Compte rendu CGT de l’IP d’Aquitaine du 7 février 2024

Etaient présents

Pour la direction : Fabrice Goll (directeur régional), Hadidja Issihaka (IRH), Séverine Thirel (coordinatrice RH réseau), Florian Ringuedé (rédacteur en chef), Alexandre Berne (adjoint au chef de centre), Jérôme Bourdy (responsable IMG).

Pour les élus : Boris Chague (CGT), Nicolas Guérin (CGT), Alexis Dumoulin (FO). Excusés : Sabrina Corrieri (CGT), Karim Jbali (SNJ).

En préambule, les RP aquitains souhaitent la bienvenue dans cette instance de proximité à Séverine Thirel, venue suppléer le DRH réseau qui, depuis plusieurs mois, supplée lui-même le DRH de Nouvelle-Aquitaine, absent. Les élus font aussi part de leur mécontentement vis-à -vis d’une carence manifeste et répétée à la RH aquitaine et demandent à ce qu’il y soit remédié au plus vite. La coordinatrice RH réseau reconnaît la dégradation des conditions du dialogue social en Aquitaine tout étant dans l’impossibilité de donner aux élus une échéance au bon rétablissement de la situation…

 

POINT 1 – BILANS : 

– Bilan annuel ACCA (psychologue de travail) 

Aline Chabot (en visio), psychologue référente, présente son bilan pour 2023.

En Nouvelle-Aquitaine, 103 entretiens ont eu lieu, dont 95 en présentiel et 8 via la ligne d’écoute dédiée des salariés (0 pour la ligne d’écoute dédiée RH, élus et managers). Ces entretiens concernent 64% de femmes pour 36% d’hommes, alors que le ratio femmes / hommes dans notre grande région est de 44,7% / 55,3% ! La psychologue du travail explique cette nette différence par le fait que les hommes sont moins à même de parler de leurs problèmes que les femmes. Mais elle constate un léger changement ces derniers temps, avec de plus en plus d’hommes qui prennent rendez-vous avec elle.

Concernant l’Aquitaine, ce sont 31 entretiens formalisés avec la psychologue du travail. Elle note que de plus en plus de salariés se saisissent de sa présence mensuelle à Bordeaux pour prendre rendez-vous ou échanger spontanément sans forcément réaliser d’entretien par la suite. Elle dit qu’elle est de mieux en mieux identifiée sur site.

Sur les motifs des entretiens ce sont sans surprise les exigences du travail (charge de travail, organisation…) qui arrivent en tête, suivis de près par l’insécurité de la situation de travail et surtout les relations de travail dégradées. Les RP remarquent que ces dernières touchent toutes les tranches d’âge alors que les exigences du travail, par exemple, touchent surtout les tranches d’âges les plus âgées. Ils remarquent aussi qu’il y a eu une explosion du nombre d’entretiens en novembre et décembre (17 et 13, contre 4 à 8 pour les autres mois de l’année), soit deux mois après la mise en place du projet Tempo ! Sans pouvoir se prononcer catégoriquement sur une corrélation entre les deux, Aline Chabot laisse entendre que c’est peut-être le cas. Pour les RP il ne fait aucun doute que la mise en place des éditions Ici et le conflit social qui en a découlé sont à l’origine de cette recrudescence de recours à la psychologue du travail. Ils demandent à la direction d’être très attentive aux indicateurs que peuvent fournir ces chiffres et d’agir en conséquence pour réduire au maximum les risques psycho-sociaux (RPS).

Les RP se félicitent de la présence régulière de la psychologue du travail dans notre entreprise, présence qui favorise la prise de contact avec les salariés. L’IRH rappelle d’ailleurs que la psychologue a aussi fait le tour des locales et des bureaux excentrés qui le souhaitaient, soulignant l’importance de venir sur place pour être dans le quotidien des salariés. Enfin, les élus remercient la psychologue référente d’avoir un peu amélioré le document remis en IP, notamment en ajoutant les répartitions par sexes et âges dans les données étudiées. Ils regrettent toutefois de ne pas avoir de chiffres seulement aquitains, seul périmètre qui les concerne.

