Présents pour la direction : Vanessa Fixot-Lucas, Marion Mercier, Carlos Bélinchon et Thierry Lecarpentier.
DEMENAGEMENT DE LA LOCALE D’ALBI
Le dernier plan d’aménagement des nouveaux locaux de France 3 Tarn (plan proposé par la direction) ne paraît pas satisfaire pleinement la rédaction. En cause notamment, la suppression de la salle de conférence qui est aussi un lieu de vie… Ainsi que deux bureaux qui se retrouvent excentrés donc isolés des autres. Une contre-proposition a été faite en CHSCT, lequel a émis un avis négatif sur le projet actuel. Cette contre-proposition a-t-elle été étudiée ?
La direction assure que la proposition des élus a bien été étudiée mais pas retenue, essentiellement pour des raisons économiques. Le budget initial serait déjà largement dépassé, et le planning des travaux ne permettait pas non plus une quelconque modification. Les travaux sont en cours ; l’emménagement devrait avoir lieu fin juin.
Les élus apprennent qu’il y aurait un risque du côté de la mise à l’antenne : le raccordement à la fibre optique traînerait. Ça promet…
Le VRC (KA-SAT) Albigeois est à Paris pour être réparé. Il devrait revenir incessamment sous peu. Le chef de centre a proposé qu’un JRI d’Albi se rende à Paris pour le tester mais il ne serait pas remplacé donc ça coince. Forcément.
PRISES ÉLECTRIQUES DANS LES SALLES DE MONTAGE
Suite aux questions récurrentes posées à ce sujet, il a été demandé à la direction de faire le point sur les salles de montage toulousaines équipées de prises électriques disponibles près du poste du rédacteur et celles qui restent à équiper.
Pour l’instant, six salles de montage sont équipées et les travaux continuent, en fonction de la disponibilité des salles.
EQUIPEMENTS
Les élus du personnel souhaitent savoir quels sont les équipements (vêtements chauds, chaussures de marche, bottes, parapluie pour direct) mis à disposition pour les tournages en montagne ou à la campagne, en été comme en hiver.
Les équipements fournis se résument au blouson FTV, lequel s’avère ne pas être étanche, preuves à l’appui. Les blousons viennent d’un marché national pour France 3 (hors rédaction nationale semble-t-il). « On joue le jeu », explique le chef de centre, « et le problème sera remonté ». Il n’exclut pas de sortir de cet appel d’offres si le matériel n’est pas mieux adapté aux besoins des salariés qui travaillent en extérieur. Une réflexion est engagée pour remplacer cet équipement non imperméable, voire le compléter.
S’il y a mise en danger du salarié faute d’équipement adéquat fourni par l’employeur, on peut refuser le tournage, mais attention « il faudra prouver la mise en danger ».
Les élus regrettent que le système du bon d’achat ait été abandonné.
2016, ANNEE BISSEXTILE
L’année 2016 est une année bissextile. Quelle conséquence pour un salarié travaillant au forfait-jour ou au décompte horaire ?
Pour les salariés au forfait-jour : attribution d’un jour de repos compensateur.
Pour ceux au décompte horaire : pas de conséquence.
Encore une belle différence de traitement !
JOURS DE PREPARATION POUR LES JOURNALISTES
Suite à la demande des journalistes, la direction rappelle quelles tâches donnent lieu à des jours de préparation :
Les tournages bénéficiant de jour de préparation sont :
- les dossiers Matinales, La Voix Est Libre, Métropole, ULUH et Innov’action
- les feuilletons
- le magazine Enquêtes de régions
- certains sujets Sport, Culture et Occitan. A priori, c’est le rédacteur en chef qui les détermine.
Si vous êtes dans ce cas et pour autant ne bénéficiez pas de jour de prépa, faites le valoir, vous y avez droit.
CONGES
Les élus DP CGT souhaitent savoir si les demandes de congés en 2016 ont fait l’objet de refus ou de modifications.
Pour la période de mars à septembre 2016, la date limite de dépôt de ses congés était le 15 janvier. Un grand nombre de salariés a dépassé cette date. Malgré cela, la grande majorité des demandes a été acceptée (à ce jour deux demandes ont dû être modifiées). Celles arrivant ces dernières semaines pourraient être refusées ou partiellement modifiées… Avis aux retardataires !
