Compte rendu du CE du 22 septembre 2016

CGT PSO

En préalable, les élus CGT ont fait une déclaration à propos de l’accord récent sur franceinfo et sur les groupes de travail qui permettent de préparer les négociations, à lire ici.

Projet de réorganisation du réseau France 3

En préalable le DRH de France 3, Olivier Godard, rappelle que dans le Pôle Sud-Ouest, qui sera coupé en deux régions, l’organisation sera strictement identique à celle présentée dans le projet. Ce qui n’est pas le cas par exemple dans le Pôle Nord-Ouest qui sera fractionné en 5 régions et où le schéma type devra être adapté, notamment dans les petites régions comme Pays de la Loire ou Centre Val de Loire.

À propos des postes d’encadrement à pourvoir, la CGT pose la question de savoir si les futurs directeurs ou directrices régionaux seront nommés au préalable afin de choisir leurs collaborateurs. Le directeur du réseau, Yannick Letranchant, répond qu’ils vont avancer en parallèle et que les personnes pressenties pour diriger les nouvelles régions seront associées aux choix des cadres de leur antenne, sachant qu’il faudra aussi tenir compte de la réalité du réseau et des personnes en poste.

Les élus CGT ont proposé d’aborder le document de manière exhaustive service par service en ce qui concerne le futur ex Pôle Sud-Ouest.

Communication.

Un(e) délégué(e) à la communication sera le(la) responsable unique de l’équipe communication interne et externe pour chacune des deux nouvelles régions. La direction du réseau explique qu’il fallait clarifier les choses et se caler sur l’organisation en central où la communication externe et interne ont été regroupées sous la même direction. Il ajoute que la définition des processus de fonctionnement sont en cours d’élaboration et que les personnels concernés y sont associés. Le but est de constituer une équipe qui puisse travailler sereinement ensemble. Pas si simple puisqu’il y a par exemple actuellement 5 responsables de communication en Nouvelle Aquitaine (1 au pôle, 2 à Bordeaux, 1 à Poitiers et 1 à Limoges) et que la direction va devoir faire des choix. Idem en Occitanie.

La direction essaie de rassurer en précisant que les personnels en place resteront dans leurs antennes respectives si elles le souhaitent et que les processus de fonctionnement seront prêts pour janvier 2017.

Régulation d’activité.

Ils sont 4, 1 dans chaque pôle. Cette fonction sera désormais rattachée directement au central à Paris. La direction estime qu’il ne s’agit pas d’une centralisation car le rôle d’allocation de ressources du régulateur d’activité restera le même.

La CGT n’est pas du tout d’accord et explique que ce point est central dans la réorganisation. En effet, le régulateur d’activité actuel dans le pôle n’est pas le supérieur hiérarchique des organisateurs d’activité. Ils ont seulement un lien fonctionnel. Et pourtant, investi du pouvoir hiérarchique du directeur de pôle, le régulateur pèse fortement sur les choix des organisateurs d’activités. Il y a, on le sait, un contrôle systématique des plannings avec des corrections imposées, pression sur les ETP oblige. Cela a aussi permis au régulateur d’activité d’avoir réellement la main sur la mutualisation des ressources au sein du pôle.

Qu’en sera-t-il dans la prochaine organisation, lorsque ce régulateur ne sera plus sous la coupe hiérarchique des directeurs régionaux ? Aura-t-il le pouvoir d’imposer à un directeur régional une mutualisation de ressources pour une autre région moins bien dotée ? Si tel est le cas, ce sera la preuve que ce projet est une recentralisation des processus de décision puisque les décisions seront bien prises en central, au-dessus des directeurs régionaux et non un mouvement de décentralisation pour redonner de l’autonomie aux régions.

L’autre option, est que le directeur régional conserve le « final cut » sur l’allocation des moyens de sa région vers une autre région. On imagine que cela va créer des problèmes de fonctionnement pour les régions qui ne seront pas dotées de moyens techniques et humains suffisants pour réaliser leurs émissions et PAE.

