Compte-rendu des élus CGT de l’Instance de proximité du 15 septembre 2020

 

 

 

 

Etaient présents le Directeur régional, le DRH, deux élus et Jacques Denoyelle, l’expert de Secafi. 2 autres élues étaient en visio (qui s’est transformée en audio).

 

 

En préambule, les représentants de proximité d’Aquitaine ont exprimé leur sentiment de ne pas pouvoir exercer correctement leurs missions. En effet, ils ont accepté, à nouveau, de tenir la réunion pour certain(e)s en visio compte tenu de l’état sanitaire de la Gironde. Ils sont bien conscients des difficultés inhérentes à l’épidémie de Covid. Mais la direction ne leur a toujours pas fourni les moyens adéquats : à savoir un bureau isolé et un ordinateur doté d’une caméra. Les deux élues qui ont assisté à distance à la réunion ont d’ailleurs dû se contenter d’une image et d’un son dégradés.

Davantage de documents écrits faciliteraient également leur travail.

Les élus ont également regretté que certaines informations continuent à être délivrées lors de l’audio conférence avec les salariés et pas en instance de proximité (ce que le DR a contesté), d’autres passées sous silence.

La Direction regrette, elle aussi, ces conditions et aspire à un retour à la normale. Retour que personne ne peut dater, il est donc urgent d’organiser le provisoire.

 

 

Point 1- NoA

Retour sur l’atelier des salariés du service GA/RSCA mené le 15 janvier 20

Cet atelier avait été organisé suite à l’accident de travail d’une salariée le 25 octobre 2019 et au déclenchement d’une alerte pour danger grave. Animée par leur chef de service, cette réunion de travail a permis d’entendre la parole de salariés et de dégager 20 propositions correctrices.

Cette méthode qui participe à la gestion dite « en mode projet » prévue par l’accord QVT d u 12 juillet 2017, suppose une révolution dans l’approche managériale. Les salariés sont considérés, non pas comme des exécutants, mais des sachants, meilleurs experts de leur poste de travail, parfaitement capables de poser un diagnostic et de formuler des solutions d’amélioration. Le chef de service ou animateur n’oppose pas une fin de non-recevoir à un problème aussi complexe soit-il mais tente, avec eux, de trouver une réponse.

Force est de constater que les GA/RSCA et Jean-François Karpinsky ont fait la démonstration que c’était possible. L’analyse des problèmes et des besoins a été suffisamment poussée et précise pour que les préconisations dégagées s’imposent avec une remarquable pertinence.

 

Elles peuvent se résumer à  4  grands axes :

1 – une livraison de la grille sur trois semaines

2- un effectif stable et suffisant et une organisation du service qui répartit les activités et prévoit des vacations sur une semaine minimum.

Remarque des élus CGT : le service semble avoir atteint la bonne taille. Les dépassements horaires sont désormais exceptionnels et dans un volume acceptable. L’organisation doit être peaufinée afin d’intégrer les volontaires de Poitiers et Limoges et les futurs volontaires dont l’UCC aura été validée sur une récurrence leur permettant de garder leurs compétences et leur savoir-faire.

3- Des outils adaptés :

Les GA/ RSCA travaillent sur des outils qui ne se parlent pas et qui ne parlent pas le même langage. Ils doivent effectuer des doubles saisies, multiplier les clics et les manipulations chronophages. Des nouvelles versions sont attendues d’ici la fin octobre.

4- une meilleure communication sur leurs activités afin de limiter les sollicitations « polluantes » qui ne relèvent pas de leur mission.

 

En plus de cet atelier, la direction accompagnée par la direction de la santé et de la qualité de vie au travail avait décidé une observation ergonomique de leurs postes de travail. De son côté, le CSE avait mandaté le cabinet d’experts Secafi pour accompagner les élus et la direction.

Ces actions menées en parallèle aboutissent à des constats communs dont la très grande complexité du travail des RSCA et des préconisations qui se rejoignent.

