Deux instances ont eu lieu, l’une le matin pour le mois d’août et l’autre l’après-midi pour le mois de septembre.
Etaient présents
Pour la direction : Fabrice Goll (directeur régional), Samuel Bignon (DRH), Jean-François Karpinski (délégué antennes et contenus), Florian Ringuedé (rédacteur en chef), Franck Weil (chef de centre par intérim), Hadidja Issihaka (IRH), Nathalie Dubois (assistante RH)
Pour Les RP : Sabrina Corrieri (CGT), Boris Chague (CGT), Nicolas Guérin (CGT), Karim Jbali (SNJ), Hervé Morin (FO).
En préambule, les représentants de proximité d’Aquitaine souhaitent lire un texte liminaire à l’instance.
“Nous venons d’apprendre que le directeur régional organisait une conférence de rentrée à l’attention de tous les salariés le jour de l’instance de proximité de septembre.
Les représentants du personnel y voient le mépris de la direction pour les instances et les élus représentant les salariés.
La direction est seule à maîtriser la convocation et le calendrier des instances.
Le directeur régional a catégoriquement refusé qu’une instance de proximité se tienne en août insistant pour que les 2 instances (d’août et septembre) se tiennent le même jour. Par ailleurs, le calendrier des instances de proximité 2024 a été choisi et validé par la direction en novembre 2023.
Le respect et la bonne foi sont garants de la bonne tenue d’un dialogue social de qualité. Or, nous constatons que pour la direction actuelle, les instances de proximité semblent devenues secondaires.
Nous demandons dès à présent à la direction de France 3 Nouvelle Aquitaine d’honorer ses obligations en matière de dialogue social.”
Pour Fabrice Goll, il n’y a aucun mépris vis-à-vis des élus. Il justifie le choix de cette date par des problèmes d’agenda et de calendrier contraignants et estime que tous les points à l’ordre du jour auront largement le temps d’être traités. Les RP font remarquer qu’une fois de plus, ils n’ont pas été consultés en amont sur ce changement de programme, et demandent comment la direction peut préjuger du temps nécessaire au traitement de chaque point.
IP Août
Point 1 : Bilan 1er semestre Social Direct
Invitée Eve Jouanny (responsable coordination assistants sociaux SocialDirect)
La coordinatrice des assistantes sociales de ce prestataire explique que son travail se fait en distanciel via le téléphone ou la visio et garantit un rendez-vous dans les 72h ou dans la demi-journée en cas d’urgence. 21 assistantes sociales assurent le service au niveau métropolitain et ultramarin. Elles interviennent dans les domaines de la santé, les arrêts maladie, le handicap, le retour à l’emploi, la santé d’un enfant ou d’un parent, le logement, la retraite et les violences conjugales.
L’assistante référente pour l’Aquitaine est Nathalie Berthelot, qui peut assurer une permanence en présentiel à condition d’avoir des prises de rendez-vous à J-5. Sinon, elle ne se déplace pas. Ainsi, il n’y a eu que 2 permanences, en janvier et février, sur le site de Bordeaux.
Depuis l’arrivée de Social Direct, donc sur 7 mois, 5 entretiens ont eu lieu en Aquitaine (2 par téléphone et 3 en visio). Et 430 entretiens en tout dans le réseau…
Les élus estiment que c’est vraiment très peu au regard du nombre de salariés en Aquitaine et de problématiques évidentes vu la pyramide des âges dans notre région. Les élus estiment que les salariés sont mal informés sur la possibilité de faire appel à une assistante sociale. Et les RP CGT déplorent une fois de plus la politique d’appel d’offres de FTV qui entraîne un changement de prestataire tous les 3 ans pour un service tel que celui-là. Ils demandent à ce que la communication soit mieux ciblée sur notre région, pas via la RH nationale comme maintenant, et à ce qu’une présence régulière de l’assistante sociale soit assurée afin que les salariés commencent au moins à pouvoir l’identifier, à l’instar de ce qu’a fait la psychologue du travail.