PLANNING PREVISIONNEL
Les journalistes de la rédaction de Toulouse, qui sont peu satisfaits du planning prévisionnel à deux mois enfin mis en place, car sans les jours de RH, regrettent un manque de souplesse concernant les changements. Ceux-ci, s’ils sont à la demande du salarié, ne sont acceptés que si ledit salarié trouve lui-même une solution, en trouvant par exemple un collègue pour le remplacer. Pourquoi un tel manque de souplesse ? Est-ce la contrepartie de la mise en place de ce planning prévisionnel ?
Réponse : le planning prévisionnel est disponible en ligne. Il tient compte des contraintes personnelles connues par le planning. Afin de ne pas le refaire tous les jours, il est demandé aux journalistes de trouver un remplaçant parmi leurs collègues, s’il doit y avoir modification.
Si c’est relativement aisé de le faire dans un « petit » service sédentaire, c’est nettement plus compliqué pour un service comme la rédaction !
PLANNING ENCADREMENT
La semaine dernière un salarié du BRI de Toulouse était planifié comme rédacteur en chef adjoint, en charge de l’édition de midi, et ce durant quatre jours. Le BRI étant doté d’un rédacteur en chef et de quatre rédacteurs en chef adjoints, la situation est-elle à ce point tendue que le recours à un personnel de la rédaction soit nécessaire ?
La direction assume : cette collègue a assuré 4 jours d’encadrement pour pallier des absences d’adjoints. Elle a les compétences et est volontaire, donc cela ne la met pas en difficulté. Le recours au vivier de l’encadrement n’est pas toujours la solution : les personnes ne connaissent ni la région ni les équipes, et puis « ça fait moins de frais ». Donc cette situation sera amenée à se reproduire, « mais pas de façon régulière ».
Les élus CGT se demandent surtout pourquoi l’encadrement ne cherche pas à mieux étaler ses congés, ce qui permet un non remplacement des absents. Une gestion saine des ETP en somme…
CHEF D’EDITION
Toujours pas de poste à pourvoir ni prévu. Certaines éditions se font sans chef d’édition, faute de disponibilité des volontaires.
Pour l’encadrement, cette situation sera amenée à se reproduire. La direction dit qu’il n’y a pas beaucoup de volontaires pour cette fonction, sans pour autant avoir analysé la charge de travail ou les raisons qui ont pu pousser un certain nombre de personnes à arrêter. Le problème de ce poste, c’est aussi la responsabilité et la non légitimité vis-à-vis des collègues.
Dans certaines antennes et à une certaine époque, des adjoints étaient formés à l’édition. Une solution à étudier puisqu’il y a un vivier de remplacement sur place ???
COCA
Un poste est à pourvoir au secrétariat du BRI de Toulouse.
La direction explique que l’examen des candidatures a pris du retard, il n’a donc pas pu être présenté au COCA d’avril, et pas sûr non plus qu’il le soit au COCA du 25 mai.
Les élus DP CGT signalent que la personne qui assure l’intérim est seule tous les jours et qu’un peu de renfort serait sans doute le bienvenu. La direction se propose de se rapprocher d’elle afin d’évaluer les besoins et faire appel par exemple à une intérimaire récemment formée pour combler les besoins des locales d’Albi et Rodez.
En Midi-Pyrénées il n’y a pas d’autre poste à pourvoir à ce jour.
RESPONSABLES EDITORIAUX
A la demande des journalistes, la rédaction en chef rappelle les responsabilités éditoriales des uns et des autres :
- Uluh : Fabrice GOLL
- Innov’action : Tangi KERMARREC
- Feuilletons : Nicolas ALBRAND
- Matinales : Patrick CHAMPAGNAC
- Dossiers Métropole : Tangi KERMARREC
- Enquêtes de régions : Fabrice GOLL
- Carnets de vol : Nicolas ALBRAND
- La Voix Est Libre : Patrick NOVIELLO
- Occitan : Benoît ROUX
En l’absence du référent, le rédacteur en chef désigne quelqu’un ou prend lui-même en charge.
