Instance de proximité du 9 novembre 2021

En présence de Delphine Vialanet (directrice régionale par intérim), Audrey Guidez (DRH).

Invités : Bruno Larramendy (chef de centre), Jérome Bourdy (responsable IMG), Blandine Belfio (IRH), Jean-François Karpinski (délégué antenne et contenus), Thierry Culnaert (OPS).

Pour les RP : Sabrina Corrieri (CGT), Boris Chague (CGT), Hervé Morin (FO)

Excusées : Hélène Chauwin (CGT), Elise Daycard (FO), Nathalie Pinard de Puyjoulon (SNJ) 

 

Delphine Vialanet explique en préambule prendre l’intérim de Xavier Riboulet qui va travailler au côté de Philippe Martinetti pour la question de la proximité à France 3. Il travaillera de manière transversale sur le sujet avec une vision globale d’une offre régionale plus importante. Xavier Riboulet va instruire tous les dossiers qui traitent de cette proximité : technique éditorial numérique etc.

Delphine Vialanet tient à préciser qu’elle a la volonté affirmée de reconstruire ou d’instaurer un dialogue social à son image. La notion de partenaire est capitale. Elle insiste sur le fait que la direction n’avancera pas sans les partenaires sociaux et inversement.” Nous ne serions que dans  l’affrontement infertile si nous ne dialoguons pas”. Elle dit être ouverte à recevoir toutes les problématiques et prête à en discuter en amont des instances pour voir quelles solutions les RP peuvent apporter. Son envie est de travailler en confiance et en transparence. Elle a tenu en premier lieu à rencontrer chaque secrétaire d’IP de Nouvelle Aquitaine.

Delphine Vialanet assure donc l’intérim de la direction de F3 Aquitaine et NoA, Jean-François Karpinski prend l’intérim de Délégué Antenne et Contenus. Pour assurer son remplacement sur son poste, il y a pour l’instant un conseiller aux programmes  et un coordinateur éditorial. En novembre, il y aura probablement  besoin de renforts. Delphine Vialanet dit que l’on était jusque-là “staffé” à minima, donc on cherche une solution. Un séminaire de direction aura lieu la semaine prochaine pour régler les questions d’organisation.

Tant qu’on est en situation d’intérim, on est sur du renfort. On attend une réponse du réseau. Mais actuellement la philosophie du réseau, c’est de décentraliser et d’envoyer des gens de Paris en renfort en région.

Jean François Karpinski explique que pour l’instant la charge de travail est gérable puisque pour  la partie documentaire (émission Côté Doc) on est en fin d’exercice, c’est donc une période de fin d’année qui peut se gérer. En revanche pour l’accompagnement de la gestion d’antenne et l’équipe RSCA il faut penser à un renfort.

 

 

 

POINT 1 – service RSCA :

– Où en est-on du plan d’action ? Comment le fait-on évoluer ?

Le délégué antenne et contenus explique que la plan d’action se poursuit avec notamment un aspect formation des personnels bordelais. La formation avait été  déprogrammée en raison du contexte sanitaire, puis il y a eu la mise en place du nouveau logiciel Argos avec beaucoup de difficultés.

Finalement la formation pour les gestionnaires d’antenne de Bordeaux a pu être organisée du 27 au 30 septembre.

Il y a également la poursuite de l’appel à candidature pour la compétence complémentaire (UCC). Il y a 8 candidats (4 en Aquitaine : 2 CDD et 2 CDI) qui seront reçus le 23 novembre. il y aura test et entretien selon la même méthode que la dernière fois. Mais les formations ne pourront pas avoir lieu avant début février car le formateur est indisponible jusque là.

Jean-François Karpinski annonce qu’une collaboratrice a fait ses 1ères journées en GA la semaine dernière et qu’elle sera ensuite en doublure à Limoges. On fera un bilan après. Une autre collaboratrice poursuit sa formation de FOR, et  elle en est satisfaite. Il dit compter sur elle aussi pour qu’elle puisse former par la suite l’équipe.