Pour fluidifier cela, la direction du réseau explique vouloir mettre en place un système de compensation d’ETP d’une région vers une autre région.

Cette idée avait pourtant été écartée par la présidente de France Télévisions il y a quelques mois pour le motif que ce serait une usine à gaz complexe et gourmande en énergie. « Il ne faut pas créer d’usine fantôme au sein de l’entreprise » avait-elle ajouté. Nous lui reposerons la question cette semaine  lors du CCE, car cette souplesse de gestion des ETP entre régions est une nécessité, sauf à vouloir brider les initiatives, ainsi que la mobilité des personnels.

Olivier Montels, le responsable des programmes du réseau France 3, exprime son espoir de voir cette allocation de moyens assouplie se mettre en place et permettre ainsi un fonctionnement facilité pour toutes les antennes du réseau.

Mais l’incantation d’un fonctionnement basé sur la bonne intelligence des directeurs régionaux entre eux ne suffira pas. On sait très bien qu’en cas de différend ce sont les liens hiérarchiques qui permettent de trancher. D’où l’importance cruciale de ce point pour l’avenir.

Administrateur de production.

 Pas de changement en Occitanie doté d’un seul poste d’administrateur de production. La personne actuellement sur ce poste y restera sans avoir besoin de repostuler.

En Nouvelle Aquitaine la situation est différente car il y a deux postes d’administrateurs, à Bordeaux et Limoges. Il se trouve que la personne en place à Bordeaux vient de partir en reconversion. L’administrateur de production de Limoges a pris l’intérim et à terme il pourrait prendre en charge définitivement la nouvelle région.

La CGT souligne la nécessité d’un poste d’adjoint qui pourrait être mis en place à Bordeaux vu la charge de travail actuelle pour deux personnes. La direction n’écarte pas cette option, mais veut vérifier que la charge de travail dans la nouvelle organisation avant, éventuellement, d’envisager la création d’un poste d’administrateur adjoint.

Assistant(e) administratif(ve).

Le directeur du réseau se veut rassurant pour le et les assistant(es). Il explique qu’il-elles aura(ont) toutes un poste puisqu’il y aura besoin d’assistant(es) pour les  directeurs-trices de la nouvelle organisation. Sauf qu’il y a actuellement par exemple en Nouvelle Aquitaine quatre assistant(es) de direction (1 pour le directeur du pôle et 3 pour les DRA) pour trois postes à venir. L’un ou l’une d’entre elles risque donc de ne pas se retrouver sur une mission similaire d’assistant(e) de direction. Tout dépendra de la localisation des postes de direction… On peut comprendre leur inquiétude.

Responsable formation.

Les 4 postes, un par pôle, resteront sur le même périmètre mais seront dorénavant rattachés directement au DRH du réseau France 3 au siège. En effet, la direction n’a pas souhaité que ces salariés aient plusieurs rattachements hiérarchiques (DRH Nouvelle Aquitaine et DRH Occitanie chez nous).

Conséquence : le DRH de région perd la main sur la préparation du plan de formation. La responsable formation continuera donc son travail d’élaboration des plans de formation, mais pour deux régions.

Les élus CGT suggèrent à la direction du réseau de préparer le plan de formation 2017 en séparant les deux périmètres des nouvelles régions, ce qui permettra d’être plus en phase avec la nouvelle organisation. Le DRH du Pôle Sud-Ouest trouve cette demande légitime mais estime que ce sera difficile à réaliser. Pourquoi ? Mystère…

Les futurs responsables formation seront en support des DRH qui seront seulement responsables de la politique de formation dans leur région. Ce sont les DRH, les RRH et les IRH qui seront chargés, chacun à leur niveau, région ou antenne, de mettre en œuvre le plan.

Le DRH de France 3 explique qu’il veut aller beaucoup plus loin en matière de GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) et qu’il faut s’en donner les moyens.

