Suite à la déclaration préalable des élus CGT (à lire ici), le directeur du pôle reconnaît que la suppression des Matinales pendant les vacances scolaires est un réel problème. La justification : des zones de congés qui se chevauchent et l’obligation de permettre aux personnels de prendre leurs congés !
Même si ce n’est « pas la meilleure solution d’un point de vue éditorial, on ne sait pas faire autrement ». En tout cas pour les prochaines vacances. L’émission continuera malgré tout sur internet. S’il y a des salariés disponibles pour publier ! Consolation bien maigre au regard des enjeux.
Sur l’avenir des locales, le directeur du pôle est très ferme : il n’y a pas de question à se poser, la PDG a été très claire et il s’en fait l’écho : les locales excentrées ne sont pas menacées, c’est une décision d’entreprise. Elles poursuivent « leur bonhomme de chemin » et sont appelées à se développer sur internet.
Les élus CGT tempèrent cette affirmation : les locales sont menacées de fait par la non diffusion sur les box et le satellite. Le directeur du pôle rappelle que FTV a mené il y a quelques années une tentative de négociation pour y remédier mais nous nous heurterions à un dossier technique trop compliqué pour un coût trop élevé. « Les locales doivent se contenter de la diffusion qu’elles ont aujourd’hui. Elles ne seront pas exposées ailleurs, ça c’est sûr ». Selon lui, il faut démultiplier la capacité d’intervention éditoriale des locales en étant plus volontaristes et plus efficaces. Un travail à mener par les équipes de terrain. La CGT pense que ce ne serait pas aussi coûteux qu’on veut bien nous le faire croire.
Si la pérennité des locales n’est pas un sujet pour la direction du pôle, il n’en va pas de même pour certains cadres intermédiaires qui relaient un discours beaucoup plus alarmiste : rapprochement avec les BRI pour une disparition des éditions locales… Ce discours est doublement anxiogène : il dénote un manque flagrant de volonté de défendre notre outil commun de travail, et il est en parfaite contradiction avec la position affichée par la direction de l’entreprise.
De même, les implantations existantes de France 3 perdurent en parallèle du redécoupage territorial. Si les antennes poursuivent les éditions pour lesquelles elles ont été missionnées, nous sommes malgré tout dans une situation qui impose de repenser les modes d’organisation. Nous apprenons par exemple la confirmation d’un seul Délégué Régional pour la région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées. Pour le directeur du pôle c’est une démarche pragmatique qui prend en compte les réalités historiques de la chaîne, et qui n’enlève rien à l’identité territoriale et à l’indépendance des antennes. Le choix de l’entreprise est d’y aller progressivement, en fonction des situations locales, c’est-à-dire en fonction des salariés en place et des opportunités (en l’occurrence, un départ en retraite dans le cadre du PDV).
A ce jour, pas de changement en ALPC au niveau des délégués régionaux. Mais la question se posera lors du premier départ. Va t-on assister à une guerre des chefs, fortement préjudiciable à l’antenne et aux salariés ?
CCE extraordinaire du 15 janvier 2016
Le CCE extraordinaire du 15 janvier 2016 était consacré à la présentation du projet de Chaîne info numérique, ainsi qu’à la présentation des grilles de programmes régionaux et ultramarins, à la réorganisation de la direction de France 3 et de France 2 et à la présentation du nouveau VPTL (Véhicule de Production et de Transmission Léger). Un compte rendu complet à lire ici.
Le directeur du pôle réagit sur la Chaîne info. Il ne voit pas la contribution des régions comme une tâche supplémentaire, mais comme une incitation à repenser l’organisation de la mise en forme des informations collectées sur le terrain. Le mode de production doit encore être réfléchi. « Notre obligation est d’être les premiers sur tous les supports, d’être exhaustifs… cela fait beaucoup de choses à porter en même temps ». C’est peu de le dire ! Sur la partie effectifs dédiés à la Chaîne info, c’est le flou total. Le directeur affiche juste son intention de ne pas se laisser plumer les ETP sans réagir !
Une série de discussions va s’entamer pour définir les détails, l’organisation, l’architecture de cette Chaîne info. Le rôle des correspondants de France 2 doit aussi être précisé. Les dates sont disponibles dans l’agenda « négociations nationales » de ce blog.