CONTRIBUTION WEB
L’appel pour la distribution des iPhone a été fait à l’attention des rédacteurs afin qu’ils contribuent au web, avec possibilité d’envoyer des photos mais aussi des vidéos.
Les élus DP CGT déplorent ce choix manifestement délibéré de la rédaction en chef d’écarter les JRI de ces contributions web et demandent que cette décision soit révisée. Ils s’interrogent également sur l’obligation ou non pour les rédacteurs de réaliser des vidéos.
Réponse de la direction : tous les journalistes peuvent contribuer au web pour l’enrichir en textes, photos et vidéos. L’iPhone est un outil supplémentaire. Les rédacteurs ont été privilégiés parce que c’est plus facile pour eux de prendre de photos que pour les JRI pendant un tournage. Les vidéos, c’est pour certains tournages compliqués, ça ne remplace pas les caméras.
Le chef de centre ajoute que tous les matériels n’ont pas encore été déployés. Des smartphones (on n’a pas dit « iPhone »…) qui font du texte, des photos et des vidéos de qualité seront distribués progressivement à toute la rédaction.
Il n’y a donc pas d’obligation de faire des vidéos. Enfin pas pour l’instant… mais c’est conseillé. Reste à voir ce que donneront ces vidéos… L’image est une vraie compétence et les élus CGT rappellent que ce que nous donnons à voir doit être d’un niveau professionnel. Les vidéos visibles sur la page Facebook de France 3 ne sont pas acceptables.
FORMATIONS E-LEARNING
La direction précise que seul un ordinateur est nécessaire pour suivre une formation en e-learning. Sachant qu’il n’est pas question de planifier les salariés sur ces formations, la direction considère-t-elle que ces formations peuvent ou doivent se faire sur le temps de repos des salariés ? Alors même qu’il est précisé qu’elles peuvent faire partie des pré-requis pour des cursus ?
Pour la direction, le e-learning offre une grande souplesse pour le collaborateur par rapport à sa disponibilité professionnelle, avec possibilité de suivre sa formation en plusieurs fois.
Ces formations ne sont accessibles que depuis les ordinateurs FTV. Pour s’isoler on peut disposer de la salle de formation et de la salle e-learning (si elles sont disponibles). En informant tout de même son chef de service qu’on n’est pas parti faire les soldes…
Et pour les salariés des sites excentrés ?
ENQUETES DE REGIONS
Pour le tournage de l’émission Enquêtes de régions, la direction fait appel à des OPV venant de toute la France, alors que dans le même temps, des salariés OPV de l’antenne Midi-Pyrénées sont en souffrance par manque de missions.
La direction se justifie en expliquant que les tournages ont été confiés à la filière. Tout le processus de mise en œuvre de l’équipe légère est placé sous sa responsabilité. Elle utilise de façon principale ses collaborateurs toulousains, puis ceux de la filière au niveau national, et enfin elle a recours à des intermittents en cas de besoin. Le chef de centre a demandé à ce que le recours aux techniciens de l’Antenne soit pris en compte. La filière promet plus de vigilance, sous réserve des compétences des différents corps de métiers (les OPV ne sont pas les seuls concernés).
Pour les élus il n’y a aucune ambiguïté sur les compétences des personnels de l’Antenne : elles existent, elles sont là, les promesses doivent être tenues !
MI-TEMPS THERAPEUTIQUE
Il y a quelques mois, des salariés confrontés à la situation d’un mi-temps thérapeutique se sont vus contraints de renoncer au forfait-jour, pour rebasculer au décompte horaire. Les élus CGT ont appris que dans d’autres régions, cette bascule n’a pas été nécessaire. Voici même la réponse qui a été faite par la direction du Pôle Nord-Est à des élus DP :
Si un journaliste se retrouve en mi-temps thérapeutique, a-t-il le choix entre un contrat au forfait jour et au décompte horaire ?
