DP Midi-Pyrénées – 8 juin 2017

Présents pour la direction : Vanessa FIXOT-LUCAS, Marion MERCIER, Léo LEMBERTON et Thierry LECARPENTIER

 

Bon pour tout vous dire, on est en période un peu tendue (ah bon, nous n’avions pas remarqué !). Plus grand-chose ne va et ceci depuis un petit moment mais qu’on se rassure : c’est dû aux élections. La direction nous répète à tout-va que c’est une période chargée, c’est les élections. Allez courage : dans quelques jours, c’est fini, du coup, logiquement, tout devrait aller mieux ! Allez, on y croit… ou pas ?

Les élus réunis en intersyndicale ont exercé le droit d’alerte suivant :

DROIT D’ALERTE DES ÉLUS DP

Dégradation générale

Nous souhaitons aborder dans cette réunion notre inquiétude vis-à-vis d’une dégradation générale des conditions de travail constatée ces derniers mois au sein de la chaîne de production. Des tensions se multiplient entre les équipes techniques et/ou les journalistes, elles prennent des proportions de plus en plus inquiétantes, en témoignent plusieurs altercations violentes ces derniers jours.

Lors des DP, nous vous avons alertés sur de nombreux problèmes générés par les restrictions budgétaires et des moyens humains dans les différents services. Le non-remplacement des absents, l’augmentation de la charge technique, sont aujourd’hui des conséquences des décisions directes de la direction de l’entreprise. Ce fonctionnement à flux tendu crée une situation générale dégradée, qui met en danger les salariés. Nous vous alertons aujourd’hui, en demandant que des mesures significatives soient prises afin d’éviter que des accidents plus graves ne surviennent à l’avenir. Votre responsabilité est celle d’assurer la sécurité des salariés sur leur lieu de travail. Aujourd’hui, cette sécurité n’est plus assurée.

Les élus souhaitent mandater le CHSCT afin de mettre en place les mesures appropriées à la cessation des problèmes.

Intersyndicale CFDT-CGT-SNJ-SUD France 3 Midi-Pyrénées

 

 

Après le peu de réaction que cette déclaration a suscité auprès de l’encadrement présent, le droit d’alerte sera transmis à Carlos. Après discussions entre cadres, un retour sera fait aux élus… si nécessaire !

Tu nous envoies les images ?

On envoie des images… mais certaines personnes non utilisatrices ont jugé qu’il n’y avait pas besoin de toutes les cartes dans l’Aviwest. Résultat, certains envois ne sont pas possibles dans des conditions normales. Derniers exemples en date, les équipes en charge de la couverture du procès AZF ont eu beaucoup de mal, ce qui génère du stress, à essayer d’envoyer les sujets dans les temps. Petit rappel, le procès avait lieu à Paris, visiblement il n’y a pas de zone blanche ! Et si tout ça n’était qu’une question d’économie ? La direction compte-t-elle remettre toutes les cartes dans l’Aviwest afin de permettre aux équipes de travailler normalement ?

En fait, la direction l’admet, les cartes avaient été retirées pour pouvoir équiper tous les Aviwest reçus pour la région. De nouvelles cartes ont donc été commandées. Pour ceux de Toulouse, ils sont à nouveau équipés des 6 cartes depuis le 24 mai.

 

Ah les rediffusions !

Quand les rediffusions frisent l’indécence. Dans un numéro de Cap Sud-Ouest datant de 2013 et rediffusé le 28 mai 2017, une séquence se déroulait avec Yves Rouquette, poète et écrivain, figure de l’occitanisme, décédé en 2015. La décision a tout de même été prise de diffuser in extenso ce numéro.

Les élus DP CGT ont demandé à la direction pour quelle raison ce magazine a-t-il été rediffusé en l’état, et si cela est courant de rediffuser des magazines si longtemps après une première diffusion.

Eh bien, la direction n’a pas d’élément à donner en explication… Et certainement rien non plus pour les proches d’Yves Rouquette !

 

Secrétariat du BRI

Les deux postes au secrétariat de la rédaction de Toulouse sont désormais vacants (dont un depuis un an). La personne en CDD sur un des postes est très compétente. Il n’empêche, il y a encore quelques mois, le secrétariat fonctionnait avec 2 postes et demi. Comment peut-on envisager de faire perdurer cette situation encore longtemps ? Les élus CGT ont déjà alerté la direction à ce sujet, à plusieurs reprises. Il serait temps de revenir à un fonctionnement normal dans ce service. La personne détachée de Montpellier qui a assuré une semaine de remplacement l’a dit et répété : c’est une situation intenable. D’autant que dans d’autres services, le remplacement des personnes absentes semble moins  problématique. Quand la direction compte-t-elle mettre ces deux postes en consultation ?

