Instance de Proximité Midi-Pyrénées – 6 septembre 2022

Présents pour la direction : R. Paolacci, V. Fixot-Lucas, M. Mercier, A. Palermo, P. Lagorce

Représentants de proximité présents : C. Alet, M. Debenest, M.-P. Fournier (secrétaire), C. Fremy, J.-Y. Olivier

RAPPORT 2021 DU MÉDECIN DU TRAVAIL DE TOULOUSE

Présentation par le Dr C. Samuel

A noter : les médecins du travail sont sectorisés. Les salariés de Midi-Pyrénées dépendent d’un médecin du travail local en fonction de leur site de rattachement. Les élus n’ont pas encore reçu les rapports des médecins des sites excentrés.

Si la mise en place de l’état des lieux à la rédaction de Toulouse a été approuvée par la direction, les alertes du médecin du travail contenues dans son rapport n’ont pas engendré la même réactivité. De l’aveu même de la directrice régionale, les priorités de cette rentrée étaient axées sur la grille et non sur l’état du collectif de travail, comme si les deux n’allaient pas de paire !

Pourtant les alertes sont on ne peut plus claires : « Il semble exister un risque important de RPS [Risque Psycho-Sociaux], pour lequel il ne semble exister qu’une prévention tertiaire (mise en place de « cellule de crise »). Il y a un risque lié aux horaires décalés, aux ports de charge et autre risque TMS [Troubles Musculo-Squelettiques] et au risque routier. Un doute est permis quant à l’utilisation de l’Aviwest, ce qui nécessite plus d’exploration », « Beaucoup de visite de pré-reprise et occasionnelles à la demande du salarié. », « Il existe des difficultés pour mettre en place les préconisations surtout quand elle touche à l’organisation du travail. Il y a de nombreuses orientations vers les psychologues du travail. »

Du côté de l’Aviwest, la CSSCT du Réseau France 3 demande un retour aux principes de précaution initiaux dont un câble de 4 m et un rappel de ne pas porter sur soi l’appareil quand il est en fonctionnement. La direction du Réseau a fait des promesses mais tarde à les appliquer. Il semble que nous soyons mieux lotis en Midi-Pyrénées avec des câbles de 4 m. L’adjoint du chef de centre s’engage à vérifier le matériel et la présence d’une notice de mise en garde à jour dans tous les sacs. Une copie de la notice d’utilisation sera donnée aux RP.

La directrice régionale se plaint du manque de sens collectif de certains salariés et de ne pas avoir de réponse à apporter aux cas particuliers d’organisation du travail. Le médecin du travail rappelle que ses préconisations médicales doivent être prises en compte par l’employeur. Si ce n’est pas possible, la direction doit le justifier par écrit au salarié ainsi qu’au médecin du travail.

Les élus remarquent que si les projets de cette entreprise prenaient en compte davantage la qualité de vie et des conditions de travail, les cas d’usure professionnelle seraient sans doute moins nombreux, donc les restrictions médicales aussi. Nous verrons bien quel chemin prend Tempo : casse sociale ou amélioration des conditions de travail ?

La directrice régionale rappelle que la QVT est la feuille de route de son encadrement et qu’elle se traduit au quotidien dans la façon de s’adresser aux autres, d’organiser le travail, etc. Une formation « Management par la QVT » est prévue pour les cadres de l’antenne en 2023, et en ce moment ils doivent suivre le module en e-learning sur le traitement de l’absentéisme.

Les réunions de service sont un bon moyen de traitement des problèmes, faut-il encore que les propositions soient entendues et validées.

Pour traiter, et surtout prévenir, les RPS dans une démarche constructive, le Dr Samuel préconise deux méthodes :

  • QVT : des espaces de discussion encadrés par les salariés pour parler du travail et trouver des solutions. Ce ne sont pas des réunions de service. Ils ne peuvent fonctionner que s’il y a engagement collectif à appliquer les solutions
  • Psychodynamique du travail : des espaces de discussion encadrés par un psychodynamicien*

Les deux demandent un engagement fort de tout le collectif.

La directrice régionale est consciente que l’état dégradé d’une partie des salariés de l’antenne ne nous permet pas d’expérimenter les espaces de discussion, et souhaite garder sous le coude l’idée de l’accompagnement par un psychodynamicien. Les RP souhaitent discuter dès la prochaine instance de cette option pour la concrétiser rapidement.

* Un psychodynamicien est un médecin du travail ou un psychiatre qui enquête sur les notions de plaisir et souffrance ressenties par un travailleur. Il va chercher à comprendre ses désirs de réalisation, de construction identitaire, son accomplissement au quotidien dans une situation de travail dont les tenants et aboutissants sont indépendants de sa volonté.