La CGT souligne le fait que les IRH actuelles ne sont pas toutes formées à la gestion d’un plan de formation. Olivier Godard promet d’améliorer les choses et va plus loin en expliquant que les IRH auront désormais un profil plus généraliste intégrant la formation mais également les relations sociales et la gestion de la paye. La CGT explique que les personnes concernées sont inquiètes des évolutions de leur profil de poste de « super RH généraliste » et que la direction doit s’en préoccuper plus activement.

Les chargés d’études.

En plus de sa tâche de préparation des documents et tableaux de bord pour les directions et les instances (bilans sociaux, emploi, égalité etc…), les chargées d’étude (1 personne par pôle) Pôle Sud-Ouest auront désormais la responsabilité de la gestion de la paye avec une activité de management de l’équipe des gestionnaires de paye sur le périmètre de l’ex-pôle.

Comme les responsables formation, elles seront rattachées en central, même si elles restent physiquement en région. Cela sera un changement hiérarchique important pour les gestionnaires de paye actuellement en poste puisqu’elles étaient auparavant rattachées aux RRH de leur antenne.

On peut donc constater que le secteur RH régional subit une cure d’amaigrissement en terme de niveau de responsabilité, une certain nombre de fonctions étant désormais directement rattachées en central. Cela est l’un des signes d’un mouvement de re-centralisation à l’œuvre.

Finance.

Avec le passage à 12 régions, la direction doit créer 12 postes de responsables financiers à la place des 4 directeurs financiers des pôles actuels.

Certains, déjà en poste au niveau des pôles, prendront un poste de direction financière pour une grande région.

Dans les autres régions ce seront sans doute « seulement » des responsables financiers qui resteront sous la coupe hiérarchique d’un directeur financier d’une autre région. Un drôle de fonctionnement qui pose question aux élus Cgt…

La direction explique qu’à terme les responsables financiers pourraient devenir directeurs financiers, mais que cela va prendre du temps.

Comme dans le fonctionnement actuel des pôles, les services financiers ne seront pas sous la hiérarchie du directeur de région mais sous celle de leur secteur d’activité au Siège. Pas de décentralisation là non plus, même si la direction dit y réfléchir.

Immeubles et Moyens Généraux (IMG).

Au niveau des IMG, la direction explique que ce sera à peu près le même mode de fonctionnement que pour les régulateurs. C’est-à-dire que les responsables IMG des pôles seront désormais rattachés au central, même s’ils conservent chacun leur périmètre actuel. Ils auront une approche plus transversale des dossiers pour tout le réseau France 3 (appels d’offre réseaux type véhicule, gardiennage etc…).

Sur l’organisation des responsables IMG de chaque antenne, les élus CGT font état d’organisations différentes entre les pôles, certains ayant choisi de confier cette tâche à des cadres techniques en plus de leurs activités.

La direction du réseau indique que rien ne changera dans l’immédiat mais qu’elle souhaite faire un état des lieux des modes de fonctionnement afin, éventuellement, d’harmoniser. Mais elle explique qu’on ne changera rien là où ça fonctionne bien, même si les organisations sont différentes d’une région à une autre.

Responsable investissement technique de pôle.

Ces 4 postes sont logés en central, un par pôle. La direction explique qu’au 1er janvier 2017 ces fonctions vont perdurer avec le même fonctionnement qu’actuellement.

Mais elle précise qu’une réflexion sera menée pour voir s’il faut modifier ou pas les choses à terme.

Gestionnaire d’antenne.

La direction indique qu’elle ne souhaite pas changer l’organisation mutualisée des gestionnaires d’antenne actuellement en poste dans le Nord-Ouest, parce qu’elle estime que cela fonctionne bien. Elle note que l’organisation est différente dans le Sud-Ouest mais que si cela fonctionne, on conservera l’existant.

Les élus CGT soulèvent le cas d’une assistante d’émission de Toulouse qui travaille à distance pour la matinale de la Nouvelle Aquitaine. La direction explique qu’il n’y aura pas de changement au 1er janvier 2017 mais qu’une réflexion sera menée pour voir si cette organisation doit être modifiée ou pas.

