La réunion s’est tenue en visioconférence en présence de :
- pour la direction : Xavier Riboulet directeur régional, Florence Folléa RRH, Jérôme Bourdy responsable IMG (pour les points 1 et 2), Bruno Larramendy chef de centre (pour les points 2 et 3), Sandrine Leclère rédactrice en chef (pour les point 3 et 4)
- pour les élus : Sabrina Corrieri, Boris Chague, Hélène Chauwin, Elise Daycard, Hervé Morin. Nathalie Pinard de Puyjoulon était excusée.
En préambule, le DR regrette que nous soyons en visioconférence et espère qu’en octobre ce sera possible en présentiel ou, pour le moins, en mixte visio / présentiel.
Les élus ont lu la déclaration commune ci-dessous en début de séance, adressée aux élus du CSE de réseau de France 3 Aquitaine avec copie à l’inspection du travail.
“Depuis quatre mois la Direction n’a fourni aucun relevé de conclusions malgré l’obligation légale de les communiquer aux salariés selon les accords d’entreprise.
Aucun représentant de la Fabrique n’a participé aux instances de juillet et d’août, malgré l’engagement dans son plan d’action.
Depuis neuf mois, France 3 Nouvelle Aquitaine n’a plus de Directeur des Ressources humaines, malgré les bouleversements induits par la pandémie, malgré des projets structurants en cours comme la régionalisation de la grille qui entraînera une augmentation substantielle du temps d’antenne et donc de la charge de travail, malgré le déploiement annoncé de l’accord télétravail qui nécessite de revoir en profondeur notre organisation du travail et malgré un taux d’absentéisme très inquiétant.
Enfin, les documents et l’ordre du jour sont transmis à la limite du délai de deux jours ouvrés tels que prévu par l’accord relatif à la composition du CSE, CSSCT et RP mais en faisant fi des modalités du dialogue social en instance tel qu’établi lors de l’instance du 13 janvier 2021.
Les représentants de proximité de France 3 Aquitaine réclament un retour au fonctionnement normal du dialogue social leur permettant d’exercer leur mandat, et d’informer les salariés.
Ils exigent également des instances en présentiel alors que depuis mars 2020, elles se sont toutes tenues en distanciel à l’exception de celle d’octobre 2020.”
Réponse du DR : les réunions en présentiel ne sont pas possibles. en mixte oui mais pas en présentiel. La salle de direction est à la limite du seuil imposé par le Siège. Les élus proposent de se réunir dans la salle de sport, au deuxième étage du bâtiment social, qui peut accueillir une réunion de 10 personnes. Le directeur régional répond qu’il va y réfléchir.
Le DR nous l’apprend : il n’y a plus de “régionalisation”, le projet aurait été revu à la baisse. L’émission du matin basculerait l’après-midi : “Nous ne sommes plus sur une augmentation mais sur une bascule du temps d’antenne”, affirme-t-il. Il pourrait y avoir, tout au plus, une demi-heure supplémentaire d’antenne qui serait prise sur un programme de NoA ou de France 3. Les élus CGT rappellent que pour diffuser des produits de Noa sur France 3, ils doivent être fabriqués selon les règles de France 3.
Point 1 : Avancement du plan d’actions de la Fabrique (sous réserve)
Les dates des instances de proximité ont été envoyées à la Fabrique qui n’a pas trouvé nécessaire de s’organiser et trouver un représentant pouvant se joindre à nous lors des deux dernières instances. Les élus CGT le regrettent profondément et rappellent qu’ils veilleront au respect des engagements du plan d’action.
Le responsable des moyens généraux (IMG) informe les élus que la responsable d’activités Fabrique (RAF) et son assistante ont déménagé au 1er étage, échangeant leur bureau du deuxième étage avec celui octroyé aux personnes de la direction des achats arrivées en juin sur le site de Bordeaux.