Information sur les ajustements de la grille de rentrée et sur la grille en période de vacances
La direction du Pôle Sud-Ouest a défendu l’idée du Soir 3 Grande Région. Un projet tranché finalement en central par la direction de l’information régionale : on maintient sur les périmètres des BRI. Qu’à cela ne tienne, la direction du pôle récidive pour les vacances en mutualisant sur Limousin-Poitou-Charentes et Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Et à l’étude, une plus grande mutualisation pour la grille d’été, soit un Soir 3 Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes ! A voir si cela se confirme. Gérard Vallès devrait présenter les audiences du Soir 3 dans les différentes antennes lors du prochain CE, notamment celles du Soir 3 mutualisé LRMP.
Sur les changements de grille opérés en janvier, la direction est plutôt rassurée. Les audiences sont restées correctes, avec une progression du nombre de téléspectateurs. Les audiences du 12/13 sont meilleures mais le groupe de travail sur sa rénovation, animé par Laurence Bobillier, continue. Un bémol toutefois sur Enquêtes de région qui faiblit.
Les audiences web sont en belle progression, et à noter que 3 blogs du pôle sont en tête des fréquentations sur tout le réseau ! N°1 Midi-Pyrénées politiques avec 537.000 visites, n°2 Côté châteaux 431.000, n°3 Pyrénées 266.000. Questionné sur l’idée d’un passage à l’antenne de Côté Châteaux, un blog qui fonctionne très bien, le directeur se dit ouvert mais bute encore une fois sur la problématique des moyens.
Interrogé sur la possibilité donnée par le national de passer les Matinales à 52’ (sans moyens supplémentaires !), le directeur du pôle se dit plus que circonspect ! On a de quoi faire sur nos territoires mais faute d’ETP… D’autant plus que la baisse des ETP va se poursuivre en 2016 !
Sur l’histoire de la suspension des Matinales pendant toute la durée des vacances scolaires (4 semaines en février et 4,5 semaines à Pâques), le régulateur d’activités affirme avoir reçu une consigne nationale. Ce qui contredit ce que la direction de France 3 a affirmé aux élus en CCE. La figure imposée est uniquement de rendre l’antenne durant le temps des vacances de chaque région pour laisser la place aux programmes jeunesse (rémunérateurs en publicité), pas sur toute la durée des trois zones, ce qui est une absurdité éditoriale. Un éclaircissement s’impose ! Si le pôle décide ces suspensions, qu’il l’assume publiquement. Après avoir testé cette formule qui a fait chuter les audiences, le Pôle Nord-Est ne suspend plus désormais que deux semaines. Notre direction a un train de retard !
Midi-Pyrénées la locale tridépartementale sera reconduite cet été, sur 4 ou 6 semaines selon le projet éditorial. Le directeur du pôle se justifie « je sais que ça ne satisfait pas tout le monde mais tant qu’on n’a pas de problème majeur avec nos téléspectateurs, on continue. Et ça permet de maintenir une présence à l’antenne et d’offrir la possibilité aux personnels de prendre leurs congés quand ils le souhaitent. » Xavier Pérez précise qu’il est tout à fait possible d’imaginer une autre formule, d’ailleurs il existe d’autres modèles dans le pôle : à Nîmes l’édition est maintenue mais réduite, Brive est réduit à 1 équipe, La Rochelle fonctionne avec 2 équipes et le BIP de Royan…
La CGT attire l’attention de la direction sur les conséquences de ces fermetures partielles. Le sous-effectif désorganise le travail.
Plan de formation 2016 de la filière
Anne-Emmanuelle Arrossamena, IRH de la Filière, explique que le plan de formation 2016 des salariés de la filière a été présenté au CE du Siège (dont dépend la direction Fabrication Technologies). Mais les pôles ont tout de même droit à une présentation.
Sauf que le document remis aux élus est plus que succinct (encore plus que les années précédentes, c’est dire) et il révèle un manque de formations pour les administratives. Pourtant, il existe un réel besoin sur la paie (temps de travail, organisation du travail, primes de sortie…). Elles sont prises en charge par le central. Faudrait-il encore que les dispositions litigieuses fassent enfin l’objet de notes officielles ! Le fonctionnement actuel n’est ni pérenne ni acceptable.
