Compte rendu RP d’Aquitaine du 2 février 2021

Réunion en visioconférence.

 

Etaient présents pour la direction : Xarier Riboulet (Directeur régional), Samuel Bignon (DRH), Bruno Larramendy (Chef de centre), Sandrine Leclère (Rédactrice en chef), Jérôme Bourdy (Responsable IMG), Jean-François Karpinski (responsable GA / RSCA)

 

Les élus : Sabrina Corrieri, Elise Daycard (secrétaire adjointe), Nathalie Pinard de Puyjoulon, Hervé Morin, Boris Chague.

Elue excusée : Hélène Chauwin (secrétaire).

 

En préambule le directeur régional tient à rendre hommage à Eric Depay et Olivier Loubet, dont nous avons appris le décès ces derniers jours.

 

 

Point 1 : Organisation et conditions de travail

 

  • Organisation du magasin.

 

Jérôme Bourdy (responsable IMG) présente  la nouvelle organisation du magasin suite au départ à la retraite de Philippe Delpérié (gestionnaire de parc).

Nicolas Guérin a été repositionné comme gestionnaire de parc et son poste de magasinier disparaît, il ne sera pas comblé. Il reste donc seul au magasin. L’activité a donc été en partie réorganisée, ainsi les bons de commande et une partie du suivi du parc automobile revient aux IMG. Aussi, se pose le problème de la permanence au magasin durant les congés du gestionnaire de parc, nécessaire pour de nombreuses activités (plannification des véhicules, envois/réception des colis et fournitures administratives). Une fois formée (planifiée en doublure), une des IMG effectuera des permanences pour pallier les absences (elle touchera une prime de compétence complémentaire).

Pour les vacances d’été, il est envisagé d’avoir recours à un remplacement par un(e) intérimaire.

 

  • Matinales

 

Sur les matinales menées en partenariat avec France Bleu, la direction dit que pour l’instant il n’y a pas de difficultés, les échanges sont fréquents avec les responsables de la radio, la diffusion se fait maintenant automatiquement et la plannification d’un technicien vidéo à 6h30 a cessé.

Quant à l’impact sur la charge de travail des salariés de France 3, notamment des documentalistes, il n’est « pas significatif » selon la rédactrice en chef.

 

  • Projet de déménagement de la locale de Pau

 

Le directeur régional a visité le 18 janvier les locaux situés à l’étage au dessus de ceux de France Bleu Béarn pour voir si Pau Sud Aquitaine pouvait y déménager. Il était accompagné d’un responsable immobilier parisien, Stéphane Hernandez, du propriétaire de l’immeuble palois et de son architecte. Selon ce dernier les locaux sont aménageables, il reste à en voir le coût. Le déménagement pourrait avoir lieu au premier semestre 2022, après avoir demandé une prolongation de 3 à 6 mois du bail actuel.

Le directeur régional a rencontré les salariés de la locale qui, affirme-t-il, ne se sont pas opposés au projet. Il souligne qu’il veille à ce que chaque salarié dispose d’un espace personnel, sans quoi le déménagement ne se ferait pas. Pour lui, l’intérêt de ce déménagement réside à la fois dans le rapprochement avec France Bleu, dont nous diffuserons prochainement la Matinale, la visibilité des locaux de notre chaîne en centre ville et les facilités de déplacement de nos équipes en ville, par exemple pour faire des interviews.

 

  • 18h30

 

Point reporté à l’instance de proximité exceptionnelle du lendemain (3 février 2021) suite au protocole de sortie de grève signé entre la direction et les organisations syndicales.

 

  • DSNG

 

Restitution de la visite du nouveau DSNG effectuée par 2 représentants de proximité le matin. Pour ces élus c’est un outil très adapté pour des retransmissions en direct d’événements sportifs ou culturels avec son équipement bifeed (2 signaux inter et privatif) qui sécurise la liaison; il est plus léger (280 kg de moins) que l’ancien DSNG et permettra d’embarquer 2 personnes une fois la pandémie passée; le V-mix permet d’installer un poste com et de faire de la réalisation avec jusqu’à 7 caméras.