Une question a été posée concernant la distinction entre Ateliers de fabrication et équipes programmes (regroupant chacun une partie du personnel de l’antenne, voire certains personnels dans les 2 groupes). Un grand blanc ! On espère une réponse claire la prochaine fois !

Chef info web

Quel est l’avenir des pilotes web ? Yannick Letranchant dit vouloir clarifier les choses sur l’organisation du numérique. Il veut envoyer un signal car nous avons une « révolution à mener pour nous adapter ». Il a l’impression que certains pilotes web sont un peu hors sol parce que certains rédacteurs en chef les ont délaissés (car rattachés au DRA). Il a donc pris la décision de créer le chef info web directement rattaché au rédacteur en chef pour dynamiser l’info régionale sur le numérique. A voir… Le chef info web sera un rédacteur en chef adjoint et il ne sera pas interdit de faire tourner les adjoints sur la fonction et les chefs info web sur le JT.

Quels contenus pour les nouvelles régions ?

Les programmes type Cap Sud-Ouest vont-ils survivre à la réorganisation ? Le directeur des programmes du réseau France 3, Olivier Montels, explique qu’on va continuer Cap Sud-Ouest car l’émission fonctionne bien. Il souligne toutefois que les audiences sont diverses, plutôt à 1,7% sur Occitanie quand la Nouvelle Aquitaine fait 6,6%. Mais qu’en l’état il n’y a pas de raison de changer cette émission car c’est une marque forte. Le directeur du pôle réitère à nouveau l’engagement pris pour la continuité de cette émission au-delà de janvier. Pour la suite on verra sans doute à la rentrée 2017…

Ce débat a permis de rentrer plus précisément dans les problématiques spécifiques à chaque service voire chaque poste concerné par la réorganisation. Les éléments recueillis vont nous permettre d’alimenter l’expertise en cours sur les effets de cette réorganisation sur les personnels.

Pour mémoire, des groupes de travail ont été mis en place par les représentants du personnel. Ils se réuniront les 27, 28 et 29 septembre sur les métiers concernés par la réorganisation.

Cela permettra, après analyse, d’élaborer des propositions d’ajustement, de modification du projet et d’alerter la direction sur les fonctions et les salariés pourraient être fragilisés par l’entrée en vigueur de cette nouvelle organisation.

La direction du réseau explique qu’elle est en train d’élaborer les nouveaux modes de gouvernance et processus de décision qui seront mis en place début 2017 comme cela avait été le cas début 2010.

Information / Consultation sur 3 nouveaux contrats d’apprentissage

  • Thomas Passot comme OPS à Limoges, tuteur Jean-Marie Laplaud ;
  • Léo Aubisse comme Chef Monteur à Limoges, tuteur Alain Lafeuille ;
  • Suelen Dasilva comme Technicienne Vidéo à Toulouse. Ce dossier n’a pas été traité car finalement l’école de l’intéressée ne fait pas d’alternance.

Vote Thomas Passot : 10 avis positifs (CGT, FO, CFDT) et 3 abstentions (SNJ, SUD.

Vote Léo Aubisse : 10 avis positifs (CGT, FO, CFDT) et 3 abstentions (SNJ, SUD).

Vie du Comité d’établissement

Une série de mandats à combler suite à la disparition de notre camarade Marie Jorisse.

Les élus SNJ, CFDT et SUD n’ont pas souhaité participer au vote (4 voix).