Le développement des nouvelles écritures et des web doc est mis en avant dans les intentions de l’entreprise, mais aucune formation n’est prévue pour les monteurs. S’il n’y a pas d’harmonisation des pratiques, comment réaliser les ambitions de la PDG ? Pas de formation prévue sur la grille non plus.
Quelques demandes individuelles ont été intégrées dans le plan 2016, mais les formations aux outils en cours de renouvellement coûtent cher et sont prioritaires. Quant aux salarié(e)s en CDD, ils sont formés sur les outils grâce aux fonds de l’AFDAS.
Autre problème soulevé : les salarié(e)s de la filière ne sont pas informé(e)s des formations sur site, non complètes et auxquelles ils(elles) pourraient participer. A.-E. Arrossamena répond qu’elle travaille avec la responsable formation du pôle pour mutualiser les formations qui relèvent de l’axe hygiène, prévention et sécurité et lorsqu’elles concernent des outils communs. Cependant, le frein le plus important reste la planification des personnels…
Seule bonne nouvelle : la filière RH s’engage à ce que les formations en e-learning soient planifiées.
Les élu(e)s ne peuvent que constater l’écart important entre les ambitions affichées par l’entreprise et la réalité du plan de formation.
A l’issue des débat,s les élu(e)s ont rendu un avis négatif sur les plans de formation 2016 du pôle (vu lors du CE de décembre) et de la filière. L’avis est à lire ici. Il a été adopté à l’unanimité et les organisations syndicales se sont associées.
Réorganisation de la PGA
Courant 2015, une réorganisation du domaine Technologie-Fabrication a été engagée. Le secteur Opérations, qui est inclus dans ce domaine, chapeaute la filière de production et la fabrication du Siège. Si le CE du Siège a été informé et consulté sur le projet, aucune information n’avait encore été faite en région.
Concrètement, cette réorganisation centralise la vision de l’activité de fabrication et permet, en principe, d’optimiser l’utilisation des moyens. L’objectif est d’avoir un point d’entrée unique pour l’activité, à charge pour la Planification Générale des Activités (PGA) de la distribuer. Encore faut-il que l’activité soit là.
La mise en place de la PGA en central impacte de fait les sites de la filière de production (Bordeaux et Toulouse dans le Pôle Sud-Ouest) et potentiellement l’activité et les salariés. Exemple avec les équipes légères de production : il n’y a plus qu’un seul responsable qui chapeaute les équipes de la filière et celles du Siège, toutes les équipes pouvant travailler pour un documentaire national ou régional en fonction de leur disponibilité. Cela permet de donner priorité aux personnels permanents et de n’avoir recours aux personnels intermittents qu’en dernier recours.
Les élus CGT mettent en avant un risque de « vampirisation » de l’activité au profit du Siège. Yves Dumond, directeur du secteur Opérations, s’en défend et explique que cela doit se faire dans les deux sens, que le but est une utilisation à plein des moyens de fabrication. Pour lui, « le seul risque est d’avoir plus d’activité ». Et il insiste en disant que l’on fait d’abord appel à la filière de production avant d’externaliser. Aux exemples de report de fabrication qui se font d’un site de production vers le Siège, Yves Dumond oppose une analyse globale de l’activité qui démontre qu’il n’y a pas de baisse, bien au contraire.
Ce système amplifie également la mobilité des personnels permanents, ce qui peut être une bonne chose dans la mesure où la règle du volontariat est correctement appliquée.
Information/consultation sur un contrat de professionnalisation concernant Patrick Dumontet comme ouvrier d’entretien et de logistique à Limoges
La direction du Pôle Sud-Ouest a décidé de geler un poste de logistique à Limoges. Depuis 2013 ce poste était occupé par Gilles Alain Fréchon, salarié handicapé en contrat d’intérim et qui donnait toute satisfaction. En décembre 2015, après 1.600h de travail et au motif d’une économie à réaliser, la direction a signifié une fin de collaboration à M. Fréchon.