PLAN D’ACTIONS POUR LA RÉDACTION DE TOULOUSE

Suite à la demande des RP de travailler sur l’absentéisme à la rédaction de Toulouse et à l’alerte du médecin du travail sur la situation très dégradée dans le service, la direction a demandé à M. Crespin, la psychologue du travail, de proposer une démarche. Elle a été discutée et validée par la direction et les élus. Elle doit se dérouler en plusieurs étapes :

  • 1) 5 communiqués d’information envoyés cet été aux salariés concernés (rédaction de Toulouse, BEX de Foix et Tarbes, Documentation) pour qu’ils puissent se porter volontaires. 21 ont répondu, soit le tiers des effectifs concernés. Ils composent un bon échantillon représentatif selon la psychologue. Les élus remercient les volontaires ;
  • 2) Entretiens individuels en présentiel ou à distance, sur ou hors temps de travail, avec la psychologue du travail pour lister les problématiques professionnelles. En cours ;
  • 3) Présentation d’une synthèse (anonyme) en Instance de proximité le 14 octobre ;
  • 4) Organisation d’ateliers pour travailler sur les thématiques retenues, le but étant de parler du travail et de trouver des solutions pour améliorer les conditions de travail ;
  • 5) Détermination d’un plan d’actions, mise en œuvre et suivi.

PLAN D’ACTIONS SUITE A L’ALERTE CONCERNANT LES OUTILS DE GESTION COMPTABLE

Au-delà des hotlines techniques qui existent, le CSE du Réseau France 3 a demandé le 24 novembre 2021 s’il était possible de créer un espace d’échanges sur Teams pour les assistant-e-s qui travaillent avec des logiciels parfois complexes. La vie est parfois plus simple quand on peut s’échanger des « trucs et astuces ». Après plusieurs mois de relances sans réponse, c’est possible mais.

Pour la direction du Réseau, une équipe Teams n’est pas la bonne solution parce qu’elle concernerait trop de monde. Si on veut tout de même créer un groupe dédié aux utilisateurs d’Ariane cloud, il faut demander l’autorisation au support MOA ou à la Direction comptable qui désignera en même temps un administrateur pour gérer les entrées/sorties du groupe de discussion. Solution plus souple car ne nécessitant pas d’autorisation : une équipe régionale sur Teams ou .lefil. Pour cette option il faut se rapprocher de P.-E. Beaupin (parce qu’il faut quand même un administrateur).

COVID

La loi du 30 juillet 2022 qui met fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, rend caduque la partie du règlement intérieur de FTV relative au port du masque. En effet, si l’obligation n’est pas gouvernementale, alors la direction peut préconiser des mesures sanitaires, mais pas les imposer (et donc les sanctionner), même si la démarche reste protectrice pour les salariés.

EMPLOI

ENTRÉES

F. Assier (chargée de production), M. Cellier (chargée de communication digitale) et A. Grazietti (chef OPV) ont pris leur poste le 1er septembre.

Le 5 septembre I. Parmentier a commencé une mission de 4 mois au service Organisation de l’activité. Elle sera en doublure les deux premiers mois auprès de C. Illouz qui nous quitte bientôt pour, nous lui souhaitons, de beaux horizons.

A partir du 1er octobre les mobilités de D. Collin (chargée de gestion administrative à l’exploitation et à l’antenne), A. Cheron (rédactrice en chef adjointe) et P. Felix (rédactrice) seront effectives.

POSTES VACANTS

Les postes de rédacteur à Cahors et Rodez n’ont pas attiré les foules malgré 3 publications. Ils seront présentés au COCA du 15 septembre.

Un poste de chef monteur (ex A.-L. Ruppert) a été publié.

Un poste de JRI (futur ex J.-P Duntze) est réservé pour une reconversion (tests avant formation début octobre).

Deux postes de chef OPS et 3 postes de chefs monteurs sont toujours « gelés ».

VIVIERS DE CDD

Tout le monde aura remarqué la pénurie de CDD pour certains métiers. La faute aux frais de mission sans avance et selon des barèmes hors sol ? à la difficulté de se faire embaucher ? aux conditions de travail ? Toujours est-il que la direction Occitanie passe parfois des petites annonces pour trouver des salariés – qui ne devront pas rester trop longtemps avec nous, règles des CDD réguliers obligent. Elle a trouvé 3 monteurs qui ont commencé cet été. L. Garcia, une ex alternante de Montpellier qui vient de passer son diplôme a aussi intégré le vivier et pourra travailler en Midi-Pyrénées si besoin.