Réponse : Le mi-temps thérapeutique est une reprise du travail à temps partiel après un arrêt maladie. C’est un dispositif qui permet au salarié de reprendre son activité. FTV paie le temps pendant lequel le salarié est en activité ; le reste est pris en charge par la Sécurité sociale. Le salarié peut revenir à temps plein. C’est son médecin traitant qui préconise la mise en place du temps partiel (généralement un mi-temps), pas l’employeur. Ce dernier définit les modalités (horaires et jours de travail) qu’il transmet à la médecine du travail. La médecine du travail va donner son accord en prenant en compte l’état du salarié et les contraintes de l’entreprise. C’est un dispositif temporaire qui n’a rien à voir avec un forfait jour ou un décompte horaire. Le salarié conserve sa formule de temps de travail initiale avec adaptation. Le but étant de lui permettre de consolider sa santé et une reprise de son activité à 100%.
Pourquoi de telles différences d’une antenne à l’autre ?
La direction ne peut pas l’expliquer, n’ayant pas eu le temps de se rapprocher de ses homologues cités ci-dessus. Il faudra donc patienter pour les explications. Mais elle reconnaît qu’il ne doit pas y avoir de différence de traitement entre les salariés.
Pourtant c’est le cas !
VIDEOTHEQUE
Une question posée sur l’effectif réduit à la vidéothèque pendant les dernières vacances scolaires a été l’occasion de faire état du surcroît de travail engendré par i.média (sans parler des bugs…).
Le chef de centre, qui n’a visiblement pas la moindre idée du travail effectué dans ce service, décide que la méthode Coué est la meilleure attitude à adopter : « un jour ce sera mieux. Au bout d’un mois de mise en œuvre d’i.media on constate une régularisation ».
Manque de bol, ça fait 3 mois qu’i.média a été déployé et les vidéothécaires n’ont nullement l’intention de subir la dégradation de leurs conditions de travail en attendant des jours meilleurs. La réponse à un outil technique lourdingue c’est d’attendre la retraite ? C’est tout ce que la direction a à proposer ?
MATINALES
C’est officiel, elles passent de 26 à 52’ à partir de septembre, à la demande de Paris. Et il n’est pas exclu de passer de 4 à 5 jours/semaine…
Donc Paris va nous dégager des moyens supplémentaires ? Bien sûr que non ! Les équipes sont en train de travailler sur l’organisation. « Les 26’ étaient déjà lourds mais je ne veux pas de radio filmée pour autant ». Nous sommes tous d’accord avec le délégué régional !
Au passage : plus d’archives à sortir = plus de travail pour la vidéothèque… Cela engendrera également plus de travail pour les monteurs qui doivent déjà monter 20 à 30 « pastilles » dans la journée…
MIXAGE LE WEEK-END
Le week-end des 23 et 24 avril la consigne était : le mixage des sujets s’arrête à 11h30 pour l’édition du midi. Pour quelle raison ? Les effectifs du week-end sont déjà faibles de façon régulière (manque de chef d’édition, de personnel…), on peut avoir le sentiment que les journaux du week-end sont le parent pauvre de l’information. Est-ce devenu un laboratoire pour la direction pour tester des réductions d’effectifs ?
Non, non, la direction est formelle, il s’agit d’un manque de disponibilité de CDD pour ce week-end.
Rassurons-nous, la direction nous affirme que les éditions du week-end sont considérées avec le même intérêt que celles de la semaine… Et pourtant les questions concernant les effectifs des week-ends sont fréquentes. Et les difficultés récurrentes.
EFFECTIF WEEK-END
Aucune équipe n’était planifiée dans le nord de la région le dimanche 8 mai. La direction a donc pris le risque de fabriquer un journal avec 2 équipes (plus 1 sport) pour couvrir l’actualité de toute la région (8 départements). Résultat : une des deux équipes d’actu a dû partir à Capdenac pour couvrir l’incendie d’un centre commercial. Las, le temps de route ne permettait forcément pas d’être là rapidement. C’est donc un JRI de la locale de Rodez, qui a pu être contacté en congés, qui s’est déplacé pour faire les images en attendant l’arrivée de l’équipe toulousaine qui a donc « servi » à envoyer les images via l’Aviwest.
Est-il normal qu’aucune équipe ne soit planifiée dans le Lot et l’Aveyron le week-end ? Et à quel moment la locale de Rodez sera-t-elle dotée de l’Aviwest ?
Une équipe était planifiée le samedi-dimanche à Cahors mais une actu importante a nécessité de décaler l’équipe sur le vendredi-samedi et RH le dimanche.