La DSQVT a rappelé que ce type de projet ne pouvait fonctionner que si le salarié y était associé, dès le départ et par des points d’étape réguliers. Comme l’expert Secafi, elle a pointé un manque d’anticipation. La Direction en a convenu. Il aurait fallu tenir cet atelier non pas à 18 mois mais à trois mois.

Remarque des élus CGT : quatre conditions sont indispensables à la réussite d’un projet

1 une direction qui est convaincue de l’intérêt de la démarche

2 un animateur-chef de service qui sorte de la posture classique de manager pour co-construire des solutions

3 des salariés investis

4 des élus qui fassent du liant et non de l’opposition.

Il est regrettable qu’il ait fallu un très long arrêt d’une salariée du service mais ce qui a été réalisé depuis est exemplaire et pourrait inspirer FTV dans ses projets à venir.

Les élus CGT ont, par ailleurs, demandé une vigilance sur la charge de travail de Jean-François Karpinsky, par ailleurs investi d’autres missions que celle de gérer le service. La Direction s’y est engagée.

 

Retour sur l’atelier des chargés de diffusion :

Une élue de l’IP d’Aquitaine et une élue du CSE, membre de la CSSCT avaient assisté à l’atelier. Elles avaient constaté une tension très vive et des échanges, notamment de la part de l’encadrement beaucoup, moins respectueux que ceux de l’atelier des GA/RSCA.

 

Le document listant leurs préconisations s’en ressent.  Les élus CGT ont eu le sentiment que les sujets n’avaient pas été complètement purgés. Notamment sur la qualité du son. Une solution partagée entre les salariés et la direction n’a pas été trouvée.

Les élus CGT ont suggéré un groupe de travail sur cette question débattue en Cesae depuis le lancement de Noa.

Quelles normes pour cette chaîne?

Pour France 3, la question ne se pose pas. Des normes existent, elles sont partagées et bien sûr contrôlées. Noa diffuse des produits numériques dont le son répond à des critères différents. Il faut donc convenir avec les salariés experts, d’une norme acceptable pour Noa et l’imposer aux boîtes de production. Puis définir comment et qui contrôle la qualité technique de ces produits.

La Direction accepte de réaliser un état des lieux.

L’une des questions posées lors de cet atelier portait sur « l’avenir du métier ». Les vidéos peuvent légitimement s’inquiéter du déploiement annoncé des régies automatisées. Avec cette activité de « chargés de diffusion », Noa pouvait leur offrir de nouvelles opportunités.

La Direction néo-aquitaine est maintenant face à un choix :

Laisser la fiche d’activité des chargés de diffusion se réduire un peu plus jusqu’à recouper les missions des vidéos et, de fait, tuer cette activité. Ou au contraire l’enrichir de compétences en son, en mise en image (des UCC existent). Ils pourraient ainsi continuer à exploiter le VMix, et pourquoi pas avoir un contrôle sur la qualité technique.  Interrogée par les élus CGT, La direction dit avoir l’intention de valoriser cette activité.

Un séminaire doit être organisé rapidement afin d’apporter une réponse aux questions restées en suspens. Sa bonne conduite est essentielle.

 

Pour les chargés de conception et fabrication numérique 

Les élus avaient demandé un tableau récapitulatif des volontaires qui pratiquent encore et qui acceptent d’être devant l’I Phone ou juste derrière.

Sur Tous les chemins mènent à vous, ils sont 18 en Aquitaine, dont 9 uniquement derrière la caméra, un ou deux uniquement devant. La direction indique deux désistements. La décision de passer de 5 enregistrements à 3 par semaine a été dictée, explique-t-elle, par une volonté de simplifier la gestion du quotidien « sans se mettre le couteau sous la gorge ».

Marie-Luce Rigout (essentiellement) et Bernard Gouley coordonneront désormais ce programme. L’assistante d’émission reste en charge du calage des invités.