Des électriciens–éclairagistes passeront bientôt des entretiens pour intégrer ou non le vivier.

L’occasion de préciser que les missions sur trois stations différentes ne sont plus obligatoires pour être inscrit au planning, mais restent fortement préconisées pour développer ses compétences.

ALTERNANTS

Ils sont 2 nouveaux en Midi Pyrénées : R. Surrans à la rédaction web puis TV plus tard (tutrice : A. Henry) et Carles Morincome à l’informatique (tuteur : Y. Kalfon). Cf communication du 29 août.

Bienvenue à eux !

La 3ème alternante, prévue à la documentation, s’est désistée au dernier moment.

Si M. Meyer à la rédaction a terminé son contrat le 31 août, L. Bernal (communication digitale) et P. Bidart (OPS) poursuivent leur scolarité avec nous.

M. Meyer comme V. Heitz et M. Iehl-Gonzalez (CDD d’été) passeront devant leur jury dans les semaines qui viennent. Si elles réussissent elles intègreront le vivier des CDD journalistes.

A noter : les objectifs de l’entreprise en nombre d’alternants accueillis sont au-dessus des potentiels ETP attribués à chaque antenne. Tout cela n’est guère sérieux.

BILAN 2021 SANTÉ SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL

La rédaction et la présentation d’un Bilan annuel Santé Sécurité et Conditions de travail (SSCT) est une obligation légale pour l’employeur.

Il fait le point, à la maille de l’antenne Midi-Pyrénées, sur les effectifs permanents, non permanents et les salariés des entreprises extérieures (intérim, surveillance, chauffage/clim, nettoyage, espaces verts), les accidents du travail, les maladies professionnelles et les cotisations versées à la Sécu, les faits saillants intervenus dans la vie de l’entreprise, le nombre de réunions des instances représentatives du personnel, le nombre de réunions de service, la liste des Sauveteurs Secouristes du Travail (SST), la liste des référents harcèlement, les coordonnées des « lignes d’écoute » (assistants sociaux, psychologues du travail, discrimination), les coordonnées des médecins du travail, les budgets consacrés aux formations santé/conditions de travail, aux contrôles sanitaires et à la maintenance des bâtiments et des véhicules de service.

Bref, une synthèse essentiellement quantitative qui a peu d’intérêt tant pour l’employeur (qui suit ces sujets au fur et à mesure) que pour les élus (qui reçoivent une grande partie de ces informations dans les instances de proximité). Néanmoins, ce bilan permet de vérifier certains engagements pris par la direction, comme le nombre de réunions de service, le déploiement de formations santé/sécurité et l’amélioration des conditions de travail.

En l’occurrence le bilan 2021 prévoyait en 2022 :

« Des d’accidents relèvent de la manutention, du port de charges et des déplacements. Il est nécessaire de continuer à encourager les formations relatives aux gestes et postures (pour les JRI et OPS et plus globalement pour tous les salariés amenés à porter des charges). »

« Accident de trajet : il est nécessaire de poursuivre les efforts en matière de formation aux risques routiers. »

La RRH déplore le peu d’inscrits à ce jour. Pourtant consigne est donnée aux chefs de service d’en parler en entretien annuel. Idem pour la formation sur les tournages à risque. Ces formations étant financées sur un budget central, les suivre n’interdit pas d’avoir la même année une autre formation plus « cœur de métier » financée sur le budget local.

Des formations guide/serre file (en cas d’incendie) sont prévue fin septembre. Il faut encore caler les recyclages pour les SST.

Une autre action était prévue dans le bilan SSCT : « création d’un chemin piéton de l’entrée principale vers l’abri vélo. » Incompréhension générale, personne ne sait d’où ça sort. Il est acté depuis longtemps que les dalles doivent être nettoyées des feuilles mortes et de la mousse et cela suffit.

Pour ce qui est des effectifs :

31 décembre 2020

31 décembre 2021

Nombre de permanents qui travaillent sur les emprises de France 3 Midi-Pyrénées 166 (dont 9 des fonctions support : RH, compta et finances) 166 (dont 9 des fonctions support : RH, compta et finances)
Répartition sexuée 82 femmes et 84 hommes 84 femmes et 82 hommes

 

La moyenne d’âge est vieillissante. Elle était de 51,1 ans en 2020 et de 51,6 ans en 2021. Pour les services support l’âge moyen est de 51,5 ans pour le personnel féminin. Le salarié masculin étant seul nous ne donnerons pas son âge 😉

En ETP :