 

– En renfort des RSCA, il est régulièrement fait appel à quelques salariés avec la compétence de RSCA (datant de l’expérimentation NoA). Or, lors de la dernière IP, nous apprenions que les GA ne peuvent pas être formés en RSCA car l’Unité de Compétence Complémentaire n’existe plus. 

1° Comment rémunère-t-on la compétence de ces salariés venant remplacer les RSCA si cette UCC n’existe plus?

2° La formation au métier de RSCA est en train d’être façonnée par une salariée du service. Si l’Unité de Compétence Complémentaire n’existe plus, qu’est ce qui viendra sanctionner/ratifier/homologuer cette formation?

Jean-François Karpinski rappelle le contexte. Les GA ont signé un avenant pour mener la conduite d’antenne de NoA avec une compétence complémentaire. La question est : puisqu’il n’y a pas d’UCC relative à cette compétence, comment prendre en compte et rémunérer ceux qui l’exercent de manière ponctuelle en remplacement des titulaires qui ont signé un avenant à leur contrat ?

La question de la rémunération se pose. Une réunion est prévue entre Audrey Guidez et Samuel Bignon (DRH réseau) vendredi pour clarifier ce sujet.

Delphine Vialanet indique qu’actuellement ça parait difficile de récompenser une compétence qui n’existe pas. mais finalement cette compétence existe puisqu’elle est pratiquée. idem pour la formation. Elle insiste sur le fait qu’il est évident qu’on ne peut pas se passer de l’expertise de ces personnes donc on continuera à faire appel à eux pour les remplacements et il y aura  une rémunération adaptée à l’activité.

JF Karpinski précise qu’en  attendant la clarification à ce sujet, on continue à planifier ces personnes quitte à ce qu’il y ait par la suite une rétroactivité salariale.

 

POINT 2 – Nouvelle version i.Media :

Comment a-t-elle été présentée aux salariés les plus concernés et qui sont-ils d’ailleurs ? Scriptes, monteurs, vidéo, journalistes web, chef d’éd ?

Invité Bruno Larramendy.

Pour le chef de centre, ça concerne tout le monde. C’est une mise à jour globale de l’entreprise. C’est un outil France 3. Les infos de Paris arrivent puis sont distribuées à destination des salariés. Parfois il peut y avoir un plan de formation mis en place par le siège, comme pour les OPS lorsqu’est arrivée la nouvelle console de mixage Resolve. Sinon, il n’y a pas d’action autre prévue que ce type de communication. Les élus font remarquer que si pour certains salariés ces communications peuvent être utiles, elles sont incompréhensibles pour bon nombre d’autres et qu’il serait plus judicieux de cibler les métiers concernés par les évolutions d’i.Média lors de ces communications.

 

POINT 3 – Alternance :

Une RH com nous informe d’un nouvel alternant sans passer par les instances.

Audrey Guidez s’excuse et  dit avoir lancé cette communication pensant que l’information avait été faite précédemment en instance avant son arrivée.

 

POINT 4 – Point Télétravail :

Sur l’Aquitaine la réunion réclamée par les élus lors des instances précédentes a été organisée au BRI, réunissant  journalistes et monteurs.

Les élus regrettent que les salariés des sites excentrés n’aient pas été associés à cette réunion. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas eu de demande de télé montage que les salariés n’ont pas d’inquiétudes ou des propositions à exprimer sur le télé montage, surtout si cette pratique est appelée par la suite à s’étendre sur les autres sites. Par ailleurs, il est régulièrement rappelé aux salariés des sites excentrés qu’ils font partie d’un même collectif de travail, celui d’Aquitaine. Il serait donc temps de les intégrer aux réunions de travail qui définissent les nouvelles organisations de travail.