Ce nouveau DSNG est censé être mutualisé au niveau du réseau et a fortiori en Nouvelle-Aquitaine mais pour le directeur régional il est prioritaire en Aquitaine.

Le chef de centre indique que les formations des techniciens vidéo sont en cours et qu’ils pourront être missionnés dans le réseau France 3 pour utiliser et faire utiliser cet outil dans d’autres régions.

L’interrogation principale des élus porte sur son utilisation dans le cadre de l’information régionale. Il y a un an, il était question de réaliser un JT par mois en extérieur avec ce DSNG. La rédactrice en chef répond que c’était un projet de sa prédecesseure et que pour le moment il y a d’autres priorités à gérer, avec le 18h30 et la page métropole.

Le directeur régional assure qu’il y aura très vite des retransmissions pour NoA ou des PAE. D’ailleurs, pour  lui, le fait de diffuser NoA a bien aidé notre région à obtenir ce nouveau DSNG doté d’adaptations techniques spécifiques.

 

 

  • Demande de télétravail des monteurs

 

Quelle suite est donnée à la lettre des monteurs demandant de la planification en télémontage en période de crise sanitaire ? Sachant que la situation ne va pas en s’améliorant, certains monteurs pensent qu’il est temps de mettre vraiment au point le télémontage, pour le JT en particulier (améliorer les outils, le lien avec l’éditorial et la technique…). Par exemple, pour commencer, en planifiant quotidiennement un monteur du BRI (volontaire) pour faire les boîtes noires des Bex, les off, titres etc., c’est-à-dire ce qui ne nécessite pas la présence d’un rédacteur au côté du monteur.

Le chef de centre propose d’organiser dans les jours qui viennent une réunion entre la technique et l’éditorial pour échanger sur les moyens de mettre en place, ou pas, du télémontage.

Les élus CGT rappellent que la lettre des monteurs va dans le sens des préconisations de la direction parisienne qui demande aux différentes antennes de privilégier le télétravail pour toutes les activités pour lesquelles il a déjà été mis en œuvre. Or, le montage en faisait partie lors du premier confinement.

 

 

– UTS et drône

 

Drone : suite à l’annonce du Directeur Régional, quand les JRI et OPV peuvent-ils espérer un (des) drone(s) en Aquitaine ? FTV propose-t-elle des formations ?

La direction affirme qu’elle a remonté la demande au service formation mais que pour l’instant l’utilisation du drone par les salariés ne fait pas partie de ses projets, du moins que c’est loin d’être prioritaire.

 

UTS (unité de tournage avec smartphone): point sur les formations.

Le chef de centre annonce que dernièrement 3 JRI ont été formés à Bayonne et 2 à Bordeaux. Aussi, 2 UTS vont être envoyé à Bayonne et 3 à Bordeaux.

De plus, les techniciens vidéos bordelais ont eu une journée de formation à cet outil avec un référent JRI.

La direction affirme enfin que les JRI utilisateurs réguliers de l’UTS sont de plus en plus nombreux à Bordeaux. Il y en aurait 3.

 

  • Sujet tourné par le rédacteur en chef adjoint de Pau

 

Samedi 23 janvier a été diffusé dans le JT régional un sujet réalisé par le rédacteur en chef adjoint de la locale de Pau concernant une caméra go pro perdue par un surfeur du Pays basque et retrouvée au Pays basque. Dans l’équipe figuraient uniquement le nom du rédacteur en chef adjoint et celui du monteur.

Les élus demandent pourquoi ce sujet n’a pas été réalisé par la locale du Pays basque, pourquoi les images de ce sujet n’ont pas été signées, de qui étaient-elles, pourquoi ce sujet a-t-il été monté à Pau mais pas diffusé par la locale Pau sud Aquitaine ?