Le DR reconnaît qu’il est toujours difficile de couvrir les territoires du pays basque, Béarn et Landes. La Déléguée Antenne et Contenus travaille actuellement à une nouvelle ligne éditoriale pour l’an prochain. Un atelier s’est également tenu autour de cette activité de « chargé de conception et de fabrication numérique ». La restitution est prévue le 5 octobre.

Les élus avaient également interrogé la direction sur le nombre de volontaires touchant la prime. Sur l’ensemble d’une trentaine de volontaires, 11 la perçoivent et ont donc pratiqué au moins dix fois l’une des trois compétences de cette activité. C’est le service RH qui fait un relevé mensuel et le transmet à la paie.

Les élus CGT avaient enfin demandé un point sur les formations dispensées aux volontaires.

Le tableau anonymisé fourni par la Direction fait apparaître une formation à la carte selon les compétences et les besoins du collaborateur et une moyenne de 11 jours de formation par volontaire. C’est incontestablement un effort considérable même si la planification trop espacée freine la montée en compétence.

 

Le Directeur Régional a fait un point sur le COM 2 de Noa : il ira de janvier 2020 à décembre 2023. Le dossier a été remis à la région le 24 août, le grand oral a eu lieu jeudi dernier devant tous les conseillers régionaux. Le Directeur Régional indique que les débats ont porté sur les questions de fond, d’organisation et de lisibilité. Il a été reconnu que, lors du premier COM, les engagements que nous avions pris ont bien été tenus et que l’image de NOA collait bien à la Nouvelle-Aquitaine. Pour ce COM 2, la Direction néo-aquitaine demande  1 million 200 000 euros par an sur 3 ans. Cet argent servira à payer 5 alternants et à produire 8 documentaires supplémentaires et de nouvelles émissions. L’audition a duré 50 minutes. Il estime que cela  s’est bien passé. La réponse est attendue début décembre et devrait être validée en séance plénière mi-décembre. Le DR précise que si l’enveloppe n’est pas accordée entièrement ou même pas du tout, cela ne changera rien pour Noa qui perdurera quoiqu’il arrive au-delà du 31 décembre 2020 d’autant que nous avons un contrat de 5 ans avec le CSA (il en reste encore 3). Concernant les langues régionales, les émissions de langue occitane Ketokole, de langue basque Txirrita et le module en saintongeais sont maintenues.  Noa mène également un travail avec Kanaldude pour la production d’une émission musicale sur les petites foires du Pays basque avec des musiciens, clôturée par un concert. La direction précise qu’elle travaille aussi avec eux pour la diffusion des championnats de France de pelote basque dont nous avons les droits. Nous faisons une rétrocession gracieuse à Kanaldude.

En revanche, le DR  déclare qu’en aucun cas, il n’a été question dans cette présentation de la proposition faite à France 3 Euskal Herri de faire un journal entièrement en langue basque une fois par mois.

Concernant la pelote, il y a 15 jours c’était une première, nous avons retransmis les finales du championnat de France. Les retours ont été bons avec notamment 70 000 vues par jour sur 2 jours sur Facebook et nous n’avons pas eu non plus de remarque particulière de France 3 National concernant les audiences, ce qui veut dire qu’elles étaient dans la lignée de ce que diffuse habituellement le réseau. Nous allons tenter de reproduire mais cette fois en diffusant aussi sur le Béarn, donc ce sera une retransmission Pyrénées-Atlantiques. Nous ferons aussi davantage de communication avec notamment des bandes annonces diffusées dans le JT Euskal Herri

 

 

 POINT 2 – Bilan Diversité 2019

 

Présenté par Josiane Lacroze (RRH), ce bilan annuel aborde le handicap, la mixité et l’égalité professionnelle femmes-hommes, le genre et l’orientation sexuelle, la diversité sociale et ethnoculturelle, l’âge (jeunes et séniors).

Sur 191 salariés à France 3 Aquitaine, la proportion est de 45% de femmes pour 55 % d’hommes.