Le but de cette réunion était de se mettre d’accord sur une organisation et sur quel type de produit peut être fait en télé montage. Les journalistes et les monteurs se sont exprimés. Il y a eu aussi le point de vue des chefs d’édition, certains portant un regard plutôt négatif . Ils estiment que le télé montage engendre davantage de stress pour le chef d’édition et qu’il avait tendance à reporter la charge de travail sur les monteurs sur place plutôt que sur le monteur en télétravail. Un argument inaudible par les RP qui rappellent que c’est justement le rôle du chef d’édition de répartir le travail de façon équitable entre les monteurs, que ceux-ci soient en présentiel ou à distance. Certains journalistes regrettent de ne pas pouvoir être à côté du monteur, la dimension de la relation humaine est primordiale et nuit au bon fonctionnement de la fabrication du reportage. D’autres se sont faits au montage en mode miroir sans difficulté. Le principe c’est que le monteur travaille depuis chez lui avec un rédacteur qui voit le même écran, ici dans la salle de montage 3 qui est dédiée. Une deuxième salle au sous-sol est également configurée pour faire les bande annonces.

Bruno Larramendy précise qu’il a été convenu qu’il y aurait au maximum  1 monteur sur 4 par jour planifié en JT dans la mesure où beaucoup de sujets d’actu simples peuvent se faire en miroir. Quand il n’y a pas de chef d’édition, il n’ y aura pas de télé montage.

Au total il y a 5 monteurs sur 10 volontaires pour faire du télé montage avec une moyenne d’1,5 jour par semaine par personne. Le bilan sera fait lors d’une réunion début janvier. Les sujets magazines et séries ne feront pas partie des produits montés en télé montage.

Sur les autres demandes de télétravail, il reste moins d’une dizaine de dossiers à instruire. Il y a eu en tout 116 demandes en Nouvelle Aquitaine, dont une bonne trentaine en Aquitaine.

 

POINT 5 – Point absentéisme :

Dans le cadre de l’enquête menée par le cabinet Ayming et suite à la réunion du comité de pilotage du 18 octobre, Audrey Guidez explique qu’un courriel  est parti pour inviter les journalistes à des entretiens individuels et collectifs. La direction précise que les sites excentrés sont invités à s’exprimer aussi lors des entretiens collectifs. Les élus estiment que le mail n’était pas clair et que les salariés des sites excentrés ne se sont pas sentis concernés puisque le mail précise « sur le site de Bordeaux ». La direction n’est pas d’accord puisque des salariés des 3 locales se sont d’ores et déjà inscrits et souhaitent participer mais pour être sûre de n’exclure personne elle a renvoyé pendant l’instance un nouveau mail aux sites excentrés précisant les modalités pour que les salariés puissent participer aux visio de ces entretiens collectifs. Pour cela, ils doivent se porter volontaires par mail auprès de Nathalie Dubois.

 

POINT 6 – Bilans diversité, handicap et SSCT 2020

Invités, Jérôme Bourdy et Blandine Belfio.

Les documents envoyés aux élus en la matière sont, comme l’an dernier, beaucoup moins détaillés que précédemment ce que nous regrettons toujours. De nombreux indicateurs ont disparu comme par exemple le détail des effectifs par sites (BRI, locale et BEX), le détail par métiers (par exemple JRI/Rédacteurs) le nombre de jours d’arrêt de travail ou le taux d’absentéisme. Il est impossible pour les élus d’analyser aussi finement qu’avant ce bilan santé sécurité et conditions de travail.

Dans les faits, l’effectif moyen mensuel permanent et non permanent d’Aquitaine est  encore en baisse ! Après avoir été réduit de 14 ETP en 2019 il est de nouveau en baisse de 13,77 ETP en 2020. donc une perte de près de 28 ETP en 2 ans. On est loin des « moyens constants” répétés par la direction depuis des mois. Ceci explique peut être la fatigue et les arrêts à répétition dans notre antenne.

Les élus demandent si l’hémorragie va continuer, Delphine Vialanet précise que la direction régionale a fait une présentation budgétaire très ambitieuse à la direction nationale et attend une réponse.

On note également (comme chaque année) un déséquilibre hommes/femmes notamment chez les journalistes.