Le directeur régional relate les échanges entre les rédacteurs en chefs des deux locales concernées, qui se sont concertés avant le tournage de ce reportage. La locale de Bayonne n’aurait pas eu les moyens suffisants pour le tourner et l’activité à Pau ce jour-là l’aurait permis ; de plus l’ITW a été faite par téléphone. Reste que des images d’illustrations ont été tournées sans être signées. Les élus s’en inquiètent et le directeur régional dit qu’il va recontacter le rédacteur en chef palois pour avoir des précisions. Enfin, il affirme que ce sujet concernait le département des Pyrénées Atlantiques, périmètre des deux locales. Les élus laissent cette dernière assertion à l’appréciation des salariés « pyrénéens ».

 

 

  • Page métropole

 

Les représentants de proximité ont demandé des précisions sur le projet de remettre à l’antenne une édition locale de Bordeaux métropole.

La rédactrice en chef explique qu’elle démarrera après les vacances de février. C’est une page de 7mn  avant le JT de 19h  composée d’un sujet « série » de 3mn PAD, un sujet d’actu et un module « 3 questions à » (ITW d’une personnalité de la métropole bordelaise).

Le tournage de la série de 5 sujets se fait sur 3 jours, et le montage-mixage sur 3 jours également. La rédactrice en chef a conscience de la difficulté que va poser la partie mixage et dit qu’ « il va falloir affiner » cette étape de l’organisation tout en demandant aux rédacteurs et monteurs d’être eux-mêmes très organisés (mixer en début de matinée et d’après-midi). Les élus préviennent que nombre des mixages risquent de se faire sans la présence de ces derniers, occupés à monter le sujet suivant, et de surcharger encore plus le travail du mixeur son, notamment les jours de mixage des bandes-annonces, sans parler des autres dossiers et émissions. Ils pointent le manque de moyens humain et matériel au niveau du mixage.

 

 

Point 2 : NoA

 

  • Service GA/RSCA

 

Invité Jean-François Karpinski.

Les élus souhaitaient un point sur ce service, qui a donné lieu à une alerte l’an dernier, où des arrêts de travail ont eu lieu en janvier, et où le logiciel Argos devait être amélioré pour faciliter l’activité des salariés.

Le responsable du service évoque les 3 arrêts de travail concomitants en début de mois (1 à Limoges et 2 à Bordeaux) et la nécessité de faire appel à des salariés récemment formés ainsi qu’à des CDD pour pallier ces absences, dont une « un peu longue ». Face aux exigences particulières que demande ce travail (gestion des grilles de NoA et de France 3), il explique qu’il essaie de planifier les personnes sur des plages les plus longues possibles (soit 3 ou 4 jours en général), en essayant de faire venir des salariés de Poitiers notamment.

Le responsable d’activité regrette que l’évolution du logiciel Argos, tant attendue, ne tienne pas ses promesses. En effet, déployée en octobre, cette nouvelle version montre des gros problèmes de stabilité, des bugs à répétition et beaucoup de lenteur dans l’exécution des tâches. Le service est dans l’attente de la version corrigée mais il n’y a pas de date précise pour ce nouveau déploiement. Elle est « espérée » dans le premier trimestre de l’année. Par conséquent les formations des salariés sont en attente aussi… Cela dit, il félicite les gestionnaires d’antenne pour la qualité de leur travail et leur montée en compétences.

Interrogé sur la charge de travail induite par l’arrivée de la tranche du 18h30, le responsable des GA répond que selon lui elle n’est pas considérable, que c’est un peu de travail qui a facilement été intégré à l’activité, mais qu’elle n’a pas encore été mesurée. En tout cas, il n’y a pas eu de réflexion particulière de la part des salariés au cours de la dernière réunion hebdomadaire.