Point 2 : organisation et conditions de travail
1 -Organisation du travail à la rédaction du BRI pendant les vacances d’été : Un ou plusieurs salariés en arrêt maladie n’a / n’ont pas été remplacé(s). Pourquoi ? Qui pour pallier ces absences ? Les alternants ? Comment la direction compte-t-elle justement anticiper l’absence des alternants l’été prochain? Pourquoi les 3 BIP ont-ils été fermés en même temps ?
Pour le rédacteur en chef, l’été s’est “très bien déroulé” avec des JT raccourcis, de durées variables, en raison des JO. Les équipes du réseau dédiées aux jeux olympiques ont bien servi la rédaction (plateaux de situation, reportages etc.) avec notamment 19 éléments portant sur les athlètes aquitains. Selon Florian Ringuedé, les rédacteurs en chef adjoints sont unanimes pour dire que les éditions étaient bien “staffées” et que si certaines absences n’ont pas été remplacées à la rédaction c’est parce qu’il n’y en avait pas le besoin, en raison justement du format des JT. D’ailleurs, le stock de reportages de 8’ à disposition, Ici en France, n’a même pas été épuisé. Il ajoute que les alternants ont été planifiés normalement, jamais en plus ou pour pallier une absence. Mais choisis pour partir en reportage depuis Bordeaux vers la côte landaise ou le Lot-et-Garonne car il n’y avait pas beaucoup d’équipes en BIP, font remarquer les RP CGT. En effet, assume la direction, il n’y avait en moyenne qu’un bureau excentré sur trois ouvert cet été et même aucun durant deux semaines… Le rédacteur en chef tient à souligner la qualité du travail des 3 alternantes qui viennent de terminer leur formation chez nous, que ce soit comme rédactrice, JRI ou au web. Les RP s’interrogent sur l’organisation du BRI l’été prochain, car il n’y aura pas d’alternant en raison du plan d’économies en cours. La direction répond que le recours aux CDD d’été, des jeunes en fin de formation, sera toujours possible. Elle espère pouvoir reprendre des alternants à la rentrée 2025.
Et concernant l’organisation dans les locales il n’a pas été noté de difficultés, ni de remontées négatives au niveau du montage.
2 – La locale de Bayonne devait être diffusée à l’échelle régionale pendant la durée des JO, cela n’aura duré que 2 jours suite à la protestation d’un rédacteur en chef adjoint. En dehors du fait que les téléspectateurs doivent être totalement perdus après de multiples changements d’horaires et de formats cet été, peut-on savoir qui décide de la grille des programmes à France 3 Aquitaine ?
Fabrice Goll indique que ce n’est pas du tout ce qui était prévu et donc ce n’est pas ce qui s’est passé. Florian Ringuedé ajoute en effet qu’il n’était pas prévu que la locale de Bayonne soit diffusée à l’échelle régionale pendant les JO. Il était prévu que nous diffusions sur le créneau des locales le module Hors la ville. La direction précise qu’elle a découvert au dernier moment ( le matin même) que FTR ne produisait pas ce module puisque FTR pensait qu’aucune des régions ne diffusait de locales. Du coup ils n’ont pas fabriqué le module. Il a fallu trouver une solution en urgence et la procédure en cas d’urgence c’est que la locale de Bayonne soit diffusée sur ce créneau. Une solution a été trouvée dès le mercredi avec la rediffusion d’anciens Hors la ville
Enfin Florian Ringuedé explique qu’il y a eu environ 3 changements d’horaire de diffusion des locales dans l’été mais que nous étions dans le cadre d’un été exceptionnel. Les JO ont beaucoup impacté les grilles et au milieu de tout ça il y a eu l’exception aquitaine avec la diffusion des locales qui n’avait pas été relevée par FTR.
3 – Le remplacement à Dax du JRI en long arrêt de travail après un AT grave. Suite à l’instance de juin les élus demandent à refaire un point sur ce remplacement. Un CDD a effectué ce remplacement pendant 9 mois et permis à ce BIP de bien fonctionner puisqu’un parfait équilibre avec son binôme avait été trouvé. Sans aucune raison objective annoncée, la direction a décidé de ne plus faire appel à ce CDD mais à d’autres CDD pour effectuer ce remplacement long. Pour quelles raisons ?