Effectif permanent moyen mensuel au 31/12

2019

2020

2021

PTA 125,5 114,45 114,36
Journalistes 66,55 67,98 65,38
TOTAL 192,05 182,43 179,74

 

Personnels non permanents

2019

2020

2021

Hommes Femmes Total Hommes Femmes Total Hommes Femmes Total
Occasionnels 4,74 6,65 11,39 2,49 4,61 7,1 3,58 6,18 9,76
Intermittents 12,73 3,81 16,54 7,59 1,67 9,26 6,66 2,56 9,22
Cachetiers 1,33 0,07 1,4 0,67 0,17 0,84 0,71 0,13 0,84
TOTAL 18,8 10,53 29,33 10,75 6,45 17,2 10,95 8,87 19,82

 

Sans commentaire…

CONGÉS AU TITRE DES JOURS FÉRIÉS POUR LES JOURNALISTES AU FORFAIT JOUR

Rappel de la règle : tous les journalistes ne peuvent pas travailler le même jour férié. Ceux qui ne veulent ou peuvent pas travailler doivent idéalement poser un congé au titre des jours fériés. Si le journaliste s’oppose à l’utilisation d’un de ses jours fériés par le planning, celui-ci lui posera une RTTE. Pour les journalistes au forfait jour réduit, donc ne disposant pas de RTTE, si le compteur de congés au titre des jours fériés est épuisé, un autre jour de repos devra être posé. La RRH rappelle que cela doit se faire dans le dialogue.

MONÉTISATION DES RTT

Le décret d’application du dispositif prévu par la loi de finances rectificative pour 2022 n’est pas encore paru. Donc en attendant, pas de modification des règles de monétisation des RTT à FTV.

A noter : la possibilité de monétiser son CET est d’ores et déjà ouverte pour les jours déposés au titre de 2022 (et avant).

CONGÉS DE FIN D’ANNÉE, CHARGE DE TRAVAIL ET ACTIVITÉ

Suite à l’annonce de la limitation du nombre de jours déposables dans les CET, parce l’année est déjà très avancée, que début 2022 a été forte en activité et qu’il n’y aura pas de report de congés, les élus s’inquiètent d’une part qu’aucun salarié ne perde des jours de congés, et d’autre part que les « restants » ne se retrouvent pas avec une charge de travail excessive ou encore que l’activité soit réduite a minima pour ne pas faire appel à trop de CDD.

Les souhaits de congés pour la période du 17 octobre 2022 au 12 mars 2023 devaient être faits avant le 1er septembre. La direction dispose d’un mois pour répondre. Sans retour de sa part, les souhaits sont considérés comme acceptés.

Les arbitrages sont donc en cours et n’ont pas pu nous être communiqués. La direction a accepté de remettre ce point le mois prochain.

FRAIS DE TRANSPORT DOMICILE-TRAVAIL

Suite à l’adoption de la Loi de finances rectificative pour 2022 qui permet plusieurs dispositions fiscales concernant les frais de transport des salariés (prime transport*, forfait mobilités durables**, prises en charge obligatoire et facultative du coût des titres d’abonnement de transports publics), FTV n’a pas décidé d’améliorer l’existant. Peut-être quand le décret d’application sera publié, à suivre…

* prime transport : l’employeur peut prendre en charge les frais de carburant exposés par les salariés pour se rendre de leur résidence habituelle à leur lieu de travail. Dans les mêmes conditions, l’employeur peut prendre en charge les frais exposés pour l’alimentation de véhicules électriques, hybrides rechargeables ou à hydrogène 

** forfait « mobilités durables » : l’employeur peut prendre en charge les frais de déplacement domicile/lieu de travail de ses salariés effectués à vélo, en covoiturage (en tant que conducteur ou passager), en transports publics. 

VÉHICULES ÉLECTRIQUES ET BORNES DE RECHARGE

La loi impose aux entreprises qui ont un parc de plus de 100 véhicules de diminuer progressivement leurs émissions polluantes, donc leur flotte thermique. Tous les sites de Midi-Pyrénées sont concernés parce qu’on regarde à la maille de FTV.

En Midi-Pyrénées, le parc est de 27 véhicules légers (les utilitaires ne sont pas concernés) dont cinq sont déjà hybrides non rechargeables : 3 à Terssac + 2 à Toulouse. Le changement se fait au fur et à mesure du renouvellement des contrats de location.

Un recensement des besoins a été fait sur tous les sites de FTV en 2022. Paris doit maintenant arbitrer si on s’équipe de bornes de recharge (et donc de véhicules rechargeables…) pour les voitures de service (= de reportage et de liaison) uniquement, pas pour les véhicules persos. Un effort a déjà été fait pour les vélos : l’abri transparent à Toulouse est équipé de 3 prises électriques.