  • Désignation de la présidence de la commission sur l’Egalité professionnelle

Candidature de Céline Llambrich (CGT) élue à l’unanimité par 9 voix sur 9

  • Désignation d’un représentant titulaire du CE au CCE

Candidature de Vincent Rivière (CGT) élu à l’unanimité par 9 voix sur 9

  • Désignation d’un représentant suppléant du CE au CCE

Candidature de Véronique Faucher (CGT) élue à l’unanimité par 9 voix sur 9

  • Désignation de la présidence de la commission Activités Sociales Pôle

Candidature de Patrick Mauduit (CGT) élu à l’unanimité par 9 voix sur 9

Désignation de la présidence de la commission Activités Sociales de Toulouse

Candidature de Magalie Debenest (CGT) élue à l’unanimité par 9 voix sur 9

Information sur le bilan de l’emploi Pôle Sud-Ouest au 30 juin 2016

Les élus ont interpellé la direction sur la dégradation des conditions de travail sur toutes les antennes, au regard des indicateurs que sont les ETP, le recours aux non-permanents ou encore l’explosion des heures supplémentaires.

Il est urgent d’auditer ces compteurs qui en substance démontrent la limite de la politique managériale de notre Pôle qui s’est généralisée par la banalisation du non remplacement. Malgré les relances des membres de la commission, la direction ne semble toujours pas être en mesure de justifier l’origine de ces heures supplémentaires.

Mais encore un peu de patience, d’ici 3 semaines M. Girault devrait pouvoir nous éclairer. Le secrétaire du CE a saisi le responsable RH en central  au sujet des erreurs sur les heures supplémentaires. Le compte rendu de la commission est à lire  ici.

Compte-rendu de commission des locales

 La commission des locales s’est réunie le 14 septembre 2016 pour préparer l’audition à l’Assemblée Nationale par le rapporteur de la commission des affaires culturelles le 19 septembre.

L’objectif était de sensibiliser les députés aux problèmes de diffusion des éditions locales de France 3, faute de présence sur les box. 40% des téléspectateurs reçoivent la télévision via les box. Ces 40% n’ont plus accès à l’édition locale. La commission des locales propose d’agir rapidement et de lancer des négociations avec les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet) pour diffuser les éditions locales sur les box sur un périmètre géographique précis correspondant à la zone de couverture éditoriale de chaque locale. Des télévisions locales privées bénéficient déjà de ce type de diffusion localisée.

Il faut qu’il en soit de même pour les éditions locales publiques de France 3. La commission des locales demande aussi que le numérique devienne au plus vite un support supplémentaire pour diffuser plus largement les éditions locales (Facebook, twitter, application).

Yannick Letranchant, directeur délégué de France 3 en charge du réseau régional, présent au CE à Bordeaux, a annoncé que l’avenir des éditions locales dépendrait d’une négociation entre les futurs délégués régionaux et leurs équipes courant 2017. « Il n’y a pas de solution unique » a-t-il précisé, la réflexion se fera région par région.

Questions diverses

Bruno Girault présente les résultats du COCA du 21 septembre :

  • Recrutement d’un technicien vidéo à Montpellier : Jean-Pierre NGuyen
  • Recrutement d’une documentaliste à Toulouse : Magalie Debenest
  • Recrutement d’un technicien vidéo à Bordeaux : Philippe Bardeau
  • Mobilité d’un responsable informatique à Bordeaux : Yann Rimbert
  • Détachement de Sandrine Lavaseclair comme rédactrice en chef adjointe à Montpellier
  • Mobilité d’un rédacteur à Poitiers : François Gibert
  • Mobilité d’un JRI à Poitiers : José Sousa

Bruno Girault informe les élus qu’un nouveau poste de technicien vidéo sera ouvert en fin d’année à Bordeaux et devrait permettre l’embauche d’un CDD historique.

La direction confirme la diffusion à l’ensemble des chefs de service de la note de la DRH de France Télévisions portant sur les 7 jours de travail consécutifs sur 2 semaines calendaires. Cela sera désormais de nouveau possible mais sa mise en application reste soumise à conditions. Elle sera prochainement affichée sur les panneaux d’information de la direction.

« Dimanche en politique » : l’émission sera enregistrée jusqu’à la fin du mois de décembre. A partir de janvier 2017, compte tenu du calendrier électoral, certaines émissions pourront être réalisées en direct.

Les prochains CE se dérouleront les 20 octobre et le 30 novembre.

Vos élus Cgt au CE

Bordeaux, le 26 septembre 2016

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