Le rédacteur en chef et le DRH disent que depuis octobre 2023 et l’arrêt maladie du JRI de Dax le remplacement a été régulièrement renouvelé. Florian Ringuedé explique que la règle sur les arrêts maladie très longue durée c’est qu’on doit se caler sur le renouvellement de l’arrêt pour faire les contrats CDD mais on a tout à fait le droit de ne pas renouveler le CDD ou de le proposer à quelqu’un d’autre. Il a choisi de renouveler plusieurs fois le CDD en question mais il affirme que ce n’était ni une obligation ni un usage au sein du réseau. Pour lui, il n’y a pas d’exclusivité de CDD et l’entreprise souhaite plutôt faire tourner les CDD. Il ajoute que ce CDD a eu 9 mois de remplacement en continu, et selon lui ça ne se voit nulle part dans le réseau.
Samuel Bignon dit que d’un autre côté il y a le cas d’un CDI en détachement longue durée au BRI de Bordeaux qui souhaitait trouver une solution dans le périmètre aquitain. Donc il y avait une priorité pour le CDI. Le détachement à Dax lui a été proposé, ce qu’il a accepté. Ce détachement est renouvelé en fonction de la durée de l’arrêt maladie du JRI de Dax. Ça fonctionne exactement comme pour un CDD : on renouvelle le détachement en fonction de la durée du renouvellement de l’arrêt maladie.
Les élus s’inquiètent du sort réservé au CDD qui a effectué les remplacements à Dax et qui depuis la fin de son contrat n’a eu que très peu de propositions alors que la situation personnelle de ce salarié bientôt en fin de carrière est fragile et incertaine. La direction régionale affirme que ce CDD pourra continuer à travailler partout dans la région mais qu’il n’a pas l’exclusivité des CDD à Dax. Quant à la nécessité de constituer un binôme stable et efficient, ce qui était le cas depuis le début du remplacement, cela ne semble pas être la priorité de la direction…Florian Ringuedé précise toutefois qu’un point sera fait dans 3 mois avant le renouvellement du détachement pour voir si l’équilibre du nouveau binôme a été trouvé.
4 – Départ en disponibilité d’une JRI de Bordeaux à partir de septembre : quel remplacement est prévu ?
Fabrice Goll annonce qu’ il n’y a pas de remplacement prévu. Selon lui les JRI ne sont pas en sous-effectif à Bordeaux, loin de là, donc il n’y a pas de nécessité de remplacer la JRI qui sera en disponibilité pendant au moins 6 mois.
Florian Ringuedé ajoute que s’il semble évident de remplacer un JRI en BIP, cela n’est pas forcément obligatoire au BRI. Cela se fera en fonction des besoins car il y a des semaines où il y a même un JRI en trop.
Samuel Bignon dit que par ailleurs, même si la salariée est absente, l’ETP compte toujours donc on ne peut pas considérer qu’on la remplace aussi facilement que ça. Les règles pour les salariés en congés de formation ont évolué dernièrement et il y a un coût pour l’entreprise, l’organisme de formation ne remboursant qu’une partie seulement du salaire versé par l’entreprise.
Pour les RP CGT il n’y a pas de sureffectif, par contre il y a de nombreux arrêts maladie chez les JRI… Et ils voient dans cette absence pour formation l’occasion justement de donner un contrat long au CDD évincé de Dax ou bien un autre détachement au CDI en ce moment à Dax. Bref de solutionner, au moins à moyen terme, des situations problématiques.
5 – De nombreux dysfonctionnements techniques ont été signalés à la locale de Bayonne avec deux problèmes majeurs : l’onduleur et le serveur. Au niveau du montage, il y a des bugs récurrents occasionnant beaucoup de stress et de fatigue, le serveur de prêt, qui ne devait être que provisoire, est finalement resté plusieurs mois. Quand les réparations et modifications seront-elles effectuées ?