Alors là tenez-vous bien, par un jeu de passe-passe nous découvrons que la direction a fait disparaître un poste, qui n’est plus au budget. Les élus en étaient restés à la consultation pour le premier poste qui finalement n’a jamais abouti… On comprend peut-être pourquoi maintenant ! « Aujourd’hui, il n’existe plus chez nous ! » Donc le seul poste officiellement vacant sera mis prochainement en consultation. La direction rassure en disant qu’il y a recours à du renfort quand le besoin est exprimé. Mais pour combien de temps ?

 

Dessinateur de presse

Le recours à un dessinateur de presse nous a été refusé par le national. Le motif invoqué est l’impossibilité de détacher (pour une durée inférieure à un mois) une personne de la rédaction nationale pour une rédaction régionale. Les élus DP CGT ont alerté oralement la direction à ce sujet en avril dernier. Nous souhaitions en effet connaître le détail de cette nouvelle règle, savoir sur quel texte s’appuie la direction nationale pour faire cette réponse et si cette nouvelle règle est réciproque (des régions vers le national) ?

Le rédacteur en chef s’en est étonné auprès de la rédaction nationale, qui n’a pas pu lui présenter de règle établie. Yannick Letranchant et Laurence Bobillier ont été sollicités, il n’y a pas de retour pour l’instant. Le rédacteur en chef prévient que la réciprocité pourrait être de mise : à savoir que si la rédaction nationale souhaite un détachement local, sa réponse pourrait être négative… Affaire à suivre.

 

Suite incendie console son

Les élus DP ont souhaité poser une question commune à ce sujet :

Lors du dernier DP, à la question des incidences suite à la panne d’électricité du 2 mai, vous répondiez que des investigations étaient en cours et  que « les conditions de mise en sécurité ont été optimales ». Or, le 11 mai dernier, un incendie survenu en régie son a provoqué des fumées et émanations qui ont incommodé de nombreux salariés présents en régie et en salle de montage. L’investigation lancée après la panne du 2 mai  avait-elle identifié le risque d’incendie ? Quels sont les autres risques identifiés à ce jour ? Pouvez-vous nous rappeler le processus de mise en sécurité des personnels qui doit être mis en place lors de l’incendie d’un équipement ? Lors de l’incendie du 11 mai, alors que des fumées et émanations envahissaient la régie et les salles de montage, pourquoi une évacuation partielle n’a-t-elle pas été ordonnée ? Aujourd’hui, plusieurs semaines après l’incident, nous avons comptabilisé 6 accidents du travail liés à cette combustion. Autrement dit, il s’agit d’un événement d’une importance conséquente. Confirmez-vous ce chiffre ? Hormis ces accidents du travail, avez-vous recensé combien de personnes avaient plus largement été concernées par cet incident ? Leur avez-vous communiqué les démarches à suivre pour signaler d’éventuels accidents de travail ? Si non pourquoi ? Le 30 mai dernier, vous faites déplacer une personne chargée de l’analyse de l’air pour effectuer des relevés en régie son…3 semaines après l’incident. Quel était l’objet de cette visite ? Pourquoi les représentants du personnel n’en n’ont-ils pas été informés, alors qu’une enquête CHSCT a été ouverte ?

La direction nous répète qu’il n’y pas eu de feu ni de fumée détectable par les détecteurs. Pourtant, il y a bien eu des effets sur des personnels même plusieurs jours après la combustion.

En l’état actuel, on ne peut pas évacuer juste une partie du personnel.

Les résultats de l’analyse sont attendus d’ici fin juin, ensuite la direction pourra envisager un nettoyage du site en question parce qu’elle attend de savoir ce qu’il faut évacuer…

 

Un peu d’ambiance

Suite à la question DP du 30 mars 2017, les élus DP CGT souhaitaient savoir si la direction avait trouvé une solution pour que les équipes de reportage puissent ramener du son d’ambiance exploitable. La demande avait été faite pour que les équipes de tournage soient équipées de micro adapté à la prise d’ambiance, à défaut d’avoir un preneur de son sur des tournages type feuilleton. Les élus ont rappelé que l’équipement actuel ne permet pas de ramener et d’exploiter le son d’ambiance alors qu’il s’agit d’une attente de plus en plus grande de l’encadrement et des rédacteurs. Quelle suite la direction compte-t-elle donner à cette demande ?

