Compte rendu CGT de l’instance de proximité d’Aquitaine du 7 mars 2024

Etaient présents :

Pour la direction : Fabrice Goll (directeur régional), Samuel Bignon (DRH réseau), Hadidja Issihaka (IRH), Florian Ringuedé (rédacteur en chef), Franck Weil (chef de centre par intérim), Jean-François Karpinski (délégué antennes et contenus).

Pour les RP : Sabrina Corrieri en visio (CGT), Nicolas Guérin (CGT), Boris Chague (CGT), Sandrine Papin (SNJ), Alexis Dumoulin (FO).

En préambule, les RP demandent à la direction de respecter l’ordre de la liste des points à traiter, qu’elle a elle-même établi, et de ne pas naviguer entre les questions au gré des disponibilités des divers intervenants, comme elle en a pris l’habitude depuis plusieurs mois, au risque de survoler ou d’oublier certains points. Ils rappellent qu’ils sont mandatés par le CSE, instance où les points sont abordés dans l’ordre prévu, sauf exception et information préalable de son secrétaire. Raté ! Le DR annonce d’emblée que le point 5 (RH) sera prioritaire car le DRH doit quitter la réunion à 16h… Les élus dénoncent ce traitement déloyal et se laissent la possibilité de rédiger une résolution à laquelle la direction aquitaine pourrait devoir répondre lors d’un prochain CSE.

POINT 1 – ABSENTÉISME :

– Présentation baromètre absentéisme (présenté par Steve Labade du pilotage social FTV)

La direction insiste à vouloir traiter ce point alors que les RP se sont désolidarisés de la démarche d’un plan d’action  sur l’absentéisme en état de “mort cérébrale”, en octobre 2023. Les élus demandent si la direction a des éléments nouveaux à communiquer sur l’évolution du plan d’action, auquel cas ils sont disposés à dialoguer. Mais si l’exercice consiste juste à commenter des chiffres alarmants du taux d’absentéisme sans mesure corrective concrète associée, ils n’en voient pas l’intérêt et s’y refusent. Ils écoutent donc patiemment le spécialiste de l’absentéisme égrener des chiffres (en forte hausse : 9,7% et 8,9% en janvier et février 2024 contre 6,5 et 6,1% à la même époque en 2023), montrer des courbes et se retiennent de réagir à l’explication de la progression exponentielle des absences entre septembre et décembre 2023 en raison de la “virologie” et des “infections respiratoires aigües” en augmentation à cette période en France… alors que nous étions en plein déploiement des éditions Ici !

POINT 2 – QUESTIONS :

– Projet de déménagement du site de Bordeaux : retour sur l’avis du CSE du 21 février (présenté par Olivier Guyon Sangnier, Directeur des moyens généraux de FTV)

Le directeur central des IMG rappelle le montage du projet en VEFA (vente en l’état futur d’achèvement) de FTV adossé au promoteur Vinci qui réhabiliterait la partie réservée à France TV et Radio France du bâtiment MSA/Groupama situé rue Ferrère, au centre de Bordeaux. L’autre partie serait propriété de Nexity qui a un projet d’hôtel et espace de coliving.

Se référant à l’avis du CSE (https://www.snrt-cgt-ftv.org/images/communiques/240226a-avis-cse-f3-projet-immo-bordeaux.pdf), les RP pointent les défauts selon eux de cette “opportunité immobilière”, tant sur le plan du coût (au moins 35 millions d’euros) que de l’accessibilité, du manque de places de parkings, de la restauration, du développement de l’activité et de l’absence d’étude de réhabilitation du site historique (dont le coût est estimé entre 17 et 22 millions d’euros).

Pour Olivier Guyon Sangnier, la réhabilitation de l’existant “ce n’est pas le sens de l’histoire”, il n’en est pas question. Et il affirme que FTV n’aura jamais aucun financement de l’État pour réhabiliter le site actuel sans accueillir Radio France. Il estime que le coût du projet est raisonnable pour un actif en cœur de ville qui appartiendra à France TV et qu’il ne pourra que prendre de la valeur vu sa situation. Il estime par ailleurs que le projet d’achat est moins onéreux que la réhabilitation de l’existant.  Selon ses calculs, un investissement de 35 millions d’euros pour 6500 m2 est plus intéressant qu’une réhabilitation de 22 millions pour 5000 mètres carrés. Encore plus si on compte les 8 millions de la session de l’existant.