Un bureau de passage sera fermé et transformé en bureau pour le responsable technique. L’espace stockage sera vidé et transformé en espace détente qui sera climatisé ainsi que le bureau du vidéo de maintenance. Les travaux sont en cours. Les élus demandent à visiter les locaux le 14 septembre prochain avant l’IP et se réjouissent de ces aménagements demandés lors de l’élaboration du plan d’action.
Pas d’information sur les travaux de (re)câblage prévus pour août. Les élus rappellent que les salariés de la Fabrique avaient prévenu qu’à partir de septembre, l’activité rendrait très difficile cette opération !
Informations complémentaires données par Jérôme Bourdy :
Le CSE a demandé d’installer les capteurs de CO2 pour vérifier la qualité de l’air. Un petit détecteur mobile a été acquis par la Direction.
Les élus se demandent si les fenêtres sont toujours ouvertes le matin. Mesure plus efficace que la désinfection des poignées plusieurs fois par jour. Le responsable IMG dit qu’il va demander à ce que cette action soit, de nouveau, effectuée, soit par l’entreprise de nettoyage, soit par celle de gardiennage.
Point 2 : Organisation et conditions de travail
- Point sur Document Unique & PAPRIPACT 2022 (Présence J.Bourdy)
Le papripact est un document récapitulant les actions issues de l’évaluation des risques professionnels qu’elle s’engage à mener dans l’année; Il sera présenté en novembre au CSE Le papripact fait apparaître 8 actions :
1 Communiquer autour de la charte du mieux vivre ensemble : la demande était de réécrire cette charte en intégrant les problématiques qui ont émergé : retour progressif sur site, nécessité de recréer du lien (rédaction/technique, web/rédaction….)
Historiquement, cette charte est issue d’un ancien combat des élus qui, à l’époque n’avait pas abouti sinon sous la forme de cette charte France tv tombée du chapeau de la direction comme par magie et sans concertation. L’idée de se la réapproprier a émergé lors des ateliers sur le retour progressif sur site.
Florence Folléa confirme la volonté d’y réfléchir avec la QVT. Un appel à candidatures sera lancé, des webinars organisés pour s’y préparer puis les salariés volontaires participeront à des ateliers de travail. Les élus applaudissent cette mesure, la direction accède à leur demande d’y être associés.
2 Communiquer et rappeler la fiche réflexe en cas d’accident. Jérôme Bourdy rappelle qu’en cas d’accident ou d’incident, tout doit passer d’abord par l’accueil alors que certains salariés appellent directement les secours. Pour l’affichage de de cette fiche réflexe, il conviendra de choisir des lieux stratégiques. Les élus ont demandé aussi que les chefs de service, y compris en locale, puissent en parler lors d’une réunion de service et si possible en présence de la RH.
3 Sensibilisation aux 2 roues sous forme de quizz, d’une petite fiche à l’accueil pour l’entretien des vélos.
4 Note de service pour que la régie reste fermée en permanence : est-ce nécessaire de le faire figurer dans le Papripact ? La note de service est indispensable mais n’est pas utile dans le Papripact. Cette ligne sera supprimée.
5 Note de rappel sur le stationnement. Il y a toujours des salariés qui se garent aux places réservées aux voitures de reportage.
6 Mise en place de fiche pour la prise en main des véhicules. Cette mesure s’avère nécessaire surtout pour les voitures hybrides que peu de salariés connaissent. La demande a été évoquée lors des ateliers d’évaluation des risques professionnels.
7 Réflexion sur la mise à disposition de sacs à dos de reportage. Piste également évoquée lors des ateliers d’évaluation des risques professionnels. Il faudra bien informer les journalistes de la mise à disposition de ces sacs à dos (sur demande uniquement), si cette action est mise en œuvre.
8 Rappeler les bonnes pratiques en Open space : mise en place d’affiches :
Les élus interrogent la Direction : Quid de l’isolation de l’espace web ? Une étude acoustique a été réalisée au sein de la rédaction. Un Appel d’offres sera possible pour améliorer l’acoustique.
Quid de la salle de confidentialité/ convivialité à la rédaction ? Jérôme Bourdy explique que c’est compliqué car on manque d’espace.