– Rapport d’activité SocialDirect (assistante sociale) 

Laurence Tetrel (en visio), co-fondatrice de SocialDirect, présente le service d’assistance sociale, en place depuis le 9 novembre dernier et qui remplace le cabinet Responsage.

La prise de contact avec ce service se fera surtout en distanciel, Nathalie Berthelot (assistante sociale référente) n’étant sur site que 4 fois dans l’année (1 fois par trimestre). La première visite de l’AS était prévue le 9 février. Elle sera épaulée par une autre assistante sociale, Angélique Bono, uniquement en distanciel. Il y a 3 façons d’entrer en contact avec ce prestataire : via sa plateforme, par mail ou par téléphone (au standard, un.e assistant.e social.e prendra la mesure de l’urgence de la demande et orientera les salarié.e.s vers l’une des deux AS en fonction de leurs agendas). Le cabinet s’engage à assurer une prise de rendez-vous sous 24 heures.

La prestation de SocialDirect auprès de FTV étant très récente, Laurence Tetrel dit n’avoir pour l’instant eu aucune demande en Aquitaine. Peut-être est-ce dû  à la méconnaissance de cet organisme par les salariés, supposent les RP qui regrettent et dénoncent la politique de FranceTV qui, par des appels d’offres tous les 3 ans, sous-traite des domaines touchant à la santé comme l’assistance sociale ou la psychologue du travail. Cette “valse” des services sociaux peut être préjudiciable au suivi des problèmes rencontrés par les salariés. Par exemple, interrogée sur la transmission des dossiers en cours entre l’ancien et le nouveau prestataire, Laurence Tetrel répond qu’il y a le “secret partagé”, c’est-à-dire la possibilité de transférer le dossier de chaque bénéficiaire, mais qu’il faut consentement préalable de ce dernier, ce qui est normal, et ajoute un peu plus de lourdeur dans la démarche d’un.e salarié.e qui devra une nouvelle fois expliquer sa situation…

Enfin, la co-fondatrice de SocialDirect certifie de la rapidité, du professionnalisme et de la réactivité de ses assistantes sociales qui connaissent la spécificité des métiers à FranceTV, après plusieurs mois d’“onboarding”. De quels services ou métiers s’agit-il ? RH, managers et chefs de services, est-il répondu aux élus dépités… qui attendent de voir les bilans semestriel et annuel et surtout… aquitains, espèrent-ils.

 

POINT 2 – QUESTIONS : 

– Organisation des tranches éditoriales Ici 12/13 et Ici 19/20 : enregistrement de la tranche de 7’ avant JT régional, présentation du JT soir à 2 ou 3… 

Question restée en suspens à la dernière IP.

Florian Ringuedé présente l’organisation des éditions Ici 12/13 et Ici 19/20 mise en place depuis la signature du protocole de sortie de grève.

La prise d’antenne est à 12h25 le midi et à 19h15 le soir.

En semaine, un 12/13 de 25’ avec un seul présentateur qui mixe info régionale et nationale et un 19/20 de 28’ avec 2 présentateurs sur de l’info uniquement régionale. Le 2e présentateur, avec la page “le choix d’Ici” (des sujets froids, tièdes, de décryptage etc.) , permet de pallier le ressenti de longueur et d’intégrer des chroniques avec invité et/ou écran tactile, avant de passer la main à la région en charge de l’actu nationale. Le rédacteur en chef dit ne pas être encore en mesure de prendre en charge les 8’ de la partie nationale de la tranche. Pendant les vacances, ce sont des modules de 8’ fabriqués par le réseau.