Et si le projet n’est pas retenu et qu’aucun autre lieu n’est trouvé d’ici 2030, on ne réhabilite pas, demandent les élus ? Le directeur IMG FTV dit qu’il serait “très déçu” si ce projet n’aboutissait pas… Pas les élus.

Concernant la diminution du nombre de studios, en précisant ne pas être spécialiste, il assure que le studio de 300m2 prévu (+ 1 studio NoA de 80m2 et 2 studios radio) est “triaxe” et permettra de réaliser tous les produits fabriqués actuellement. Les RP doutent de la volonté d’un développement de l’activité de la TV régionale. Ils voient encore plus de contraintes et de difficultés à surmonter, par exemple avec une hauteur de plafond moindre qui va compliquer le rendu lumière.

Pour le reste des espaces, les surfaces “sociales” seront mutualisées avec Radio France et l’INA : cafétéria, salle de sport, accueil, agora.

Quant à la restauration, il précise qu’il n’y aura pas de cuisine mais que la salle de restauration est un enjeu majeur de toutes les implantations, vrai lieu de lien social. La salle sera équipée de frigos connectés, là encore la direction parisienne pense pouvoir amener de la convivialité et du confort grâce à l’inéluctable “progrès” technologique. D’ailleurs, un nouveau bâtiment parisien va en être doté, se félicite Olivier Guyon Sangnier. Les élus attendent de connaître l’appétence des salariés du Siège pour cet outil et sont curieux de savoir s’ils ne traverseront pas plutôt la rue pour se rendre au restaurant collectif de FTV, juste en face…

Et pour le parking, des négociations seraient prévues avec la mairie afin d’obtenir une tarification spéciale pour les salariés.

Enfin il revient sur la problématique d’une rénovation du site actuel et de la problématique de travaux sur site occupé. “Ce sont des chantiers longs, des travaux de nuit. Êtes vous prêts à supporter 5 ans de travaux avec, comme à Orléans par exemple,  des salles de montage externalisées dans des algécos ?” Il ajoute qu’aujourd’hui on ne sait pas réhabiliter dans des sites occupés et qu’il vaut mieux déménager. Il insiste enfin sur le fait que cela fait 12 sites que l’on étudie et que si nous ne sommes pas choisis pour ce site-là, nous n’avons pas de plan B.”

Puis, Fabrice Goll dit qu’aucun projet ne sera jamais parfait, mais il affirme qu’il faut absolument embarquer les salariés dans son élaboration. Les RP le rejoignent sur ce dernier point.

Enfin, interrogé sur les projets de déménagement du BIP de Dax et de la locale de Bayonne, le directeur des moyens généraux FTV répond que pour Dax il n’a eu aucune information et que pour Bayonne (un projet de pôle média est prévu au stade Jean Dauger où France Bleu doit s’installer) la mairie a besoin de modifier le PLU pour passer de zone d’activité sportive à zone tertiaire avant de pouvoir démarrer un projet qui s’achèverait mi-2028 ou début 2029. Il précise qu’à ce stade il s’agit de discussions, il ne dispose d’aucun document. Dans le projet évoqué, il y aurait 1200 m2 pour France Bleu et 300m2 pour France 3.

– Semaine à 4 jours : organisation des réunions de service et propositions d’organisations du travail salariés / direction.