Les élus craignent que, compte tenu du temps écoulé depuis les pratiques actuelles, un simple rappel par voie d’affichage soit insuffisant. Ils préconisent des jeux de rôles pour bien entendre et prendre conscience des nuisances.
Les élus demandent de rajouter le point sur les absences : la RRH rappelle qu’il est prévu une analyse globale à l’échelle de France 3. Un travail qui sera mené avec le pôle soutien et accompagnement afin de cerner la problématique et de mettre en place les mesures nécessaires. Ce point sera ajouté au Papripact.
Les élus demandent qu’il y ait rapidement une réflexion autour du déploiement de l’accord sur le télétravail et les activités qui peuvent y être à présent éligibles (montage, scripte, gestion d’antenne, rédaction web…) en mettant en place des ateliers, par exemple journalistes / monteurs pour éviter que le sujet ne devienne un point de crispation et pour trouver les bonnes pratiques (quels sujets éligibles ? quels outils ? quelle ergonomie ? selon quelle procédure ? ). La RRH le confirme, c’est l’un des thèmes de la rentrée 21 qui va déborder sur 2022 et semble d’accord pour la mise en place d’ateliers auxquels participeront salariés, managers et représentants de proximité. Ce point sera également ajouté au Papripact.
En marge du papripact les élus ont interrogé sur la présence, depuis le 14 juillet, à Bordeaux, d’un agent de protection engagé lors des manifestations sur demande. Le DR précise qu’il Il est là pour prévenir d’un danger et pas pour défendre les journalistes. C’est une disposition prise à la demande du DR et avec l’accord de Paris. Le directeur régional rappelle que si la sécurité des journalistes est en jeu, il faut arrêter le reportage et que si un journaliste ne veut pas y aller, il en a parfaitement le droit.
Le DU (Document unique de l’évaluation des risques) a été complété par l’appel d’offre maquillage et le déménagement de Pau
- Point sur l’appel d’offre Maquillage
Bruno Larramendy explique qu’il n’a pas davantage d’informations et que, pour l’instant, on continue comme avant : on sollicite sur devis à chaque fois et on partage à part égale entre les deux maquilleuses. Le marché ne sera pas déployé en septembre comme prévu. Le directeur régional fait remonter le problème chaque lundi depuis août, dit-il.
Commentaire des élus CGT : alors que les candidats ont eu à peine plus d’un mois pour monter leur dossier, alors que l’appel d’offre devait aboutir au 1er juillet, à ce jour, 24 août, le nom de ceux qui l’ont remporté n’est toujours pas connu. Les maquilleuses qui collaborent depuis des années avec nous et qui jouent leur avenir professionnel sont dans l’attente depuis deux mois. Ne pas leur répondre dans un délai acceptable, c’est nier le risque psycho social et manquer de respect à leur égard. Les élus exigent d’avoir au moins un calendrier !
- Point sur Utilisation UTS (unité de tournage avec smartphone)
Le 3 août dernier, lors du JT de midi, l’OPS a rencontré un problème lié à l’utilisation d’un UTS pour un direct. Le JRI a pris ce matériel conformément à l’accord du 24 février 2021 mais sans que le personnel de régie ne soit informé. Pendant le direct, le signal audio a été “écrêté ”avec un clic numérique à l’antenne.
L’OPS en régie ce jour-là a expliqué que dans l’application MoJoPro Aviwest, la gestion de l’audio est très approximative et ne permet pas de contrôler le niveau de façon suffisamment précise pour un direct. D’une part, le son est capté par un micro HF Sennheiser AVX de bonne qualité audio mais avec un contrôle grossier du niveau selon 4 positions. D’autre part, l’application mobile Aviwest ne permet pas d’évaluer précisément le niveau, et ce d’autant moins pour un JRI par ailleurs concentré sur son image… En outre, si le rédacteur qui porte le micro à la main fait fluctuer la distance bouche/micro, c’est ingérable. Tout est réuni pour que le niveau audio soit incontrôlable et donc sans aucune maîtrise en régie du résultat final. Quelle est la procédure mise en place pour le son dans le cadre d’un direct avec un UTS ?