Quant aux 7’ de la partie “Vivre en Aquitaine”, diffusée à 19h07, elles sont enregistrées en fin de matinée, en mode playlist, avec des sujets issues des locales. Il n’y a pas de présentateur pour éviter au téléspectateur la confusion avec le début du JT soir. Le choix de l’enregistrement le matin répond à une volonté d’alléger la charge de travail des script.e.s au moment de la prise d’antenne du 19/20. Les RP attirent l’attention sur la nécessité pour l’adjoint en charge de ces 7’ d’avoir bien finalisé le préconducteur la veille au soir afin de ne pas mettre les équipes éditoriale et technique en difficulté le lendemain.

Le week-end les éditions Ici 12/13 font 13’. 1 seul présentateur qui mixe info régionale et nationale. Le samedi, le 19/20 comprend 2 grands formats (Magasine basque et dossier de la rédaction nationale) et le dimanche une page sports de 13’, avec la plupart du temps un invité politique avant, en vue de la campagne électorale des européennes.

– Méthodologie de l’organisation semaine à 4 jours : retour aux élus du résultat des questionnaires envoyés aux salariés et mise en place des réunions locales élus / direction.

Invitée, Nelly Chevrier, directrice déléguée aux moyens et à la performance opérationnelle (DDMPO).

Avant la réunion locale sur la faisabilité de l’organisation à 4 jours, issue du protocole d’accord de sortie de grève et programmée à Bordeaux le 14 février, les RP veulent s’assurer que les élus y participant (1 RP et 3 délégués syndicaux des organisations signataires) recevront les résultats des réponses au questionnaire envoyé aux salariés aquitains prioritairement concernées par une organisation de la semaine à 4 jours. Cela afin de pouvoir préparer cette réunion de négociations prévue sur une durée de seulement 3 heures.

La DDMPO explique que ça ne fait pas partie de la méthodologie mise en place par la direction et les organisations syndicales et que les résultats des réponses au questionnaire sont transmis par la direction le jour de la réunion. C’est inacceptable pour les RP CGT d’Aquitaine, qui n’ont vu aucune mention de cela dans la méthodologie, et demandent donc officiellement à la direction du réseau de faire parvenir ces documents aux élus locaux qui siègeront à la réunion, au moins 48h avant celle-ci. Nelly Chevrier dit qu’elle va faire suivre la demande des RP aquitains au référent accompagnement du réseau qui reviendra éventuellement vers eux. Les RP dénoncent une entrave au bon l’exercice de leur mandat et s’étonnent du fait que, selon la DDMPO, les élus des autres régions test n’ont pas fait cette demande avant leur réunion locale.

– Fermeture annoncée des locales cet été pendant 2 ou 3 semaines : pourquoi cette décision ? Quelle organisation des équipes est prévue ? 

Le directeur régional affirme que la fermeture des locales n’a jamais été annoncée. Cependant, il reconnaît que c’est bien en projet, pour laisser plus de place à la diffusion des Jeux olympiques cet été, pendant 2 ou 3 semaines. Il précise qu’il participera à un séminaire sur l’organisation des JT pendant les JO les 12 et 13 février. Selon lui, les éditions seront raccourcies, ramenées à 15 ou 20 mn. Si c’est 15’, il ne voit pas comment intégrer la page des locales, surtout s’il faut conserver la partie nationale et internationale. Si c’est 20’, il pourrait y avoir des locales de 5’, avec des équipes calibrées en conséquence, donc réduites. Fabrice Goll ajoute que l’Aquitaine est l’une des seules régions du réseau à conserver une diffusion de ses locales l’été, avec ce que ça implique en termes de recours aux CDD, car en plein période de prise de congés.