Concernant les accidents du travail il y en a eu deux fois moins qu’en 2019

Les élus demandent une modification du document pour intégrer l’alerte et l’enquête paritaire liées à la Fabrique du 15 oct 2020 même si ce n’est pas officiellement dans le périmètre de la direction de France 3 Aquitaine, les salariés de la Fabrique sont dans le périmètre des RP d’Aquitaine. La direction accepte.

Enfin, nous notons que les SST (sauveteurs secouristes au travail) restent nombreux au BRI (une vingtaine) mais il n’y en a plus du tout à Bayonne , 1 à Pau et 1 à Périgueux. Les élus alertent la direction sur un nombre de SST très insuffisant dans les sites excentrés. Un SST par locale cela signifie que lorsqu’il est en congés, en déplacement ou en tournage il n’y a aucun SST sur site. A Bayonne il n’y a plus aucun secouriste alors que de nombreux salariés demandent depuis 2 ans à suivre une formation initiale . La direction entend la demande et essaie de mettre en place une formation dès que possible.  Des macarons ont été apposés sur les portes ou les bureaux des SST afin que tous les collaborateurs les identifient facilement. Les élus saluent de nouveau cette initiative.

 

POINT 7 – Point “son” :

Publication de l’émission NoA Pop en son mono sur les réseaux sociaux depuis 2 ans : malgré une lettre des preneurs de son à la direction en avril et un point en IP en mai, rien n’a été fait. Les RP demandent à inviter en IP un OPS travaillant sur cette émission pour expliquer le fond du problème, préjudiciable à la crédibilité de notre entreprise.

Invité Thierry Culnaert (OPS).

Le salarié, qui travaille très régulièrement sur l’émission NoA Pop, explique que ce problème de diffusion en son mono sur Youtube, en plus de saper le travail de toute l’équipe de régie et de plateau, porte un sérieux préjudice aux artistes venus enregistrer au studio 4 tout en nuisant à l’image de la chaîne.

Delphine Vialanet reconnaît que le résultat n’est pas satisfaisant. Pour autant, elle affirme que l’on cherche à résoudre ce problème depuis un bon moment déjà. Les cadres techniques, en lien avec les éditeurs numériques, essayent de trouver une solution. Mais personne ne comprend pourquoi les fichiers que l’on fournit aux éditeurs chargés de publier les émissions, et qui sont bien en stéréo, se transforment en mono lors de l’encodage vers la plateforme. De plus, il semble que NoA Pop soit la seule émission dans ce cas, toutes les autres étant bien publiées en stéréo. Bruno Larramendy dit qu’une réunion à ce sujet était prévue le matin même de l’IP mais a dû être reprogrammée à la fin de la semaine.

En attendant de trouver la solution, la directrice régionale annonce qu’aucun NoA Pop ne sera plus publié sur Youtube.

Quant à la demande de republier en stéréo les émissions passées une fois le problème résolu (il y en a une centaine), Delphine Vialanet répond que c’est envisageable mais que c’est un travail titanesque, et que si on fait ça on repart à zéro concernant le référencement et le nombre de vues. Mais pourquoi pas.

La direction espère aussi pouvoir bientôt diffuser NoA Pop sur la plateforme francet.tv mais on n’y garde pas une antériorité à vie comme sur Youtube, les émissions disparaissant au fur et à mesure.

Les élus CGT réaffirment leur volonté qu’une solution soit trouvée le plus rapidement possible et espèrent ne pas avoir à encore aborder ce point lors des prochaines instances.

 

Quand sera mis en activité le second poste de mixage au BRI ?

Le chef de centre explique qu’après avoir obtenu l’accord de Paris pour financer un second poste de mixage à Bordeaux, les travaux sont quasi terminés (dans l’ancien bureau de Jean-Luc Hachon), que presque tout le matériel de mixage et les meubles ont été reçus. Il sera en fonctionnement en fin d’année voire en début d’année prochaine. En attendant, l’ancien mixage Fairlight installé au sous-sol est toujours opérationnel.

 

– Insonorisation des postes météo

Le chef de centre et le responsable IMG attendent l’arbitrage parisien pour la validation de devis sur l’isolation autour des postes de travail des météos et bandes annonces. Ces aménagements devraient être pris sur le budget 2021.