Pour le chef de centre, la procédure est la même que pour un direct aviwest avec du matériel “classique” : il n’y a pas de différence avec un Aviwest à la réception. Le problème vient de la captation, notamment de l’utilisation d’un micro HF, qui reste perfectible, et est moins fiable qu’un micro filaire. Il souligne le peu d’usage fait jusqu’à présent de l’UTS pour les directs à Bordeaux et donc un manque d’expérience des JRI. Ce type de problème devrait selon lui disparaître avec le temps. Il ajoute que deux OPS avaient été détachés afin d’apporter les meilleurs réglages possibles à ce matériel.
Les élus soulignent la difficulté d’utilisation de ces micros très sensibles et qui changent les habitudes des journalistes. Ils demandent à ce que les techniciens en régie soient systématiquement informés en amont de l’utilisation de l’UTS pour les directs et qu’un retour de ce type d’incidents soit relayé à la commission de suivi de l’accord UTS. Pour le chef de centre, il est évident que les PTA en régie doivent être informés par l’éditorial de l’usage d’un UTS avant un direct et il affirme qu’il fera remonter ce problème de son au cours de la prochaine réunion entre les chefs de centre.
Le directeur régional propose aussi un retour d’expérience de Limoges où les directs avec l’UTS sont plus répandus et ne posent selon lui pas de problème. Les élus CGT sont d’accord. Le chef de centre relève que le même problème du micro tenu à la mauvaise distance se pose aussi pour les caméras 400.
Commentaire des élus CGT : Peut-être que les fabricants de micro ne devraient pas oublier les utilisateurs et concevoir des outils faciles à utiliser.
Les élus ont profité de la présence du chef de centre pour évoquer un incident technique regrettable. Une rédactrice a découvert que des rushes, qu’elle souhaitait conserver pour réaliser un 26 voire un 52 minutes, ont disparu d’Imédia. Ces rushes étaient pourtant protégés
Bruno Larramendy explique que dans Imédia, les techniciens vidéo doivent purger tous les jours les rushes datant de plus de 56 jours (en été le délai est prolongé jusqu’à 90 jours), sauf ceux qui sont protégés et sont “catalogués” dans “stockage JT”. Ces rushes supprimés ne sont pas effacés mais mis à la corbeille. Il est donc possible de les récupérer. La corbeille est vidée par des cadres (qui ont accès au compte admin) qui s’interrogent également sur les très vieux rushes protégés. Parfois, comme en période électorale, il est nécessaire de nettoyer et de faire de la place dans imedia. La purge intempestive du 27 mai est, selon le chef de centre, due à une mauvaise manœuvre ou une manipulation malencontreuse.
Les élus CGT rappellent combien un tel incident est dommageable. Ils ne veulent, en aucun cas, participer à une “chasse aux sorcières” pour sanctionner un salarié. L’erreur est humaine. En revanche, ils s’interrogent sur la fiabilité de la procédure. Selon le chef de centre, c’est un acte éditorial aux mains d’une dizaine de cadres qui suppose une procédure technique complexe. Normalement, la purge se fait à deux (un cadre technique et un cadre éditorial). Visiblement, il y a eu un manque de communication entre la technique et l’éditorial.
Le directeur régional est d’accord pour sécuriser la procédure. Il propose, par exemple, de faire la purge toutes les semaines plutôt que tous les 2 mois.
Les élus suggèrent également la possibilité de stocker les rushes susceptibles d’être utilisés dans un assez long délai sur un disque dur. Trop cher et trop lourd pour le chef de centre au regard du risque encouru, finalement très faible selon lui.
Plus globalement, Les élus CGT demandent la remise en place d’un relevé d’incidents antenne pour analyser les causes et trouver les solutions adéquates. Bruno Larramendy certifie que les problèmes sont traités, notamment lors des débriefs du JT. Le directeur régional dit qu’il va voir si cette procédure peut être remise en place.