Selon le chef de centre, les JRI disposent de l’équipement standard prévu pour le renouvellement du matériel dans le réseau. Il y a bien eu échange entre cadres à ce propos mais pas de chance, le cadre technique qui s’est penché sur la question est absent et donc rien ne bougera pendant son absence. De toute façon, le chef de centre nous a précisé qu’il y avait pas mal de dossiers à gérer par la technique et du coup celui-ci se retrouvait sous la pile ! A bon entendeur, en même temps, ça tombe bien puisqu’il s’agit de prise de son ! Donc conclusion, une demande légitime des professionnels ne trouvera pas de réponse avant un certain temps et en attendant, on oublie les sons d’ambiance ?

 

Tu me mettras des palettes !

Là aussi, il s’agit de demandes de plus en plus pressantes de l’encadrement. Mais quels moyens met le service technique pour que les journalistes puissent répondre à cette demande ? Pourquoi ne pas mettre enfin les moyens (en planification et/ou en formation et/ou en créant un poste d’infographiste) en adéquation avec le contenu attendu dans nos journaux ? Certains journalistes, désormais, ont décidé de ne plus utiliser de palettes tant que de vrais moyens n’existent pas à Toulouse.

Ah nous aimerions bien en avoir des palettes mais… comme il n’y aura pas de création de poste d’infographiste (alors qu’il en existe dans certaines régions) eh bien, on continue comme aujourd’hui. Cela ne satisfait personne.

 

Ah les frais de mission des CDD…

Pourquoi les CDD n’ont-ils plus d’avance de frais de mission ? Certaines stations ont déjà du mal à trouver des remplaçants, cette décision ne va pas les encourager à y aller si désormais il leur faut en plus attendre la fin de la mission pour avoir un déblocage de fonds. Avec la nouvelle volonté de la direction de ne prendre en charge que le repas du soir, que se passe-t-il lorsque le CDD est en déplacement pour le travail le midi ? Est-il défrayé ? Ce nouveau règlement crée la confusion, les agents sont perdus.

Amis et collègues CDD : avec la nouvelle méthode décidée par la direction nationale, il n’existe pas de forfait, du coup on ne peut plus calculer d’avance. La seule solution est donc que vous demandiez une avance sur salaire auprès du service RH… Pour ce qui est du repas du midi, si vous êtes en tournage, il est pris en charge.

 

Les matinales

On sait qu’à la rentrée les Matinales passent à 5 diffusions par semaine mais on ne sait pas qui va les animer. Avec le départ du présentateur pour un poste dans l’encadrement à Montpellier, la direction compte-t-elle faire un appel à candidature en interne ? Est-il exact qu’un recours à une boîte de production soit envisagé pour trouver le futur présentateur ? En période de restriction budgétaire, quel coût aura cette décision, alors que l’audience n’est toujours pas au rendez-vous ?

La direction n’a pas d’éléments à communiquer aux élus (décidément !). Carlos Bélinchon doit faire un point sur la grille de rentrée lors du prochain CE à Toulouse le 22 juin.

 

Les accidents du travail

Les JRI sont les personnes à déclarer le plus d’accident du travail (enfin quand il n’y a pas d’incendie en régie). Des règles simples sont en pratique, règles déjà validées. Par exemple, on ne part pas seul pour filmer un accident de la circulation, des bouchons… Pourquoi, alors, demander à un JRI CDD de partir seul filmer les bouchons de retour de week-end ? Une élue DP et CHSCT l’a rappelé à l’adjoint en charge de ce week-end avant le départ en tournage, alors qu’au moins une personne de la rédaction était disponible. Pourquoi avoir pris cette décision ? Il s’agit là d’une mise en danger potentielle.

Alors-là tenez-vous bien ! Réponse du rédacteur en chef : la demande de filmer les bouchons avait été faite à une équipe qui selon lui, ne l’a pas fait. Et pour cause ! Quand cette équipe est passée au péage en rentrant de son tournage de sujet pour le soir, de bouchons il n’y en avait pas. Cela a été signalé. Le passage, plus fluide qu’en semaine, du péage a même été filmé, on ne sait jamais, question confiance faite aux équipes sur le terrain par l’encadrement… Décidément, on en reparle encore ce mois-ci !