La CGT rappelle à la direction qu’en aucun cas un salarié en contrat d’alternance ou de professionnalisation ne peut remplacer un titulaire dans sa fonction. Ce salarié est là pour apprendre et peut exercer certaines tâches s’il a acquis suffisamment de compétences.
De plus, le 3ème accord handicap signé par les 4 organisations syndicales représentatives (CGT, CFDT, SNJ, FO) engage l’entreprise sur le recrutement de 3 salariés dans le pôle en situation de handicap d’ici 2020. Voilà donc une belle opportunité pour le Pôle Sud-Ouest d’inaugurer cet accord.
La CGT demande à la direction de dissocier les deux dossiers, elle ne s’oppose pas au contrat de professionnalisation proposé à M. Dumontet, mais demande le comblement sans délai du poste gelé de la logistique à Limoges.
Les élu(e)s, soutenu(e)s par les organisations syndicales, ont voté à l’unanimité la déclaration suivante :
« Les élu(e)s réuni(e)s ce jour en CE s’abstiennent sur le contrat de professionnalisation proposé à la consultation. Par ailleurs, ils demandent à la direction de pourvoir sans délai le poste gelé de logistique à Limoges. »
Présentation de l’accord handicap
Le 16 novembre 2015 les organisations syndicales et la direction ont signé un accord d’entreprise pour la promotion de l’insertion, du maintien dans l’emploi et de l’évolution de carrière des personnes en situation de handicap au sein du groupe FTV. Il est entré en vigueur le 1er janvier 2016 pour une durée de 5 ans. C’est le 3e accord du genre à FTV. Toutes les informations utiles sont sur monespace.
La direction du Pôle Sud-Ouest avait souhaité la présence de Marion Mercier (correspondante de l’Egalité Des Chances pour le pôle) pour présenter cet accord aux élu(e)s, mais elle n’était pas disponible.
Une présentation de l’accord sera programmée par la direction dans chaque antenne via les DP, CHSCT et COPIL, afin qu’il soit connu et appliqué. Une communication interne a d’ailleurs été envoyée le 27 janvier.
La direction réaffirme que les responsables des ressources humaines restent les interlocuteurs privilégiés des salariés pour répondre en détail aux différentes démarches et aménagements décrits dans ledit accord.
Lors de la présentation, Bruno Girault souligne une évolution conséquente du taux d’emploi de travailleurs handicapés en 7 ans dans le Pôle Sud-Ouest : de 2,65% d’emploi direct en 2007 à 4,55% en 2014. Ce qui est loin d’être suffisant puisque la loi impose 6% au minimum.
Dans l’accord précédent (2011-2015), 56 travailleurs handicapés ont été embauchés en CDI à FTV sur un objectif de 60. Le nouvel accord prévoit d’assurer progressivement et de manière significative le taux d’emploi de travailleurs en situation de handicap. Pour cela, les objectifs à atteindre sur 5 ans sont :
- Embauches : 3 CDI sur le Pôle Sud-Ouest (objectif FTV : 35)
- Alternance : 3 sur le PSO (objectif FTV : 30)
- CDD : 2 sur le PSO (objectif FTV : 20)
- Stagiaires : 4 sur le PSO (objectif FTV : 60)
Cet accord est pertinent et porteur de bonnes résolutions pour favoriser et aider les travailleurs handicapés. La CGT a activement participé aux négociations de cet accord pour que l’entreprise prenne en compte le déficit afin de rétablir l’égalité des chances entre les salariés handicapés et les salariés valides. Nous veillerons à ce qu’il soit un réel outil de travail positif.
La volonté est réelle pour la direction porteuse de l’accord, nous verrons la détermination de chacun à le faire vivre réellement et les moyens alloués tant financièrement qu’en termes de politique générale du Pôle Sud-Ouest.
La commission Handicap Diversité et Discrimination est d’ores et déjà constituée dans le Pôle Sud-Ouest. Elle se réunira pour la 1ère fois fin mars-début avril, en présence de Marion Mercier afin de pouvoir échanger et apporter tous les éléments nécessaires à la bonne conduite de cette commission et de cet accord.