Bilan des ressources humaines déployées pendant l’été
Les élus déplorent qu’il n’y ait pas eu de chef d’édition le week-end malgré les JO, l’actualité covid et malgré le maintien d’un montage en Télétravail. La rédactrice en chef indique qu’il n’y a jamais eu de chef d’édition pendant les vacances d’été le week-end.
Les élus rétorquent que, par rapport aux étés précédents, la lourdeur de la procédure FTV des images des JO a probablement été sous-estimée et que, sur la durée, la fatigue peut s’installer pour des cadres seuls à gérer des éditions midi et soir alors que la durée des JT n’est pas spécialement réduite en semaine.
Le DR admet qu’il y avait une nécessité de poser des congés cet été mais il estime que les congés ont peut-être été mal gérés. Sur l’ensemble de la Nouvelle Aquitaine il explique que l’on a dû recourir à 500 jours de CDD en juillet, soit 5 ETP de plus que prévu et selon lui il s’agit essentiellement de remplacements sur des motifs de congés. Il précise que, du coup, l’avantage dû à notre bonne gestion jusqu’en juin est perdu et qu’il n’a plus de marge de manœuvre jusqu’en décembre. Il doit donc revoir ses ambitions à la baisse et annuler des émissions ou certains décrochages Noa prévus. Il préfère prendre les devants plutôt que de dire à nouveau, cette année, “on ferme les locales à Noël ou on fait un journal grande région”.
Les élus s’étonnent de cette situation, d’une part car c’est la direction qui a validé ces congés. Par ailleurs, cet été les arrêts maladie ont été nombreux que ce soit au BRI ou à Bayonne (8 arrêts maladie en 1 mois, une situation inédite) et cela a joué sur le volume de remplacements.
La direction va dresser un état des lieux précis de la situation.
Le directeur régional ajoute aussi que l’absence de Xavier Perez, le directeur délégué aux moyens et à la performance opérationnelle (DDMPO) (parti à la retraite et remplacé en septembre) les a pénalisés.
Point 3 : Gestion crise sanitaire covid-19
Jusqu’au 30 septembre prochain le télétravail reste la règle.
- Point sur reprise d’activité sur site & mesures sanitaires
Comment faire quand des journalistes qui n’ont pas le pass sanitaire doivent aller en reportage dans des lieux où ce dernier est exigé ? Doivent-ils faire deux tests par semaine ou la rédaction doit-elle s’adapter ?
La rédactrice en chef rappelle que c’est le bon sens qui prévaut. Je ne vais pas sur un reportage qui nécessite le pass sanitaire si je ne l’ai pas. On dialogue le matin. On s’organise en fonction des équipes présentes.
Les journalistes et PTA ne font pas partie des salariés soumis au pass sanitaire mais s’il n’est pas obligatoire, il est nécessaire … De plus, le pass sanitaire relève du secret médical qui est difficile de respecter dans ces conditions. Même question pour tout salarié PTA ou journaliste est amené à déjeuner au restaurant ou prendre le petit déjeuner dans un hôtel dans le cadre d’une mission.
Seules les équipes légères côté PTA pourraient être nécessaires. Le chef de centre se rapproche des salariés qui le sont et leur demande à l’avance.
Les élus CGT font remarquer que le problème est plus prégnant en locales où l’équipe est plus réduite. Le directeur régional explique que si le problème se pose et qu’un salarié n’a pas de pass et qu’il ne peut pas couvrir un événement, il ne le couvre pas. Il n’y aura pas de conséquence pour le salarié.
Le débat nous dépasse. La communication du gouvernement n’est pas encore arrêtée.
Toutes les mesures sanitaires y compris au restaurant d’entreprise sont maintenues jusqu’au 30 septembre prochain. Sauf pour l’isolement pour les cas contacts qui est levée pour ceux qui sont vaccinés.