Pour être à la hauteur de la Responsabilité Sociale et Environnementale pleine d’ambition de FTV, on ne sait pas si la cantine de Toulouse a prévu d’éliminer les flageolets des menus.

JT ET CHOIX EDITORIAL

Et si nous abordions la ligne éditoriale, notre coopération avec Montpellier et la diversité de nos sujets au cours de cet été ? Et bien prenons des notes car c’était la dernière fois que s’exprimait notre rédactrice en chef mécontente de nos interrogations ou plus précisément, jugeant nos propos déplacés. S’il est vrai que l’éditorial ne relève pas de cette instance, il est dommage que la communication soit rompue alors qu’elle a pour but d’être constructive.

Revenons à nos questions. Concernant l’intervention albigeoise sur les incendies en Lozère, notre rédactrice en chef rappelle que nous sommes en soutien et réciproquement. Nous travaillons tous pour France 3 Occitanie, il n’y a donc pas de contrainte.

Concernant la diffusion de reportages sur les mêmes sujets à quelques jours/semaines d’intervalle, notre rédactrice en chef précise qu’ils ont été traités sous des angles différents et de plus, discutés en amont. Il n’y a donc aucune légèreté dans le traitement de l’information. Pour clore sur ce sujet, un nouveau sujet sur le pont St Pierre de Toulouse est prévu… A bon entendeur !

Pas de légèreté non plus concernant l’absence de titulaires dans l’encadrement de la rédaction cet été car les remplaçants ont les mêmes capacités et qualités. Nous n’en doutions pas !

Afin de « gérer au mieux les ressources contraintes » cet été, les monteurs d’actu ont pu se retrouver dispersés à Toulouse, dans les locales et en télétravail, imposant une partie du montage en boîte noire. Sauf que le montage à distance demande plus de temps de travail. Si les effectifs prévus au montage étaient a priori suffisants, le temps de montage dans ces conditions n’a pas été pris en compte. L’adjoint du chef de centre s’engage à le faire désormais.

TRAVAUX A TOULOUSE

Le traitement des racines sur le parking Nord n’a pas encore trouvé d’issue, les moyens généraux de Paris refusant finalement la prise en charge financière de l’intervention. Une nouvelle réunion est prévue en fin de semaine pour trouver des solutions.

Du retard aussi pour la réfection des escaliers ! Comme annoncé dans le compte-rendu de juillet, mauvaise surprise, de l’amiante a été découverte dans la colle fixant les revêtements des escaliers. La décision a été prise d’encapsuler les dalles, le bon de commande est parti, reste à planifier les travaux. Les murs des escaliers seront repeints en même temps.

De l’amiante toujours mais cette fois dans le mastic des fenêtres du patio. La vitrerie sera changée comme prévu au profit d’un double vitrage : les devis sont signés, l’entreprise est choisie mais faute d’approvisionnement, les travaux ne peuvent débuter.

En attente aussi, le bureau 071 (couloir de la bergerie) qui doit être transformé en salle de montage pour la Post-Production.

SUPERVISION, DOMOTIQUE… ON SAIT PAS ENCORE TROP CE QUE C’EST

Le dispositif « Hypervision » est un système de recueil de données. Des données électriques qui peuvent concerner les réfrigérateurs de la cantine, la climatisation, les installations de la régie, mais aussi les résultats des capteurs de CO2, de température, les alarmes techniques… En cas d’anomalie, les boîtiers installés émettent une alarme au siège de la société ACSII à Paris qui alerte ensuite les Moyens Généraux. L’hypervision doit permettre davantage de réactivité.

Les élus demandent à voir…

Toulouse comme Marseille, Caen, Bordeaux et Nancy sont sites pilotes. Pas de délai prévu pour le temps des tests ou le déploiement à tout FTV.

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Prochains rendez-vous de vos élus :

  • 14 septembre : réunion extraordinaire avec les RP de Languedoc-Roussillon sur le projet Tempo
  • 22 septembre : visite des sites de Rodez et Millau
  • 6 octobre : équipe de veille locale
  • 14 octobre : réunion ordinaire de l’instance de proximité
  • A un moment en octobre : comité local des salaires (lire le tract de la CGT pour savoir à quoi ça sert)
  • Visite des sites de Tarbes, Foix et Toulouse à caler avant la fin de l’année

Vos représentantes de proximité CGT : Magalie Debenest, Chantal Fremy, Virginie Gasnier-Beaulieu et Vicenta Sanchez

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