Les élus regrettent eux aussi la lenteur de la mise en place d’un outil logiciel adéquat dans un service en tension et réaffirment leur volonté de rester vigilants face aux risques psychosociaux qui peuvent en résulter.

 

 

  • Plans d’actions

 

Le DRH a listé les avancées des plans d’actions issus des ateliers correspondant aux 3 fiches de postes pratiquées par les contributeurs NoA.

Il a ensuite donné des informations complémentaires.

Un plan de formation pour la montée en compétences de tous est en cours.

Les chargés de diffusion ont eu une demi-journée de formation à l’UTS car ils sont parfois en support des équipes sur le terrain et ont besoin de connaître l’outil.

Un bilan de la fiche de poste « chargé de conception de produit numérique » a eu lieu le 11 janvier en présence du facilitateur. De cette expérimentation NoA viendront 3 réunions sur l’élargissement de l’usage de l’UTS à l’ensemble de FTV.

Une réunion sur le montage nomade aura lieu au 1er trimestre 2021.

Des journées de doublure  des GA de Bordeaux sont prévues à Limoges.

Amélioration de l’ergonomie du point de diffusion NoA avec l’installation d’une ouverture automatique des fenêtres.

Simplification des workflows : un seul workflow commun à NoA et France 3 : Imediaweb.

Un groupe teams a été créé pour les GA.

 

  • Audiences .3 NoA

 

La direction avait demandé la mesure des audiences NoA sur une semaine en janvier, de préférence une semaine où étaient retransmis un ou deux événements.

Finalement, le directeur régional annonce que le matériel est en train d’être installé, mais pour mesurer l’audience en permanence. Il reste à le configurer et les premières mesures d’audience ne seront pas connues avant début mars.

 

  • Editorial

 

Le directeur régional liste les nouvelles émissions et projets de diffusions d’événements.

Le premier numéro du magazine sur le surf, Olatua, le 3 février.

En mars, lancement prévu d’un magazine économie, mais cela se fera en fonction de l’impact du 18h30 sur l’organisation et la charge de travail.

Le magazine sur la rurbanité, fait par Limoges, est mis de côté dans l’attente de la nomination d’un nouveau rédacteur en chef dans cette antenne.

Le 13 février est prévue une opération spéciale, en association avec France Bleu La Rochelle, sur le retour à Arcachon de Yannick Bestaven (vainqueur du Vendée Globe), depuis les Sables d’Olonne. La diffusion du direct sur France 3 sera en replay NoA

Des événements sportifs :

Pelote basque et handball seront à nouveau diffusés sur NoA.

Du rugby avec un match de Nationale (Dax / Nice) sur F3 puis NoA.

Les élus alertent la direction sur la charge de travail supplémentaire que constitue pour les documentalistes de nouvelles diffusions d’émissions de NoA sur France 3 (NoA sur mer, Disputandum, Olatua…). Le directeur régional répond que ça ne change rien car ces émissions remplacent d’autres émissions qu’il fallait aussi archiver.

 

  • Espace métiers

 

Le DRH informe les élus qu’une réunion sur le bilan des 3 pratiques professionnelles de NoA (chargé de conception de produits numérique, gestionnaire d’antenne et chargé de diffusion) s’est tenue le 26 janvier avec comme invités des salariés contributeurs de chaque fiche de poste. Et le 15 février débutent les négociations sur les nouveaux métiers à l’échelle FTV ainsi qu’une réunion sur les unités de compétences complémentaires à France 3, qui pourraient ressortir de l’expérimentation.

Les élus CGT relaient les craintes des salariés sur les possibles futures fiches de postes, avec des métiers à polycompétences, du type JRI-monteur, qui pourraient être proposées dans les recrutements à venir.

 

Point 3 : Gestion crise sanitaire covid-19

 

Le directeur régional constate que la communication de la direction est peu précise depuis les dernières annonces gouvernementales. Ainsi, la cellule covid, au siège, ne met rien en place de plus aujourd’hui ; les salariés en télétravail ont toujours la possibilité de venir travailler un jour par semaine sur site.