Suite de sa réponse : un JRI peut partir seul filmer des bouchons (depuis un pont). « Et si en plus à chaque fois, il faut demander à 2 personnes, on s’en sort pas ». Le problème posé vise plutôt un retour en bon état du terrain !

 

COCA

Le prochain COCA se tiendra le 21 juin, il n’y a pas pas de poste à présenter en Midi-Pyrénées.

 

Rédaction en chef de la locale d’Albi

Le mois dernier, la direction faisait savoir que le processus de recrutement du rédacteur en chef adjoint à la locale du Tarn était enclenché. En effet, le poste a été mis en consultation le 1er juin. A quelle date le recrutement devrait pouvoir être finalisé ?

La direction espère que la prise de poste sera effective à la rentrée de septembre, si elle est prête pour le présenter au dernier COCA avant les vacances (le 19 juillet).

 

Effectif week-end

Le mois dernier, les élus DP CGT avaient alerté la direction sur le problème des effectifs insuffisants le week-end. Le week-end des 27 et 28 mai, il n’y avait que deux équipes d’actu pour couvrir toute la région. Du coup, deux reportages de deux régions voisines ont été diffusés dans le journal du dimanche. Et les effectifs ont été les mêmes pendant le week-end de la Pentecôte. Cette situation n’est pas tenable.

Qu’on se rassure, il n’y a pas d’injonction à diminuer les effectifs du week-end. Mais, vous savez, nous sommes en période d’élections… Il n’y avait personne pour couvrir le Lot ou l’Aveyron car les équipes avaient été mobilisées en semaine pour des sujets sur les législatives. Il aurait fallu solliciter des CDD, mais là vous savez « il n’y avait pas de motif de contrat ». Ah la chasse aux ETP… On est bien loin de notre mission première : couvrir l’actu. Mais on a du mal à intégrer, c’est « une séquence particulière avec les législatives ! » Et pour les sujets venant d’ailleurs, la solution satisfait le rédacteur en chef, les sujets étaient concernants… Et si on faisait un mini-journal national ?

Petite info glissée comme ça, vite fait : des arbitrages sont en attente pour connaître le contenu des JT à la rentrée, dixit le rédacteur en chef. Il y a une réflexion sur les contenus plus que sur les effectifs. Mais la direction nous rappelle qu’il y a un principe de réalité : les contraintes budgétaires sont lourdes.

 

Avenir des locales

Les premières restitutions des commissions pour l’avenir des locale ont-elles eu lieu ? Si non, quand le seront-elles ?

Carlos Bélinchon pourrait faire un point au prochain CE à Toulouse le 22 juin.

 

Accès Elec+

Les journalistes peuvent-ils avoir accès à Elec+ pour disposer directement des contacts politiques, sans passer par l’encadrement ?

L’accès est possible sur simple demande qui doit être validée par le rédacteur en chef. Cette autorisation sera donnée sur une période donnée.

 

Actu 19h

Au risque de nous répéter, la répartition des actus 19h n’est pas équitable. Or ce principe ne peut fonctionner que si les salariés ont la preuve que tout le monde « joue le jeu ». Les élus DP CGT ont souhaité savoir si la direction avait progressé dans l’organisation d’une meilleure répartition.

D’après l’encadrement, il y a équité en tenant compte de l’ensemble des contraintes (feuilleton tournage-montage, Enquêtes de Région, présentation…) sur plusieurs semaines. Il existe un tableau récapitulatif à jour à disposition au service planning.

Le rédacteur en chef évoque la possible disparition de la contrainte web 10h afin de limiter un peu les contraintes horaires, mais ce n’est pas encore tranché. Affaire à suivre.

 

Maintenance

Le responsable de la maintenance est en arrêt maladie pour un certain temps. Comment le service va-t-il s’organiser pour assurer la continuité de cette activité pendant cette période ?

Il n’y a pas de remplacement envisagé, c’est donc aux autres cadres techniques de pallier cette absence.

 

JT extérieurs

Il semblerait que les JT extérieurs deviennent de plus en plus fréquents. La rédaction n’a à ce jour aucune information que ce soit pour les sujets d’été ou les JT en extérieur. Est-il exact que pour des JT extérieurs, aucune sécurité ne soit envisagée, pas de journaliste et techniciens en studio si problème technique en extérieur ?