Depuis la réunion locale du 14 février sur “l’étude de faisabilité d’une organisation de la semaine à 4 jours” (https://cgtftvpolesudouest.reference-syndicale.fr/aquitaine/compte-rendu-reunion-locale-sur-letude-de-faisabilite-de-la-semaine-de-4-jours-a-bordeaux-du-14-fevrier-2024/), rien n’a avancé en Aquitaine, région faisant pourtant partie des 5 régions test du réseau ! Franck Weil explique qu’entre sa prise de fonction comme chef de centre par intérim (mi-janvier), les formations, les entretiens annuels etc. il n’y avait pas la place d’organiser les réunions par service prévues dans le protocole de sortie de grève. De plus, il est toujours en attente du compte rendu du central concernant la réunion du 14 février. Les élus aussi ! Compte-rendu indiquant selon lui les possibilités d’organisation tranchées par la direction du réseau (39h sur 4 jours avec pose de RTT/récup ou semaine de 4 jours en 35h sans RTT). Les RP CGT ne sont pas d’accord avec cette approche du dialogue social. Ils disent que l’activité des scriptes correspond peut-être mieux à une organisation sur 4 jours en 37h (11 jours de RTT) et préviennent que ces décisions unilatérales n’augurent pas forcément d’une reprise des éditions Ici en mode 4 septembre 2023… Même s’ils entendent les difficultés organisationnelles rencontrées par le chef de centre par intérim, ils dénoncent un immobilisme qui fait de l’Aquitaine une région particulièrement en retard dans le suivi du protocole. La direction trouve pour sa part qu’il y a le temps d’instruire ce dossier, d’ici un retour à la normale des éditions Ici…De toute façon, selon Franck Weil, seul le service des scriptes serait concerné par la semaine à 4 jours, les salariés des autres services ne manifestant pas de velléité pour une telle organisation du temps de travail. Mais ont-ils eu un niveau d’information et des temps d’échanges suffisants pour se faire une opinion assez claire des possibilités d’organisation de leur travail, se demandent les RP CGT ?

– Activité des Locales cet été : décision prise au séminaire des DR des 12-13 février sur l’organisation envisagée.

Le Directeur Régional explique que pendant ce séminaire, il n’y a pas eu de décision prise mais une durée des JT déterminée pendant les JO. Le JTR fera 20 minutes avec les locales ainsi que l’actualité nationale et internationale

Les locales auront donc une durée de 5 minutes. Concernant l’organisation du travail, le rédacteur en chef explique qu’il y aura 2 équipes de journalistes par jour et que des journalistes de Bordeaux seront détachés si nécessaire pour compléter les équipes des locales.

Le DR explique qu’il n’a pas été demandé qu’il n’y ait qu’un monteur par jour mais pour les locales dans ce cas, il estime qu’elles ont suffisamment de temps pour anticiper et prévoir des marbres pour cette période. Marbres réalisés à moyens constant en plus de l’activité du journal, font remarquer les élus CGT ! Et ils demandent si des monteurs du BRI pourront prêter main forte aux monteurs des locales seuls pendant cette période là. Le chef de centre dit que ce n’est pas prévu mais comme il y a 3 monteurs/jour à cette période là au BRI et moins d’activité, cela peut être étudié.

– Modification de la répartition info régionale / info nationale dans les 19/20 : quelles conséquences sur l’offre éditoriale régionale ?

Depuis le 28 février, la partie régionale du JT Soir est raccourcie d’une minute en semaine et de 3 minutes le samedi. Le rédacteur en chef explique que ce changement fait suite à la demande de certaines régions qui ont du mal à remplir leurs JT, en particulier celles qui ont peu ou pas de locales. Il précise que l’antenne d’Aquitaine ne rencontre pour sa part aucune difficulté de ce type. Florian Ringuedé poursuit en disant que si la minute en moins en semaine n’entraîne aucune modification dans l’organisation du travail, en revanche les 3 mn retirées le samedi vont peut-être amener à la suppression d’une équipe le week-end. Cela concernerait une équipe basée à Bordeaux ou en bureau excentré, selon l’actualité. Il justifie cette suppression le dimanche aussi par le fait qu’il y a à présent un invité politique le soir (en vue des élections européennes), ce qui prend pas mal de temps d’antenne. Enfin, cette équipe en moins le week-end pourrait être redéployée en semaine. Les RP s’interrogent sur la pertinence de ce choix si l’actualité est dense le week-end, et rappellent d’autre part qu’une équipe en plus la semaine nécessitera aussi plus de montage…