4 recrutements ont eu lieu : 2 hommes et 2 femmes dont une ancienne alternante qui vient doubler le taux d’emploi des jeunes de moins de 30 ans, celui-ci passant à… 2,1% (soit 4 jeunes de moins de 30 ans alors qu’il n’y en avait qu’1 l’année précédente).

Il y a 8 contrats alternants en cours dont 5 débutés en 2019.

Le taux de femmes dans l’encadrement passe de 28,6% à 31 % avec le recrutement de la rédactrice en chef.

Concernant le handicap, le taux d’emploi est de 7,14% (au-dessus de l’obligation fixée à 6%). 12 jours d’autorisation d’absence ont été pris par certains salariés pour accomplir des démarches diverses liées à leur situation (suivi médical, parent d’un enfant handicapé…). Rappel : les salariés ayant une reconnaissance de handicap ont droit à 6 jours d’autorisation d’absence en plus de leurs jours de congés traditionnels.

L’association L’Autre Cercle, avec laquelle a été signée la charte LGBT+, a mené une opération de sensibilisation aux enjeux de la diversité liée à l’orientation sexuelle. Elle est intervenue en codir dans lequel 7 managers d’Aquitaine étaient présents. Le cursus managérial prévoit aussi un focus à ce sujet.

Par ailleurs, sur la plateforme e-université il y a un grand nombre de formations accessibles aux collaborateurs.

 

 

POINT 3 – Gestion de la crise sanitaire Covid-19

 

La Direction a indiqué que  2 salariés à Bordeaux ont été testés positifs au Covid-19, ils sont donc à l’isolement durant 7 jours puis seront dans l’attente des résultats d’un second test avant une reprise d’activité elle-même soumise à l’accord du médecin du travail. D’autre part, 2 cas contacts identifiés sont aussi à l’isolement chez eux, dans l’attente des résultats des tests de dépistage.

Dorénavant la règle est la septaine. Même si le médecin du collaborateur estime qu’il n’est pas nécessaire de faire un test à l’issue des sept jours, France télévisions exige obligatoirement un passage devant le médecin du travail qui peut conseiller un nouveau test. Dans l’attente du résultat, l’isolement est poursuivi.

A la demande des élus, la direction précise qu’elle ne peut pas demander un certificat médical à un CDD avant le début de son contrat. Les collaborateurs jouent le jeu, souligne la Direction. Il faut continuer pour éviter de propager le virus sur le lieu de l’entreprise.

 

Malgré l’insistance des élus, la direction maintient la fermeture des salles de sport et de repos pour des raisons sanitaires.

 

Jusqu’au 30 septembre, le dispositif exceptionnel de télétravail / travail à domicile se poursuit sous forme de dérogation à l’accord d’entreprise. Actuellement, sur la rédaction de Bordeaux : 4 journalistes télétravaillent (parfois jusqu’à 3 ou 4 jours par semaine selon l’appréciation du manager pour que ça ne désorganise pas le fonctionnement général), à la communication, c’est 3 jours de télétravail, à Noa 2 jours de TT pour une collaboratrice et le service RH, 2 jours par semaine. Les documentalistes ont un avenant télétravail d’1 jour par semaine pour septembre donc elles ont été dotées d’un ordinateur portable.

Selon le DRH, personne ne travaille à son domicile avec son ordinateur personnel mais avec le matériel mis à disposition par l’employeur. En tout, 16 ordinateurs portables ont été commandés (fournis par le Siège), 8 étant en cours d’arrivage, et distribués aux salariés.

 

 

POINT 4  – Organisation et conditions de travail

Des déménagements de bureaux sont en cours suite à la réorganisation de certains services, notamment à NoA, avec le départ d’un chargé de suivi éditorial qui retourne à son poste de responsable d’édition au sein de la rédaction. Marie-Luce Rigout s’installe aux côtés de l’assistante de TLCMV pour fluidifier la communication entre elles. Un bureau se libère donc au deuxième étage. Les élus suggèrent de le transformer en « bureau de confidentialité » qui manque toujours au premier étage.