Les RP CGT font d’abord remarquer que cette fermeture constituerait une première dans l’histoire de notre antenne. Ensuite, que la notion de “basse activité”, surtout l’été où la population explose dans notre région, n’a pas de rapport avec l’actualité. Et aussi qu’en pleine renégociation du COM (contrat d’objectifs et de moyens) avec la région, qui impose notamment des diffusions en langues vernaculaires auxquelles les élus locaux sont très attentifs, cela tombait plutôt mal. Le DR ne voit pas de rapport avec le COM, dont la négociation est en très bonne voie. Pour les RP CGT, la direction du réseau veut profiter des JO pour faire un peu plus d’économies et, pourquoi pas, initier la suppression des locales l’été dans notre région.

Élus et direction se donnent rendez-vous à la prochaine IP, une fois le séminaire tenu, pour en rediscuter.

– Enregistrement de DEP diffusé le 28 janvier : pourquoi a-t-on utilisé un car régie d’une société extérieure ? Quelles conséquences sur le travail des salariés de France 3. 

Alexandre Berne explique que le VPTL de Montpellier était réservé pour enregistrer ce Dimanche en politique spécial JO au CREPS de Talence mais qu’en raison de l’actualité il a été détourné deux jours avant sur une action des agriculteurs en Occitanie. Il a donc fallu trouver une solution de repli via un prestataire externe. Un car régie, la veille sur un match à Toulouse, est arrivé dans la nuit du jeudi pour un enregistrement de DEP le vendredi. Pour l’adjoint au chef de centre, c’est une chance d’avoir pu in extremis enregistrer cette émission, même s’il reconnaît que les salariés ont dû s’adapter à une configuration différente de celle qu’ils connaissent et ont aussi dû faire face à des problèmes techniques (défauts dans les ordres, pas de titrage…). Pour les RP, ces conditions de travail dégradées sont facteurs de risques pour la santé des salariés. La direction explique qu’un débriefing avec l’ensemble des équipes éditoriale et technique a eu lieu pour faire le point sur les difficultés rencontrées.

– Télétravail et salariés en mobilité : quand le stock d’ordinateurs portables sera-t-il renouvelé et augmenté ? 

Les salariés du service web qui télétravaillent ont à présent des ordinateurs portables désuets, voire cassés. Il n’y a plus d’appareils disponibles et les rédacteurs qui le souhaitent ne peuvent pas travailler dans des conditions optimum depuis chez eux. L’adjoint au chef de centre dit qu’en effet il y a une pénurie de matériel et pas de stock disponible pour faire face à la demande. Les ordinateurs abîmés vont en réparation et le rédacteur en chef est obligé de faire des arbitrages entre les salariés pour les doter ou pas d’un ordi portable. Alexandre Berne ajoute que dans ces conditions, il est impossible d’accorder le prêt d’un ordinateur aux salariés qui pratiquent le télétravail occasionnel. Les RP veulent savoir si une dotation du Siège est prévue; l’adjoint au chef de centre répond que non… Quelle volonté de développer le télétravail la direction du réseau a-t-elle, se demandent les RP ?

 

POINT 3 – HUB INFO : 

– Présentation projet HUB INFO 

La direction a souhaité mettre ce point à l’ordre du jour pour informer les élus de l’avancée de ce projet.

Le DR rappelle qu’il s’agit de réunir physiquement, dans un même lieu, les personnels affectés aux éditions du jour (présentateur, rédacteur en chef adjoint, chef d’édition, script.e, cadre technique, technicien vidéo) afin de faciliter la communication entre tous et fluidifier le processus de fabrication du JT.

Fabrice Goll explique que ce hub info sera créé en lieu et place de l’actuel local cybertechnique où les OPV, OPS, vidéos, éclairagistes et maquilleuses ont des ordinateurs à disposition. Six postes de travail, dont deux en hauteur y seront installés. Pour le DR, ce bureau est idéalement placé, au milieu des salles de montage et face à la régie.