Point 4 : RH
- Point sur AT & Maladie 1er semestre 2021
Le tableau de la direction fait état essentiellement d’accidents de trajet ou en lien avec les RPS (risques psycho sociaux). Sur les maladies longues (plus de 30 jours) : cet été il y en a eu 12 en Aquitaine, qui concernent essentiellement la rédaction de Bordeaux et Bayonne.
Les élus estiment que les arrêts de moins de 3 jours sont aussi signifiants mais toujours pas portés à leur connaissance.
Désormais, la visite de reprise peut se faire jusqu’à 20 jours après la reprise. Interrogée sur le non-sens de cette mesure, la DRR suggère que les salariés eux-mêmes sollicitent une visite de pré reprise avant leur retour. C’est à leur initiative mais cela permet d’anticiper l’aménagement potentiel du poste.
- Nominations au Coca du 7 juillet 2021
A Mont-de-Marsan : mutation d’Alexis Dumoulin JR venu du Grand Est et recrutement de Maria Laforcade comme rédactrice. Leur prise de fonction est prévue le 20 septembre
Périgueux : mutation de Vanessa Fize (venue d’Aubenas en Ardèche) comme rédactrice au 1er octobre prochain
Laure Bignalet, JRI venue de la rédaction nationale, arrive à Bordeaux le 1er septembre.
A l’Antenne, la mutation de Jérôme Arestier au poste de RSCA a été actée.
Recrutement de Blandine Belfio comme IRH
Au poste de DRH : toujours personne ! Selon le directeur régional, la personne retenue (recrutement extérieur) s’est désistée à la dernière minute mi-juillet.
- Point sur les postes vacants
Les scriptes, dont les élus CGT rappellent que c’est un métier en tension : après avoir annoncé le départ prochain d’une scripte bordelaise (mutation), la RRH explique que dans la période transitoire il sera fait appel à des CDDS. Elle précise aussi que deux nouvelles personnes en Nouvelle-Aquitaine partent en formation FTV sur ce métier à partir de septembre jusqu’à la fin de l’année afin qu’elles soient opérationnelles en janvier. A l’issue de cette formation, elles rejoindront notre vivier.
Nelly Chevrier qui était organisatrice d’activité à Rennes devient à partir du 1er septembre DDMPO en charge des moyens en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. Elle sera basée à Bordeaux
Point d’avancement sur les mesures mises en place après la mise en garde des élus sur l’absentéisme
La direction n’a pas inscrit ce point à l’ODJ, indiquant par mail “Concernant le point sur l’absentéisme, nous avons évoqué en IP 07/2021 la 1ere réunion de cadrage (28/06) qui a eu lieu en présence de H.CHAUWIN et nous attendons une 2d réunion qui est à planifier à compter du 23/08 au retour des congés d’été du pôle Conseil FTV … Nous avions indiqué qu’un point sera fait lors de l’IP de 09/2021 prévue le 14/09”
Point 5 : Grille de rentrée 09/2021 ET LES MOYENS ALLOUÉS
Les élus CGT demandent à avoir un document lors de la prochaine instance de proximité, où figurent les nouvelles émissions et produits, et les moyens alloués pour chacun d’entre eux. Le directeur régional est d’accord pour fournir ce document, en lien avec la déléguée Antennes et contenus.
La locale de France bleu Béarn sera diffusée sur notre antenne à compter du 1er février
Point 6 : .3 NoA
Pas de grande différence entre juin et septembre. Une nouvelle émission sur la rurbanité sera pilotée par Limoges. En septembre, il n’y aura pas de disputandum faute de scripte.
L’éclairage dans le studio fond vert est passé en led.
Le directeur régional précise qu’en raison de la situation sanitaire, la conférence de presse de rentrée est reportée à janvier et les petits déjeuners et/ou moments conviviaux prévus sur les différents sites sont reportés à octobre. En revanche, il prévoit une visio avec tous les salariés de Nouvelle Aquitaine le 6 septembre.
Points reportés à septembre :
Bilan QVT 2020.
Suivi du plan d’action de La Fabrique.
Point sur l’absentéisme.
Prochaine instance le 14 septembre