Le départ de la directrice du réseau libère aussi un bureau au rez-de-chaussée du bâtiment A à partir du 29 septembre.

 

Concernant les matinales avec France Bleu, le DR précise qu’une réunion était prévue ce jeudi 17 septembre à France bleu qui souhaite démarrer les matinales le 13 octobre mais Xavier Riboulet, lui, préfèrerait le 2 ou 3 novembre, au retour des vacances de la Toussaint. La mise en images, les éclairages, le matériel et le maquillage sont à la charge de France Bleu. Nous mettons à disposition des images et une documentaliste pour illustrer les sujets. Il y aura aussi besoin parfois d’un peu de montage pour enlever les interviews des sujets. Lors de cette réunion, un point doit être fait aussi concernant les journalistes et animateurs qui acceptent ou non de passer à l’antenne.

 

La première émission Tant d’Efforts de la saison, désormais diffusée en direct le dimanche à 18h, s’est bien déroulée, selon la direction. Si la planification d’un monteur supplémentaire facilite la fabrication de l’émission, les élus CGT signalent qu’il faudra cependant rester vigilant à la charge de travail induite pour 2 métiers en particulier : le technicien vidéo qui doit assurer  la mise en images de deux émissions consécutives (TEF + JT 19h) et réaliser de nombreuses palettes graphiques et plasmas, ainsi que le chef d’édition qui doit suivre l’évolution de 2 conducteurs simultanément et la fabrication des éléments y attenant.

La direction affirme qu’elle restera attentive et qu’un point sera fait sur la fabrication de cette émission à la Toussaint.

 

 

POINT 5  –  RH

2 postes de monteurs seront pourvus au BRI

2 mobilités à la communication

un poste de JRI sera pourvu par mutation au BRI

un autre à Périgueux

les deux postes de Dax et Mont-de-Marsan sont toujours en attente mais seront pourvus.

 

 

Point  6 question financière

 

Contrairement à ce que la direction a affirmé lors de la dernière instance, les primes BAV n’ont pas été versées aux salariés travaillant dans les locales de Bayonne et Pau le week-end. Le DRH  explique que cela vient d’un problème de communication. Lors du confinement, comme les journalistes étaient en mode boîte noire tous les jours, les assistantes ont demandé si la prime BAV devait être versée tous les jours. La direction nationale a répondu par la négative. C’est ce qui a été transmis aux services. Il y aurait eu incompréhension et les primes n’ont pas non plus été versées le week-end comme elles auraient dû l’être. Le DRH indique qu’il va donc y avoir une régularisation et que les localiers ayant travaillé le week-end percevront les primes comme avant.

 

 

A la demande orale des élus CGT, le DR fait le point sur les congés et les dispositifs retenus pour les vacances scolaires de fin d’année.

Actuellement le solde de congés restant est de 0.4 à 0.5 par collaborateur en Aquitaine mais il faut rester attentif car cette année la pose de congés sur le CET sera limitée à 5 jours. Pour la fin de l’année dans les locales le dispositif retenu est le suivant : 2 équipes par locale avec un chef d’édition. Il y aura 4 monteurs pour les 3 locales au lieu de 6 habituellement et un 5ème en plus à Bordeaux pour assurer les montages en cas de besoin. Il est donc demandé aux rédacteurs en chef adjoints des locales d’avoir des sujets d’avance à diffuser sur ces 2 semaines et cela à moyens constants. Pour le dispositif au niveau du BRI, c’est toujours en cours de définition.

 

La prochaine instance aura lieu le 6 octobre, n’hésitez pas à nous faire parvenir vos questions.

Par ailleurs, le comité local des salaires aura lieu le matin. Nous restons à votre disposition si vous estimez être en disparité ou que vous souhaitez que votre situation soit examinée.

 

 

Vos élus CGT d’Aquitaine

 

 

Imprimer cet article Télécharger cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.