de novembre.
Point supplémentaire demandé par les élus : plus de vacations les week-ends et jours fériés pour les électros
Le Chef de Centre a informé les éclairagistes qu’ils n’auront plus de vacations les week-ends ainsi que les jours fériés à compter du 1er janvier prochain.
Les élus s’inquiètent du rendu de l’image et d’une dégradation de sa qualité en cas de changement de lumière ainsi que sur la pérennisation du métier d’éclairagiste sur le JT.
Franck Weil assure qu’il n’y pas de changement de lumière à effectuer et qu’il veut privilégier au maximum l’activité des éclairagistes sur des tournages extérieurs.
Point 5 : Emploi
15 / Postes pourvus et à pourvoir
Nathalie Dubois (IRH) annonce les derniers mouvements en Aquitaine.
Mobilité d’une rédactrice de Périgueux au service web depuis le 1er juillet.
Recrutement d’une rédactrice à Périgueux depuis le 1er septembre.
Le poste de chargée de gestion administrative au service organisation d’activité est en cours de comblement.
Un poste de technicien vidéo va être publié.
Prochaine instance de proximité le 7 novembre 2024