 

POINT 8 – Prime week-end :

Est-ce que la règle des 10 mois est toujours en vigueur ? Si oui, est-ce que c’est 10 mois d’affilée ou est-ce que si l’on a fait 10 mois, mais pas en continu, ça fonctionne quand même ?

La règle est toujours d’actualité et elle est prévue dans les accords collectifs. Les week-ends peuvent être effectués en discontinu (cf avenant 5 article 2, p 9-10 de l’accord collectif).

 

POINT 9 – Heures sup inter-contrats :

Nous en parlions le mois dernier et le mois précédent, les salariés CDD travaillant pour plusieurs régions et cumulant des heures de travail au-delà de 35h sur la semaine doivent être payés en heures sup à partir de la 36ème, tous contrats FTV confondus. (Cf accord de branche ou CDT).

Pour ce faire, afin d’informer les services de paye concernés de la totalité de leur activité de la semaine, ils fournissent en général un Relevé individuel d’activité, comme leur a conseillé M. Bignon lors de sa dernière IP d’Aquitaine.

Malgré ces conseils scrupuleusement suivis, les salariés CDD attendent depuis mai 2021 le paiement d’heures supplémentaires.

Seront-ils payés ? Si oui, quand ? De quelle manière ? (Sur les dates d’origine, conformément à leur déclaration Pôle emploi, ou bien sur des fiches de paye erratiques, créant ainsi des trop-perçus et des demandes d’explication de Pôle emploi auprès de chacun de ces salariés?)

La DRH dit que le problème est national, que le logiciel de paie n’est toujours pas paramétré – et il ne le sera certainement jamais – pour identifier les heures supplémentaires inter-contrats et qu’il faut donc que les salariés CDD continuent de communiquer leurs relevés d’activité à la direction afin qu’elle régularise leur situation au fur et à mesure. Aussi, Audrey Guidez annonce que le régularisation du paiement des heures sup a été effectué pour les semaines 1 à 25 de cette année. Mais selon les élus ce n’est pas vrai pour tous les CDD ayant transmis les documents demandés. Étonnement de la direction qui propose une réunion au représentant de proximité qui porte tout particulièrement cette question, afin d’identifier et solutionner les cas toujours en attente.

 

POINT 10 : Point formation :

Quels sont les différents dispositifs d’accompagnement à la formation dispensés par l’entreprise ? Où les salariés peuvent-ils se renseigner s’ils veulent faire une formation hors université de FTV ? L’entreprise est en pleine transition dans de nombreux métiers et les salariés ne connaissent pas les besoins de l’entreprise. Comment peuvent-ils savoir comment ils doivent évoluer ?

Blandine Belfio explique que si un salarié identifie une formation hors plan de formation de l’UFTV, le meilleur moyen est l’activation du compte personnel de formation (CPF). L’IRH ajoute que le catalogue des nombreuses formations de l’UFTV, accessible sur le site Mon espace, est facilement consultable et mis à jour régulièrement. De plus, il y a les formations proposées par l’e-université, accessibles directement avec ou sans inscription en ligne selon les formations. Enfin, elle rappelle que les salariés ne doivent pas hésiter à se rapprocher de leurs interlocuteurs RH pour toute question relative à leurs projets de formation et/ou d’évolution professionnelle.

 

Autres sujets :

Jérôme Bourdy précise que nous sommes un site pilote pour les capteurs de CO2. Un capteur a été placé dans l’espace conf au BRI, 1 à la régie et 1 à la régie son. Pour l’instant aucune valeur n’a approché le seuil d’alerte de 1000 ppm.

 

Les élus tiennent à souligner le climat constructif et de dialogue qui a prédominé pendant cette instance. Un tel climat permet aux élus comme à la direction d’être beaucoup plus efficaces dans la recherche de solutions ce qui est bénéfique pour les salariés et la vie de l’entreprise. 

 

Prochaine IP le 2 décembre 2021

 

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