Rappel des membres de la commission Handicap diversité et Discrimination, vous pouvez les solliciter pour toutes questions relatives à l’accord handicap :
Nathalie Lafeuille (Limoges), présidente de la commission, Véronique Escaich (Bordeaux), Aurélie Socarros (Poitiers), Caroline Hoarau (Filière Bordeaux), Patrick Mauduit (Poitiers), Xavier Demester (La Rochelle), Bruno Mozin (Nîmes), Marie-France Jorisse (Toulouse), Anne Amsili (Toulouse).
Questions diverses
Quid du budget 2016 ? La direction financière du pôle devrait connaître notre dotation budgétaire 2016 début février. Les élus du CE programmeront une réunion de la Commission Economique pour analyser ce budget.
Poste de monteur à Montpellier ? La requalification juridique d’un monteur CDD en procédure ayant aboutie à une rupture de contrat (avec tout de même une indemnité fort coûteuse pour l’entreprise !), la direction réfléchit à mettre le poste à pourvoir.
Postes d’OPS et d’OPV à Toulouse ? le poste d’OPS doit être pourvu par un CDD requalifié à temps partiel. Une requalification vient d’aboutir pour l’OPV mais à la filière de production. Le DRH indique que des discussions sont en cours avec la production à ce sujet. Visiblement le pôle ne compte pas se faire imposer cette requalification et considère que le poste d’OPV à la TVR est toujours vacant.
Poste de rédacteur à Poitiers ? Toujours gelé, tandis qu’un autre vient d’être publié.
Poste de rédacteur en chef adjoint vacant à Bordeaux ? Il vient d’être publié et sera donc prochainement pourvu.
COCA du 27 janvier ? Le DRH annonce la mobilité d’Alain Borrot, du Siège, sur le poste d’organisateur d’activité à Bordeaux. A Limoges, la direction annonce le recrutement d’Erwan Le Geldon sur le poste de technicien vidéo, et de Benoît Ligneau sur le poste d’OPV. Bienvenue à tous.
Poste de pilote web à Bordeaux ? La direction annonce la nomination, hors COCA, de Delphine Vialanet. Elle sera remplacée à la rédaction par Sébastien Delalot, journaliste de Périgueux dont le poste sera mis à pourvoir.
Déménagement de la locale d’Albi : les locaux sont trouvés mais la direction ne prévoit pas de cabine speak, au grand dam des salariés pour qui cela est un outil indispensable pour assurer la qualité sonore à l’antenne. Ce ne serait pas un problème de coût, mais de dogmatisme de la direction technique nationale relayée par la direction du pôle. Le directeur reconnaît lui-même que l’évolution n’est pas énorme, « il y a de nouveaux outils, on les utilise ». Les salariés de la locale refusent de travailler sans cabine speak (leur lettre ouverte à lire ici).
BIP de Bressuire : faute de candidature, la direction a décidé de fermer ce bureau, la zone d’actu étant dorénavant assurée par la rédaction de Poitiers et le BIP de Niort. Déménagement des équipements prévu en mars.
Fin de la météo à Montpellier ? : c’est effectivement une option prise par la rédactrice en chef avec les équipes. Lesquelles ? Car cette météo présentée par les téléspectateurs est une vraie démarche de proximité et une vraie réussite.
Etude acoustique de studio 4 de Bordeaux (NB : celui qui a servi pour les dernières soirées électorales) : le choix de l’expert est en cours.
Second tour des élections DP du collège ouvrier à Poitiers : la CGT avait présenté un candidat, mais la direction le considérait comme inéligible. Elle n’avait donc pas organisé le scrutin et avait saisi le Tribunal d’Instance de Poitiers. Mais la CGT a eu gain de cause devant le juge. La candidature est donc valide et le second tour aura lieu le 25 février prochain.
Obligation de cesser les planifications de plus de 6 jours continus : la directive européenne qui impose cette règle n’ayant pas été transposée en droit français, elle n’est pas opposable. D’ailleurs, les plannings prévisionnels de la future Chaîne info sont construits sur des cycles de 7 jours d’activité en continu… Les élus CGT demandent qu’une clarification soit faite pour tout France télévisions sur l’application, ou pas, de cette directive, apparemment en cours de rediscussion à Bruxelles. La direction du pôle est prête à revoir sa position si une note nationale est claire sur ce sujet.
Prochain CE le 1er mars 2016