Il rappelle que seuls les masques chirurgicaux ou en tissus fournis par la société sont autorisés sur site, pas les masques personnels.

Il est peut-être question d’imposer le port du masque au présentateur en plateau quand il reçoit des invités.

Xavier Riboulet  se félicite qu’il n’y ait pas de cas covid ni de cas contact répertorié, il en déduit que les gestes barrières sont bien appliqués par les salariés.

Les élus questionnent sur le cas de la salle de mixage, à Bordeaux, un lieu étroit où se succèdent les rédacteurs. Le chef de centre  et le responsable IMG rappellent que l’endroit est nettoyé régulièrement, que gel hydroalcoolique, lingettes et charlottes sont à disposition. Reste la matière du casque audio, en tissu type velours, pas possible à nettoyer : certains rédacteurs apportent leur casque personnel, ou ils ont la possibilité dec mettre une charlotte sur la tête… Une autre solution serait de changer ce casque pour un en armature plastique, facile à nettoyer. Le responsable IMG va voir s’il y en a un de disponible.

 

Point 4 : RH

 

  • Postes

 

Les élus souhaitaient un bilan chiffré sur les départs volontaires en 2020. Combien de postes remplacés, combien restent vacants ?

Il y a eu 7 départs en 2020 dans le cadre de la RCC (rupture conventionnelle de contrat) :

1 monteur (poste pourvu), 1 éclairagiste (non pourvu), 1 technicien vidéo (non pourvu), 1 gestionnaire de parc (pourvu mais un poste de magasinier supprimé), 3 JRI (1 pourvu et 2 à publier dont un sera peut-être transformé en poste de rédacteur).

2 rédacteurs sont en congés de formation dans le cadre de la RCC, jusqu’à mi-2021.

Le poste de conseiller de programmes, de Bernard Gouley nommé en Normandie, a été publié. En attendant que le poste soit comblé, un renfort est prévu.

Alisa lachinyan arrive en mission de renfort pour s’occuper de la partie chargée de production à la place d’Estelle Laurent (coordinatrice de fabrication), partie en détachement à Paris.

Enfin, le poste de JRI vacant à Mont-de-Marsan sera pourvu, affirme la direction.

 

 

  • Chiffres grévistes

 

Les élus souhaitent savoir  pourquoi la direction refuse de communiquer les chiffres des grévistes. Le DRH répond que les relevés du nombre de grévistes sont remontés à Paris et qu’il n’y a  pas de communication au niveau local. Les élus prennent acte.

 

  • Heures supplémentaires des CDD

 

En décembre, 2 CDD de Bordeaux ont demandé la valorisation de leurs heures supplémentaires non prises en compte. Ils ont demandé la rétroactivité légale, soit 3 ans.

Le service de paye leur a annoncé que cette rétroactivité serait limitée à juillet.

Pour quelle raison ? Peut-on avoir trace de la négociation qui a limité cette rétroactivité ?

Le DRH explique que la mise en place logicielle pour la gestion des CDD avait pris énormément de retard au siège, mais que le calcul automatique des heures supplémentaires était imminent, selon la direction parisienne.

En outre, le DRH régional confirme l’engagement de la direction pour une rétroactivité du paiement des heures supplémentaires jusqu’à juillet 2020. Si les heures dues remontent à une période antérieure, le salarié devra apporter des justificatifs pour bénéficier d’une rétroactivité.

 

 

 

Une instance de proximité extraordinaire se tiendra le matin du 22 février pour la présentation du plan d’action de La Fabrique. Et la CSSCT traitera également ce point l’après-midi du même jour.

 

Prochaine instance de proximité le 3 mars.

N’hésitez-pas à contacter vos élus CGT si vous souhaitez remonter des questions.

 

 

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