Depuis la réunion DP, un mail est tombé pour annoncer une réunion pour informer le programme de cet été, le 23 juin. La décision a été prise de proposer cet été des JT extérieurs pour couvrir des festivals…

Pour ce qui est du secours en plateau, il y a là aussi évidemment un problème de moyens humains, sauf « à refuser des congés » ! Bon qu’on se rassure, il y a toujours le retour possible sur le programme national en lieu et place du notre JT régional si jamais il y avait un quelconque problème à l’extérieur. En résumé : « on accepte de prendre des risques ou on renonce aux sorties ».

Nous avons aussi abordé le problème de l’absence de maquilleuse sur les directs. Réponse de la direction : tout dépend des moyens humains disponible, mais il n’est pas prévu d’affecter une maquilleuse en « surnombre » pour accompagner les missions du VPTL, et même s’il s’agit de toute l’émission du matin ! Pour ce qui est du journal, s’il s’agit d’une page spéciale dans le journal : idem. Bon, si c’est un JT extérieur, la maquilleuse du JT ira sur le terrain. Et puis, de toute façon, le chef de centre part du principe que les téléspectateurs aiment qu’on soit sur le terrain.

 Et tant pis pour les professionnels qui aiment leur métier, s’ils ont la sensation de faire télé amateur !

 

JT extérieurs bis

Les équipes planifiées sur le JT extérieur ‘retour Thomas Pesquet’ l’ont appris par le biais du planning vendredi soir. Puis une partie des modalités des tournages leur a été communiquée par une assistante de production ! Est-ce la nouvelle manière de communiquer au BRI de Toulouse ?

Réponse de l’encadrement : « certains journalistes étaient au courant » et pour les autres « c’est un manque de curiosité » ! Bon résumons, visiblement seule la journaliste présentatrice en charge de ce JT extérieur avait des infos. Pour les petites mains, ben, heu, soyons curieux ! Et puis bon, « c’est les élections, on est un peu chargé » !

En attendant l’aménagement de la rédaction

Depuis des années nous demandons l’aménagement de la rédaction de Toulouse. C’est visiblement un projet au long court. Mais une demande déjà exprimée nécessite une réponse rapide. Les rédacteurs ont besoin d’avoir à disposition une salle pour pouvoir caler des sujets et/ou lire des dossiers au calme. L’an passé il avait été demandé au chef de centre d’avoir accès à la salle de réunion située juste après la documentation au premier étage, une fin de non-recevoir avait été faite. Quelle solution la direction peut-elle mettre en place afin que les rédacteurs puissent enfin avoir des conversations téléphoniques tranquilles pour caler les reportages ?

Pour faire court, une réunion a eu lieu avec des membres de la rédaction et la responsable des moyens généraux. La demande d’aménagement doit être validée par le rédacteur en chef, puis elle sera communiquée avec un projet de financement au directeur régional. Consultation en comité de direction régionale, validation ou pas, puis enfin, si validation régionale, une demande sera faite au niveau national. En résumé, on s’en reparle dans quelques mois, années…

Pour ce qui est de pouvoir caler des sujets ou lire des dossiers au calme, la direction a suggère d’occuper les 2-3 bureaux libres (enfin rarement utilisés) situé au second étage, entre le bureau de Carlos Bélinchon et ceux du service RH. Ah bon entendeur !

 

Retraite et mutuelle

Un décret paru en mars dernier (n°2017-372 du 21.3.17) encadre la hausse tarifaire des complémentaires santé pour les salariés qui partent à la retraite en conservant leur mutuelle d’entreprise.

Pour les départs à la retraite, on peut garder le contrat JADE, de nouvelles conditions seront en application au 1er juillet :

  • La 1ère année au tarif identique à celui des actifs
  • 2ème année tarif +25%
  • 3ème année tarif +50%

Il y aura bientôt une communication officielle.

Pour les salariés quittant l’entreprise via une rupture conventionnelle ou autre, il y a une portabilité pendant 12 mois au même tarif que les agents en poste, à condition qu’ils soient pris en charge par Pôle Emploi.

Prochaine réunion des DP : jeudi 6 juillet

Vos élu-e-s CGT : Virginie Beaulieu-Gasnier, Magalie Debenest, Daniel Duralek, Laurent Faure, Chantal Fremy, Marie Martin

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