– Information veille technologique (point ajouté à l’ordre du jour par la direction)

Le chef de centre par intérim explique que la direction du réseau a mis en place une veille technologique et que 3 salariés volontaires ont été identifiés en Aquitaine. Ils seront détachés 3 ou 4 jours dans l’année pour découvrir de nouveaux outils ou les protocoles des nouvelles régies en prévision d’un futur déménagement ou d’une nouvelle régie. L’idée c’est de se projeter sur de nouveaux outils.

POINT 3 – HUB INFO :

– Hub info : les salariés utilisateurs de la salle cybertechnique ont-ils été consultés sur l’emplacement d’un nouveau local ?

Franck Weil dit que les salariés concernés ont été informés mais pas lors d’une réunion puisqu’il n’y en pas eu. Les RP CGT rappellent l’importance du recueil de l’avis des salariés, en particulier lorsqu’il s’agit d’une réorganisation de leurs locaux. Visiblement, ils n’ont pas pu émettre d’avis sur le lieu qui va leur être aménagé à la place de l’actuelle cybertechnique… à savoir le hall d’entrée du bâtiment TVR. Le responsable IMG montre aux élus une image 3D du projet  des postes informatiques alignés contre le mur et une cloison de séparation posée au milieu du hall. Cet aménagement ne favorisera pas la convivialité entre les techniciens, remarquent les RP, alors que l’espace existant avait été justement pensé pour les rassembler.

Quant au projet de hub info, il a évolué, annonce la direction. Plus question d’abattre la cloison, pour le moment, par crainte de nuisances sonores. Le schéma se veut évolutif. Pour l’instant les présentateurs ne seront pas isolés mais peut-être que des panneaux seront posés par la suite…

POINT 4 – DRONES

Le choix du déploiement géographique des drones en Aquitaine étant déjà établi par la direction, il a été indiqué aux sites qui ne bénéficieront pas de ces outils qu’ils pourront en louer à des sociétés extérieures. Le tarif maximum autorisé étant de 500 euros par prestation. Les élus interrogent la direction à ce sujet : ne serait-il pas plus judicieux et moins coûteux à moyen/long terme de dédier ces fonds à la formation des salariés aquitains et à l’achat de drones supplémentaires ?

Le DR tient à rappeler que l’Aquitaine est la région la mieux dotée et qu’il n’a pas la main sur la formation. Les télépilotes qui se verront attribuer un drone auront 3 jours de prise en main de l’outil début avril. Leur planification ne change pas et on verra en fonction des demandes qui seront faites pour qu’ils soient détachés sur cette activité spécifique. Enfin, il ajoute que dans les autres sites, s’il y a des besoins nous ferons appel à des prestataires extérieurs.

POINT 5 – RH

– Présentation du plan d’action de la direction après l’AT grave d’un JRI et l’enquête conjointe.

L’AT (accident du travail) grave d’un JRI en octobre dernier a fait l’objet d’une enquête paritaire donnant lieu à des préconisations. La direction a retenu certaines d’entre elles pour établir un plan d’action visant à mieux prévenir les risques pour les journalistes sur le terrain. Parmi les actions prévues, une journée d’observation est prévue avant une modification du document unique (DUERP) qui prendra en compte les risques qui n’avaient jusqu’ici pas été identifiés. A la fin de ce travail, les élus attendent de la direction que des consignes claires soient transmises à l’ensemble des salariés afin qu’ils sachent ce qu’ils peuvent faire ou ne pas faire sur le terrain.