Franck Weil explique que le serveur de Bayonne a dû être mis à jour, tout comme ceux de Pau et Périgueux qui l’ont été en juin. A Bayonne, la partie hardware a été traitée en juin mais il restait la partie software à faire. Ce sera fait ce mois-ci et le serveur de Bayonne doit être réinstallé mi-septembre. La mise à jour n’a pas pu être terminée plus tôt en raison de l’été et des congés mais elle devait impérativement démarrer en juin pour des questions de sécurité. La première mise à jour devant intervenir impérativement avant les JO. Mais selon lui il n’est pas normal que le serveur de prêt ait présenté autant de dysfonctionnements.
Concernant l’onduleur et la climatisation, Franck Weil explique que les contraintes budgétaires actuelles les ont obligés à faire des choix. La climatisation dans le nodal sera remplacée d’ici 10 jours mais pas l’onduleur. L’outil sera changé en 2025.
Le chef de centre sait bien que les salariés doivent travailler dans le contexte d’une architecture réseau vieillissante et que cela crée des problèmes (bugs, lenteurs, pannes etc.) et il espère que dans quelques mois, avec l’arrivée d’une double fibre à 100 Mb (contre 25 Mb actuellement), il y aura du mieux. Les RP CGT eux, dénoncent les dysfonctionnements quotidiens des outils, générant stress, qualité de travail empêché pour les salariés, y compris les cadres techniques, régulièrement mis sous pression et en première ligne pour ce qui est des RPS car obligés de trouver des solutions de contournement à des problème remontés à la direction du réseau mais restés sans réponse efficiente. Ils demandent quelles mesures de prévention sont envisagées en amont du déploiement des outils et souhaitent que la direction aquitaine alerte la tutelle du réseau sur les conséquences de ses choix techniques et technologiques.
6- Suite à un nouvel AT dans le service GA/RSCA, alors que le DGI venait à peine d’être levé par les élus, nous demandons à la direction de préciser la charge de travail et l’organisation du travail retenue cet été. Comment le salarié actuellement en arrêt est-il remplacé ? Nous souhaitons également avoir les 3 derniers tableaux de service avant l’accident. Quelles mesures correctives la direction a-t-elle mis en place après cet AT, quelle prise en charge est prévue pour les salariés de ce service?
Invitée, Nathalie Weil, responsable du service Gestion d’antenne.
Jean-Francois Karpinski indique que concernant la charge de travail cet été, l’activité a été réduite en raison des JO puisqu’il n’y avait pas de fabrication de bande-annonces à cette période Par ailleurs la fabrication de ces bandes annonces est anticipée et répartie sur deux sites Limoges et Bordeaux. Le 12 juillet les conducteurs d’antenne de France 3 et Noa étaient alimentés jusqu’au 6 septembre inclus. La livraison et le traitement des fichiers ont été anticipés pour alléger la charge de travail pendant la période estivale.
Du 22 juillet au 16 août il y avait chaque jour 1 Gestionnaire d’antenne à Limoges, 1 gestionnaire d’antenne à Bordeaux et 1 RSCA planifié à Bordeaux pour finaliser et mettre à jour les conducteurs avec les horaires de début et fin.
Concernant le remplacement de la salariée, elle n’est pas remplacée actuellement puisqu’elle est actuellement en congés.
Nathalie Weil explique que pour les bandes annonces il y a eu un gros travail de réflexion mené et que le service a revu toute la fabrication des bandes annonces. ils ont arrêté de séparer les montages. Ça nécessite un travail d’anticipation mais la fabrication est du coup planifiée de manière optimisée. C’est lié aux ressources notamment aux monteurs et aux gestionnaires d’antenne mais ça permet de mieux répartir la charge de travail.
Jean-Francois Karpinski précise qu’il y a une base semestre de programmes et qu’il s’appuie dessus pour anticiper la planification.
Point 3 : Emploi
Point sur les mouvements, notamment à la RH et à l’organisation d’activités, remplacement du chef de centre etc.