Les élus DP CGT ne se satisfont pas de ces explications. Le problème des effectifs le week-end est criant depuis tellement d’années que nul ne peut encore ignorer que les journaux du week-end sont les parents pauvres de nos éditions. Pourquoi ne pas se pencher sur un rééquilibrage de l’organisation entre la semaine et le week-end ? Le délégué régional précise que le pôle n’est pas contre, si c’est à iso effectif.
Si le budget suit, à terme, chaque site de Midi-Pyrénées aura un Aviwest. En attendant, d’ici la fin de l’année Toulouse devrait recevoir un nouvel Aviwest (le 3e pour Midi-Pyrénées). Le chef de centre va donc faire don du 2e à la locale Quercy Rouergue début juin. Des formations auront lieu mais ne sont pas encore planifiées. Sauf que le chef de centre avoue qu’on connaît mal la couverture GSM du territoire. Croisons les doigts…
Quand on sait que plus la couverture est mauvaise et plus la machine émet d’ondes électromagnétiques, y a-t-il de quoi s’inquiéter pour la santé des salariés travaillant sur un territoire mal couvert par les antennes-relais ?
Rodez devrait également recevoir un VRC (KA-SAT) fin 2016-début 2017.
RODEZ
Le nouveau rédacteur en chef adjoint de la locale Quercy-Rouergue a été nommé et vient d’arriver : présentation aux équipes ce mardi 17 mai.
RECUPERATION
Il semblerait qu’il y ait une différence entre les PTA et les journalistes concernant les récupérations, certaines sont valorisées à 7h, d’autres à 7h48.
La direction confirme, mais la différence se fait entre les personnels au forfait-jour (7h) et ceux au décompte horaire (7h48). Elle attend une réponse de Paris pour l’expliquer. Nous aussi.
DEDUCTION FORFAITAIRE SECURITE SOCIALE
Les élus CGT souhaitent savoir si la direction poursuit sa consultation annuelle permettant aux journalistes d’opter ou non pour la déduction forfaitaire de la Sécurité Sociale, et si celle-ci impacte le décompte retraite, les indemnités journalières, etc.
Il y aura effectivement une consultation en fin d’année.
Si les journalistes optent pour la déduction forfaitaire, cela implique moins de cotisations sociales payées chaque mois, le net à payer est un peu plus important, mais cela impacte surtout le calcul des pensions de retraite du régime général.
De nouvelles informations communiquées récemment par Audiens à des salariés ne sont pas connues de la direction qui va donc s’informer à ce sujet.
MAIRIE DE TOULOUSE
Les problèmes relationnels avec la mairie de Toulouse déjà évoqués dans cette instance devaient faire l’objet d’une démarche de la part de la rédaction en chef ou de la direction. Les élus CGT souhaitent savoir si cela a été fait et sous quelle forme, puisque les problèmes persistent.
D’après la direction, les démarches ont été faites pour détendre les relations et le message « on ne veut pas se voir imposer tel ou tel interlocuteur » est passé. Il y a eu des rencontres au plus haut niveau, « des choses ont été dites », « ça évolue dans le bon sens ». Après, explique la direction, c’est de la déontologie pure : c’est à nous de choisir.
Eh bien, heureusement qu’il y a des réunions DP pour que la base puisse en être informée parce que les équipes sur le terrain n’ont pas forcément la même impression que la direction. Un peu de communication, peut-être ?
SECURITE
Sur les conseils de policiers croisés dans les manif (!), les élus demandent à la direction de fournir des brassards « PRESSE » pour que les journalistes puissent être facilement identifiés en cas d’échauffourées, pendant ou après des manifestations.
Réponse positive, ces brassards pourraient être disponibles au secrétariat prochainement…
CRISE DU LOGEMENT
La réorganisation des bureaux de la rédaction toulousaine a été abordée en COPIL suite aux nombreuses sollicitations des salariés. Mais comme ce n’est un sujet ni pour le chef de centre, ni pour le rédacteur en chef, les élus DP et les journalistes vont prendre les choses en main.
Prochaine réunion DP le 9 juin.
Vos élus DP CGT Virginie Beaulieu, Magalie Debenest, Daniel Duralek, Laurent Faure, Chantal Frémy, Marie Martin, Philippe Marty.