Pour les RP, la création d’un hub ne pose en soi pas de problème, d’autant qu’il semble attendu par nombre d’acteurs du JT. Ils interrogent d’abord la direction sur l’emplacement du nouveau local attribué aux techniciens. Le responsable IMG indique que pour le moment, le seul espace identifié est le hall d’entrée, dans lequel on pourrait aménager des postes le long de la cloison où se trouve le point d’ingest, quasiment plus utilisé selon lui et qui sera enlevé. Les élus émettent leurs réserves sur ce choix d’un lieu de passage, ouvert aux courants d’air qui plus est. Mais la direction assure que des espaces cloisonnés ou semi-cloisonnés peuvent être créés et donner satisfaction. De toute façon les salariés concernés seront informés et concertés en amont, affirme Jérôme Bourdy.

Le second point d’attention des RP porte sur le besoin de concentration du présentateur qui doit pouvoir se concentrer pour écrire. Quelle(s) solution(s) dans un espace de 20 m2 ? Là encore, il faut concerter les salariés concernés.

 

POINT 4 – DRONES 

– Point déploiement des drones 

Autre point que la direction a souhaité aborder afin de présenter la situation en Aquitaine suite à l’accord passé avec les OS en novembre dernier.

Il y aura 3 drones dans notre région, à Bordeaux, Pau et Périgueux. Les entretiens et la sélection des candidats ont été faits. Les télépilotes seront Olivier Prax, Romain Hauville et Pascal Tinon.

Début avril, pendant 3 jours, l’équipe du Siège chargée du déploiement des drones, menée par Hervé Colosio (responsable opérationnel de vol – ROV) sera à Bordeaux pour une réunion d’informations avec les différents acteurs locaux (managers, RH, rédaction, responsable technique et pilotes), une prise en main et instruction de l’outil informatique, et enfin une validation pour les opérations de vol des télépilotes.

Les RP se félicitent de cette dotation et espèrent une bonne collaboration entre les antennes locales, les BIP et le BRI dans l’usage de ces outils pour optimiser les reportages.

 

POINT 5 – RH 

– Organisation du service pendant l’absence du DRH.

Point déjà abordé en préambule de cette instance où les représentants de proximité se désolent des absences et du “turn over” en termes de représentation RH en Aquitaine et demandent à ce que la situation soit corrigée au plus vite. La coordinatrice RH du réseau indique que l’IRH, Hadidja Issihaka, et la RRH, Nathalie Dubois, sont épaulées par l’équipe du DRH réseau, Samuel Bignon, la responsable du développement managérial, Nathalie Dené, et la responsable du développement formation, Evelyne Esquerdo. Mais pour les RP CGT, certains de ces interlocuteurs n’ont pas une connaissance bien précise des problématiques aquitaines et cumulent d’autres fonctions…

– Emploi : Mouvements à venir, détachements (prolongation de 3 mois du détachement d’un salarié aux IMG : besoins et missions).

Concernant le Copil Emploi (ex COCA) pour les postes d’organisateur d’activité et de chef d’équipement maintenance, les choix sont “finalisés”, dit la direction, c’est-à-dire au stade des négociations salariales.

Mouvements : Aurore Tréspeux, rédactrice à Périgueux, sera en télétravail à plein temps au service web. Anne-Christine Roth, rédactrice en chef adjointe à la rédaction nationale est en détachement à Bordeaux jusqu’au 8 mars.

Prolongation du détachement d’un salarié aux IMG : Jérôme Bourdy dit que l’intégration de Laurent Desage est plutôt positive, que les missions techniques sont faites correctement mais qu’il y a des ajustements à faire côté IMG. Les RP sont particulièrement attentifs à ce que l’accompagnement du salarié sur des tâches cruciales dans l’organisation de l’activité, comme la planification du matériel pour les équipes de reportages, soit évalué régulièrement et réajusté si nécessaire. Ils rappellent qu’un risque psycho-social (RPS) a été inscrit à leur demande dans le DUER (document unique d’évaluation des risques) dans ce service étonnamment en sur effectif. La direction affirme qu’une décision de la DRH sera prise en central fin mars.

 

Prochaine IP le 7 mars 2024

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