Hadidja Issihaka, IRH, part fin septembre en détachement de 4 mois prolongeable à Réunion La 1ère. Elle sera remplacée par Nathalie Dubois, actuelle assistante RH, elle-même remplacée par Pauline Delangue, intérimaire.
Franck Weil continue d’assurer l’intérim du chef de centre Bruno Larramendy, toujours en arrêt maladie.
A l’organisation d’activité : Elodie Gosselin poursuit son détachement comme planificatrice jusqu’au 18 octobre avant une éventuelle affectation définitive. Et la consultation vient de prendre fin sur le poste d’assistante de gestion administrative laissé par Véronique Escaich.
Point 4 : RH
PARSI 2024 : point sur l’information des salariés concernés par une mesure et la mise en paie.
Le DRH annonce que le processus est en cours. Les bénéficiaires de mesures individuelles sont déjà informés et les chefs de services remettent actuellement les notes (mesures salariales) ou avenants (promotions fonctionnelles uniquement avec changement de palier). La mise en paie est prévue en septembre.
IP Septembre:
Quel est le plan de charges d’activité équipes légères pour l’antenne de France 3 Aquitaine suite à la mise en place du pool équipes légères au niveau du Réseau ?
La direction indique que ce pool sera mis en place à priori au 1er novembre et que ça n’aura pas d’impact sur nos tournages et émissions puisqu’à France 3 Aquitaine il y a une mutualisation de moyens et lorsqu’il y a des besoins il est possible de faire appel à des OPS ou OPV par exemple des 3 antennes. La direction ajoute qu’elle pourrait éventuellement faire appel au pool s’il y avait des besoins supplémentaires mais c’est actuellement loin d’être le cas. France 3 nouvelle Aquitaine a suffisamment de personnel pour ses émissions et l’idée n’est pas de mettre nos équipes en sous-emploi.
Est-ce que France 3 Aquitaine devra faire des économies d’ici la fin de l’année ? Si oui, de quelle façon ?
Fabrice Goll précise qu’il n’y a pas de plan d’économie mais uniquement une gestion responsable pour tenir le budget. Il ajoute que la situation est moins inquiétante que celle que l’on a connue en mars et que les efforts jusqu’ci ont payé donc la direction continuera d’être vigilante. Le sujet grande région fabriqué à Bordeaux va perdurer, en limousin et Poitou Charentes des journaux communs sont également prévus les weekend des 1er et 11 novembre.
Editions ICI à partir de septembre : quelle organisation du travail pour les services les plus impactés, notamment les scriptes, planifié.e.s durant l’été plus de 45h par semaine avec 5 jours de JT.
Le chef de centre explique qu’avec leur accord, les scriptes ont effectivement été planifiées plus de 45h par semaine et que la période le permettait avec les JO et des durées de JT raccourcies. Les RP CGT s’inquiètent d’une telle planification avec des amplitudes horaires encore allongées lors de la reprise des éditions Ici à la rentrée. A la vue des plannings de l’été, ils constatent qu’en 4 jours, un.e scripte peut aisément réaliser entre 35h et 39h de travail. Le chef de centre assure que ces salarié.e.s ne feront pas plus de 3 jours de JT consécutifs. Ce qui signifie 3 jours de JT dans la semaine, demandent les élus ? Non, pas forcément, répond la direction qui compte aussi sur le fait que les JT seront moins longs (32’) et moins lourds à gérer car les sujets du national devraient arriver déjà synthétisés. Franck Weil compte faire un bilan avec ce service au moment des vacances de la Toussaint.
En fin de réunion les élus ont réitéré leur demande écrite faite en juillet d’avoir accès aux plannings de tous les salariés. En effet les RP n‘ont actuellement accès qu’aux planning de leur propre service d’affectation. Les élus CGT précisent que ne pas avoir accès à la totalité des informations relatives à l’organisation de travail et au temps de travail des salariés relève du délit d’entrave. La direction s’est engagée à donner accès à tous les plannings aux RP.
Prochaine instance de proximité le 3 octobre