Ils espèrent aussi qu’une formation spécifique sur tous les risques rencontrés sur le terrain sera mise en place et proposée à tous les journalistes.

ils ajoutent qu’un autre AT est survenu depuis pour un rédacteur en reportage sur les inondations. Là encore le DU est à modifier et une formation à ces risques spécifiques devra être prévue. Un AT similaire dans une autre région avait déjà eu lieu. A ce moment-là il a été constaté que des journalistes couvrant les inondations portaient des waders ou des cuissardes. Les élus rappellent qu’il faut prohiber leur utilisation dans le cas d’inondations pour éviter le risque de noyade. En effet, si le salarié portant ces équipement venait à tomber dans un trou (comme une plaque d’égout qui se serait soulevée) ou chuter (obstacle sur la chaussée), celui-ci serait aspiré et ne pourrait pas remonter à la surface à cause du poids de l’eau qui s’engouffre instantanément à l’intérieur. Les élus préconisent qu’il y ait donc un rappel des préconisations à suivre lors de ce type de reportage (de plus en plus courant).

– Entretiens annuels : la question de la charge de travail a-t-elle été intégrée comme convenu lors de l’IP de mars 2023 ?

L’IRH explique que la charge de travail fait partie des questions posées lors des entretiens individuels, mais uniquement pour les salariés qui sont au forfait jour. Mais elle précise que la direction centrale a demandé à tous les chefs de service d’aborder ce sujet lors des entretiens qu’ils font passer aux salariés au décompte horaire. Ce sont surtout les techniciens qui sont concernés. Interrogé sur ce qu’il ressort des entretiens avec la mise en place des éditions Ici, Franck Weil répond qu’il n’a pas de retour d’une charge de travail supplémentaire chez les vidéos, monteurs, OPV, OPS, mais chez les cadres de régie et scriptes, oui.

– Pourquoi les CDD remplaçant des chefs monteurs ont-ils le statut de monteurs à la TVR ?

Samuel Bignon explique que le statut est lié à l’activité et pas à la personne remplacée. Il existe en effet 2 barèmes pour les monteurs intermittents à France TV et c’est au choix de la direction d’établir les contrats sur l’un ou l’autre. Ainsi, le barème appliqué est chef monteur à la Fabrique (production) et monteur à la TVR.

– Une formation iredac est-elle prévue pour les CDD ?

Le rédacteur en chef explique qu’aucune formation Iredac n’est prévue. Les élus ne sont pas étonnés car cet outil n’est même pas prévu pour eux ! Cela est déployé dans tout le réseau pour tous les titulaires mais comme l’entreprise ne veut l’installer que sur les téléphones professionnels pour des raisons de sécurité et que les CDD n‘ont pas droit aux téléphones professionnels, ils sont tout simplement exclus du dispositif. Les RP CGT s’insurgent contre cette iniquité de traitement. quand les CDD sont employés pour remplacer des titulaires on leur demande exactement les mêmes missions alors qu’ils n’ont pas les mêmes outils pour les réaliser. Ils proposent qu’un lot de téléphone professionnel puisse être mis à disposition des CDD quand ils travaillent. Le responsable IMG explique que ce n’est pas possible car les téléphones sont attribués nominativement.

– Emploi : Mouvements à venir

Service IMG : les RP ont découvert qu’un poste était dorénavant pérennisé dans ce service, à compter du 1er avril. Ils sont d’autant plus étonnés que ce service est désormais en surnuméraire alors que d’autres ne sont pas complets et qu’on explique aux élus qu’il faut rester à effectifs constants…

Les élus veulent savoir quel intitulé de poste aura le salarié et quel est celui qu’il a actuellement, quelle a été la modification de l’organisation du travail dans ce service, quelle est la nouvelle répartition des tâches et la charge de travail de chacun ainsi que l’accompagnement des salariés avant et pendant cette nouvelle organisation. Et enfin, ils demandent si tout cela a été consigné dans le DUERP (document unique d’évaluation des risques professionnels). Le responsable IMG dit que l’intitulé du poste sera magasinier à la place de technicien de maintenance et d’exploitation d’énergie et climatisation. Et que oui, il y a eu accompagnement depuis plusieurs mois déjà et que tout sera dans le DU qui sera présenté aux RP. Enfin, une des missions du salarié sera aussi la gestion des plans des bâtiments via le logiciel AutoCAD.

Prochaine instance de proximité le 9 avril 2024.

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